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480,00€
Beau pistolet argentin Bersa Modèle 23 – Gaucho des Pampas et des chaudes boites de nuit de Cordoba – Le petit argentin en cal. 22LR qui impressionne les américains – 100% acier – Léger et très précis – Excellente esthétique et mécanique – Canon miroir – Très belle arme en TBE++
Revolvers et pistolets de catégorie BBeau et efficace pistolet Bersa Modèle 23 – Arme de construction argentine en 100% acier – En deux aciers bicolores du meilleur aloi – Bronzage et finition à quasi 100% – Très belles plaquettes bois en beau noyer sans marque de manipulations – Mécanique impeccable à barre de transfert externe – Canon splendide – Arme légère idéale pour l’entrainement pistolet ou le plinking – Arme réputée y compris aux USA pour sa qualité et sa précision – Très belle arme en TBE++
1 en stock
Description
Soyons clairs: Le Bersa 23 (comme le son grand frère jumeau le Bersa 83 en 380 ACP) est un des meilleurs pistolets semi-automatiques en calibre 22L.R. de sa génération !
Certes, surtout une arme de loisirs et d’entrainement (quoique..) mais extrêmement bien construite.
Produit entre 1950 et les années 70 à une époque où on ne rigolait pas trop sur les éléments de construction, il est le papa de la série Thunder introduite en 1994 (où il devint le Thunder 22 avec un peu de polymère) et que les américains comparent avantageusement à leur pistolets Smith…
Il faut dire qu’il a de qui tenir.
La Firme Bersa a été fondé en 1958 par trois ingénieurs en mécanique italiens immigrés en Argentine. L’un d’eux, Ercole Montini, avait travaillé sur les pistolets de Beretta avant de traverser l’Atlantique.
Comme souvent dans l’Histoire de l’armement italien, les gars ont commencé par faire des pièces pour d’autres. En l’espèce, il s’agissait du célèbre fabricant d’une excellente copie Made in Pampa du Colt 1911, la firme Ballester–Molina. Puis ils se lancèrent en solo sur des armes complètes.
En 1959, la firme, qui n’est pas encore appelée Bersa, crée son premier pistolet en .22 Long Rifle le « Modelo 60 » devenu rapidement « Modelo 62 ». Il s’agit d’un design Beretta 70 amélioré. Ce modélo 62 se vendit extrêmement bien et devint une arme familiale de loisir très populaire en Amérique du Sud.
En 1960, la firme est renommée « Bersa », suites des initiales des prénoms des fondateurs. De nombreux modèles suivront avec des calibres de plus en plus puissants qui feront de Bersa un nom respecté dans le monde des armes à feu. En 1989, le premier pistolet de combat pleine taille sera lancé, le Model 90, chambré en 9×19 mm Parabellum.
A noter que la gamme « Thunder », suivi d’un chiffre indiquant le calibre de l’arme de poing regroupe en réalité deux conceptions différentes d’armes en fonction des calibres.
Tout ce qui tire des cartouches jusqu’au .380 ACP inclus regroupe les pistolets compacts à culasse non calée (blowback). A partir du 9×19 mm Parabellum, la gamme Thunder repose sur une culasse calée à courte course de recul (amélioration du système Browning).
La firme, toujours très italienne dans sa philosophie, a produit des armes type Coach Gun ou des carabines semi-automatique en 22LR comme son excellente R430.
À la fin des années 1990, Bersa connait enfin la consécration en remportant le contrat de fourniture du nouveau pistolet réglementaire pour les Forces Armées et la Police Fédérale argentines avec son Bersa Thunder 9, qui eut la redoutable honneur de succéder aux excellents Browning Hi-Power produits localement.
Aujourd’hui, Bersa est une des entreprises argentines les plus florissantes. Toujours privée, elle a réussi sur le marché américain de véritables succès notamment avec ses Thunder 380, très populaire en arme de défense immédiate aux USA ou même ses AR15, dénommés Bar 15 ou Bar 9, ce qui n’est pas une mince affaire ans un pays aussi concurrentiel que les USA.
Tout ça pour vous dire que ce Bersa mod23 en 22 Lr ne sort pas d’une sous marque chinoise.
Bien au contraire…
Notre gaucho des Pampas argentines de ce jour est un réputé Bersa modèle 23 en 22 Lr, un modèle très populaire là-bas.
Ne vous fiez pas à son faux air de Walther. Si je devais lui trouver une parentèle autre qu’italienne (Beretta 70), j’irai la chercher très loin chez son cousin Makarov notamment pour sa mécanique originale par rapport à son lointain cousin germanique.
L’arme est dans un excellent acier chromé qui fait honte aux productions « modernes » en duralumin blanchi chimiquement qui hantent le monde des 22LR contemporains. Et qui vous sont néanmoins vendus à « un pognon de dingue » pour ce que c’est. A ne pas faire tomber sur le béton du stand sous peine de dégâts irréparables…
Ici aucun souci de ce type. Du 100% bon acier de partout.
On a en plus affaire à une version ‘luxe’ en deux couleurs avec une culasse bleuté et une carcasse acier chromé « champagne » du meilleur effet.
L’arme est aussi bien construite et aussi bien dotée en rondeurs galbées que la belle Valeria Mazza, autre belle argentine chère au cœur d’artichaut de Maître Flingus. Car il n’y a pas que dans le domaine des armes que Maître Flingus, autrefois opératif, devient, sur le tard, plus contemplatif…
Le magnifique bronzage bleuté de culasse est présent à 98 % avec une petite marque coté gauche que j’aurai pu masquer d’une simple touchette de bronzage bleuté à froid. Mais ce n’est pas le genre de la maison. Vous pourrez néanmoins le faire sans aucun dommage pour une arme qui sera cette fois absolument parfaite.
Le chromage de carcasse est lui parfait à 100%, juste un peu sale. Aucune marque de manipulation ici.
Les plaquettes sont dans une sorte de noyer argentin qui a l’air très costaud puisque cette arme des années 70 ne porte quasi aucune marque de manipulation en bois.
Ce que vous voyez comme petits défauts en photos ne se voit pas en main. C’est juste du à mes ENORMES gros plans comme d’habitude. Mais comme ça vous voyez tout. Arme juste quasi parfaite et en superbe état. TBE++
Sa mécanique est tout aussi impeccable que son esthétique. L’arme est simple et double action avec un chargeur 11 coups. Très belle marge de capacité donc pour un « concealable » (arme discrète de petite taille).
Particularité mécanique: sa barre de transfert (pièces mécanique qui fait le lien entre la queue de détente et la gâchette qui elle reste interne) est ici externe en coté droit. On la voit bien coulisser vers l’arrière quand on presse sur la détente.
Pourquoi ce raffinement ?
Outre un usinage plus simple (pièces plates estampées faciles à produire), la barre frotte moins dans des logements étroits. C’est plus fiable et la course de détente est plus régulière. Le reset en est plus net aussi.
Elle est aussi plus facile à nettoyer et à entretenir (si elle ne glisse et ne remonte pas bien, on le voit). La saleté éventuelle ne vient donc pas jouer sur les tolérances étroites d’une version interne.
Bien huilée en permanence elle assure une souplesse étonnante du mécanisme en double action. Elle permet en outre un cadre légèrement plus mince (car on évite un conduit interne plus large pour le passage de la barre).
Le canon est splendide, absolument miroir avec de très belles rayures.
L’arme est extrêmement bien finie dans tous ses détails ( galbe et préhension des plaquettes, usinge du dessus de canon pour éviter les reflets du chaud soleil argentin, douceut de l’acier, organe de visée tritium…)
Arme légère pour une arme tout acier de construction robuste, le Bersa 23 est une arme idéale pour de longues heures de tir récréatif ou « plinking » comme on dit aujourd’hui (à tord) et surtout d’entrainement. Très bonne arme d’initiation au pistolet de défense à mon humble avis, idéale en cinq/quinze mètres. Excellente prise de visée en trois points.
Le Bersa 23 est plus solide que son très bon successeur Thunder 22. Bien huilé, il cycle n’importe quoi même s’il adore les CCI.
Sa taille et sa souplesse d’utilisation font du Bersa 23 une arme que l’on traine sur le stand sans y penser comme son paquet de clope ou un canif multi-usage. Une excellente arme réputée sur tout le continent américain pour son extrême précision. Bien moins cher qu’un peu courant Walther 22 LR pour une valeur d’usage supérieure.
Alors « What else? » vous dirait George Clooney.
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