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Exceptionnel ensemble Desert Eagle MK-XIX – calibre 44Mag – 2 canons (!) un 6 pouces et un 10 pouces (!)- Rare exemplaire IMI de fabrication israélienne (et pas US !) – Mallette IMI d’origine – Deux chargeurs – État NEUF ! Exceptionnel !
Revolvers et pistolets de catégorie BExceptionnel ensemble composé d’un pistolet semi-automatique Desert Eagle modèle XIX en calibre 44 Magnum et d’un second et très rare canon de dix pouces permettant d’exploiter au mieux cette mythique munition – Ensemble 100% fabriqué en Israël chez IMI – Qualité sensiblement supérieure aux exemplaires américains – deux kilo d’acier seulement – Boîte d’origine avec ses deux chargeurs – Arme hors normes par sa conception, ses qualités de finition et d’ajustage, sa puissance et sa précision – État intouché – arme non rodée comme NEUVE – Arme d’exception pour un tireur rechargeur des plus exigeants qui sera exploiter sa double canonnerie vers la haute performance. Unique dans cet ensemble.
Vendu !
Description
Cinéma et armement savent parfois s’associer pour nous faire rêver.
Pendant longtemps les armes « actrices » furent d’authentiques exemplaires originaux jamais modifiés pour le tir de munitions à blanc (on doit frémir à cette évocation chez nos amis de chez Maratier, remarquable costumier français et spécialiste de niveau mondial des armes de cinéma).
Il était donc facile pour un accessoiriste (surtout américain) de se procurer une arme pour achever la caractérisation de ses personnages. De part leur parcours historique ou leurs lignes évocatrices, nombre d’armes peuvent en dire beaucoup et situer un personnage sans qu’il ne soit nécessaire de faire de longues minutes de dialogues. « To show, don’t tell » disait Hemingway.
Et n’y eu t-il de plus grand mythe cinématographique armurier en ces dernières années du XXème que le Desert Eagle ?
La « Magnum mania » au cinéma remonte au célèbre personnage de flic seul contre tous, incarné par Clint Eastwood en Inspecteur Harry depuis 1971.
Depuis lors, dès qu’un personnage devait montrer qu’il en avait dans le pantalon, on lui collait illico un 44 Magnum au poing (aucun rapport entre les deux zones du corps humain, mais peut-être une histoire de taille de canon vous dira votre praticien freudien préféré!). En tous cas, ce n’est uniquement parce que les cartouches sont plus grosses et se voient donc mieux à l’écran…
Pouvait-on faire plus évocateur, plus moderne et plus puissant ? Un semi auto en lieu et place d’un revoler par exemple.
Si l’Automag en 1971 l’avait tenté, cette merveille de technologie (que Maître Flingus cherche partout dans le monde!) trichait un peu. Elle employait non pas du 44Magnum « normal » mais du 44rimless réalisé à partir d’étuis de 308 recoupés et sur lesquels une ogive en .427 avait été montée.
Voir un pistolet semi automatique automatique chambré dans une aussi puissante cartouche ou même plus puissante relevait de l’inconcevable. Il était donc indispensable que les ingénieurs en développe un.
En 1983, c’était chose faite. Le « soufflant le plus puissant du monde » était enfin passé à l’automatique.
Bernard C. White et Arnold Streinbergs avaient relevé le gant. Il leur fallut encore deux ans de recherche entre Magnum Research, aux États-Unis et Israel Military Industrie (IMI) en Israël pour y arriver (d’où les deux mentions sur l’arme!). Le bébé atteint même le redoutable poids de 0.50 AE, calibre le plus puissant à ce jour tirable dans un pistolet semi-auto, le record absolu des armes de poing étant toutefois conservé par le 500 Smith&Wesson Magnum, une munition pour révolver. Mais on atteint ici les limites du praticable. Notre Desert Eagle est bel et bien le pistolet le plus puissant du monde.
Restons en donc au déjà redoutable 44Mag et à notre arme.
Contrairement à l’immense majorité des pistolets qui utilisent l’énergie du recul pour fonctionner, le Desert Eagle, arme très particulière, emprunte une grande partie de son mécanisme aux fusils d’assaut d’Eugène Stoner (AR 15 et consorts) et… aux pièces d’artillerie fonctionnant par ponction de gaz. Mais, même si l’idée d’utiliser les gaz de combustion pour faire cycler une arme de poing dans des conditions optimales traverse, environ une fois tous les dix ans, le cerveaux des concepteurs d’armes, bien peu sont arrivés à produire une arme tirant tous les avantages de la ponction de gaz dans un engin fiable, solide et en série. IMI le fit.
De part sa conception, le Desert Eagle y a même merveilleusement réussi. Dans cette arme, les gaz partent des tous derniers centimètres du canon à travers un conduit usiné à même la carcasse. Pas de pièce supplémentaire. Juste l’indispensable piston. Les gaz empruntés s’échappent par la fenêtre qui se crée naturellement sous le canon quand la culasse repart en arrière. Fiabilité absolue.
Mais il y a plus que l’emprunt de gaz.
Avec sa culasse rotative, un dispositif souvent plus complexe mais plus favorable à la précision et qui hante épisodiquement l’histoire des armes de poing depuis le début du XX° siècle, et ses quatre tenons gigantesques qui assurent une solidité de granit à l’ensemble, on réalise à quel point cette arme est tout à fait hors norme. La glissière est au final assez peu couvrante, plus proche de celle d’un Walther P38 que d’un 1911. C’est l’ensemble des deux, emprunt de gaz et culasse rotative, qui est techniquement remarquable.
Ce petit fils spirituel du Colt Walker sortit d’abord en 357 puis en 44magnum. Puis vinrent le 0.50DE (12,7 x 32,6!), 419 DE, 41 Magnum et même en prototypal 357/44 Bain&Davis.
Qu’arriva t-il à quelques uns de ses premiers modèles de série fabriqués par IMI en Israël ?
Et bien, ils atterrirent directement à Hollywood qui sut illico comment les mettre en valeur : mettre ce pistolet entre des mains au moins aussi puissantes qu’il ne l’est lui-même, via Arnold Scharzenegger en personne. Très bonne pub pour la marque au demeurant ! Le héro de “Commando” (1985) n’avait sûrement pas assez de son lance roquette à quatre canons M202 et de sa mitrailleuse M60. Son arme du dernier recours se devait aussi d’être exceptionnelle. Les sbires des méchants de cinéma sont décidément de plus en plus coriaces…
Mais la carrière hollywoodienne du Desert Eagle fût loin de s’arrêter là. Que ce soit Scharzenegger ou Stalone, tous les grands héros du cinéma d’actions succombèrent à ses charmes. Son usage est aussi particulièrement recommandé pour se sortir d’urgence de la “Matrice” (1999) quand un fêlé qui porte des lunettes noires dans un tunnel et qui n’arrête pas de vous appeler “Mr Anderson” vous poursuit partout. Mais dans ce cas, il vous en faudra deux. Un dans chaque main. Faut c’qui faut !
Bref la liste des films qui en font l’usage est encore plus longue que le sublime deuxième canon de dix pouces qui orne le notre (nous y reviendrons un peu plus tard). Mon Desert Eagle de cinéma préféré étant celui de “Snatch” (2000) où il tient dans les mains de Vinnie Jones, dit Tony, un des rôles clé dans l’une des scènes finales des plus comiques…
Même au-delà du cinéma, l’arme a su bâtir ses propres mythes. Qui n’a jamais entendu les pures légendes urbaines qu’il aurait “été conçu pour stopper des camions béliers” ou destiné aux “pilotes de chars afin qu’ils aient une arme suffisamment puissante mais compacte” ? Foutaises pures mais la légende courre toujours devant son canon d’exception.
Hélas, aucune armée n’adopta jamais réglementairement ce pistolet qui a mangé un petit peu trop de soupe. Les militaires ont toujours historiquement eu un recul (si je puis dire le concernant!) devant les culasses rotatives en arme de poing réglementaires. Et pourtant l’arme est réellement remarquable. Son coût très élevé aussi a sans doute joué contre lui.
Le ”Deagle” est donc une arme destinée principalement à servir au tir sportif en club ici et, dans l’éternelle lutte du bien contre le mal, à repousser des invasions de pastèques sauvages dans des déserts américains.
Il est l’une des armes de prestige et de plaisir les plus populaires et les plus recherchées partout dans le monde. Loin d’être une arme de cinéma c’est surtout, en 44 mag bien plus qu’en 357, et surtout pas en 0.50AE, une remarquable arme de tir. Une arme de plaisir sportif.
Notre pièce est d’abord une excellente et rare fabrication israélienne de meilleure qualité que les fabrications US plus commerciales (99% des Deagle vendus en France sont des “Made in USA”). On sent un acier venu d’un des meilleurs complexes militaro-industriels du monde – La finition est juste bluffante – Son traitement de surface, probablement venu du monde militaire israélien – semble aussi éternel que les collines de Jérusalem. Quasi magique. Une confidence ? Cette arme a réconcilié Maître Flingus avec les fabrications et les finitions modernes qui, quitte à utiliser des techniques modernes, devraient toutes être comme celle-là…
Sorti négligemment de sa housse comme si c’était un simple Des 69 en 22, vous pourrez dire avec le plus grand flegme feint devant des yeux fascinés : « c’est mon petit dernier, mon préféré, voulez vous l’essayez ? Je vous préviens cela remue un petit peu ». Cholokhov (1905-1984) ne vous en voudra pas d’avoir paraphraser son Don paisible.
Et vous voulez plus exceptionnel qu’une arme exceptionnelle?
Et bien notre Desert Eagle ne possède pas un canon mais deux ! Il est livré avec un rarissime et très esthétique second canon en dix pouces (!) en sus de son canon normal de 6 pouces et dans la même finition. Revers de la médaille il me faudra bien sûr deux autorisations de catégorie B…
Maître Flingus est certainement le seul armurier en France à proposer un tel ensemble d’origine, en qualité israélienne, 6 pouces /10 pouces. Et il est fier de sa trouvaille! Rappelons en matière de qualité que IMI est aussi le producteur/concepteur du Galil de l’Uzi, du Jéricho, du Negev et du Tavor qui remplace leur M16/M4. Des experts.
Ce second canon 10 pouces est neuf – magnifique – parfaitement cohérent de finitions et de marquage avec l’arme. Tous deux portent en effet les poinçons de Walther Allemagne qui l’importateur de IMI Israël pour toute l’Europe.
Ce canon de dix pouces est vraiment un must absolu pour un tireur de stand. Car il vous garantira une utilisation réellement optimale du 44 Mag dans cette arme magnifique – temps et taux de combustion de la poudre et ligne de mire, tout sera allié pour vous donner une précision de folie en stand. Et en TSV aussi.
Soyons clairs: Le 44 Magnum dans un pistolet c’est juste le pied. Et dans ce pistolet à emprunt de gaz c’est sera encore mieux que le pied ! Rien à voir avec du 44 en révolver.
Quelle sensation au tir ? De façon surprenante le recul est un peu plus faible qu’avec un révolver de même calibre – poids de l’arme et système de récupération de gaz obligent. Il est extrêmement précis et encore plus en 10 pouces bien sûr. Et dans un tel calibre ! Exceptionnel !
A vous désormais d’inventer les jeux de stand qui iront avec y compris à 50 mètres et plus !
Le changement de canon est un rêve de simplicité, d’efficacité et de solidité. Une fois remis en place, rien ne bouge. Jeu zéro. Impressionnant. Conception remarquable.
A noter que notre arme a si peu tirée qu’elle n’est pas rodée. Elle a tiré environ 300 munitions quand il en faut 500 pour un rodage complet. Après ces premières cartouches, elle ne porte néanmoins aucune rayure, témoin de sa qualité de finition. Elle est neuve!
Son précédent propriétaire l’a acheté plus par pure admiration esthétique de la beauté de l’arme que pour sa puissance et sa précision. Il est exact que quand on voit notre Desert Eagle si superbe on a presque peur de le sortir au stand. C’est le grand drame des trop belles armes ! Je le remercie au passage pour ses photos d’artiste si supérieures aux miennes et même s’il est encore plus beau en main! Merci Sylvain !
Quant à moi je vous recommande quand même un usage intensif dans votre stand préféré pour des après-midi de performances et de bonheur. Il ne craint vraiment absolument rien d’un usage intensif. Je pense même humblement que si son nouveau papa est aussi rechargeur, il le le conduira naturellement au sublime en lui trouvant SA munition la plus adaptée. Mais ce n’est que mon avis.
Votre « canon à main » vous parviendra dans une belle mallette d’origine IMI avec ses mousses parfaitement dimensionnées afin que s’il vous tombe sur les pieds, il n’ait pas la moindre rayure. La baguette de nettoyage est absente. L’outil de nettoyage du piston, plus important, est également fourni.
D’excellentes plaquettes en caoutchouc souple viennent encercler la crosse sur sa totalité afin de rendre le recul encore plus civilisé. Elles sont bien sûr d’origine et au logotype de IMI. La prise en main est excellente. Leur teinte noire se marie parfaitement avec celle légèrement grise du bronzage de l’arme. Pas une rayure, pas une seule marque, son état est tout simplement remarquable.
Sa mécanique simple action contraste avec l’impression de force et de masse de cette arme. Cliquetant harmonieusement et tout en souplesse, il n’y a rien à redire. Le soin qui lui a été porté est incontestable. La sûreté, montée sur la culasse, est parfaitement ambidextre. Son maniement est d’une étonnante facilité. Le départ est un rêve. Rien d’une détente militaire. Les marquages sont aussi beaux qu’agréables à l’œil. Aucun jeu nulle part, c’est le bonheur.
Le déverrouillage de chargeur se fait aisément et le remplissage de ce dernier ne pose pas de souci. Le levier de démontage de l’arme se situe sur son flanc droit, un simple quart de tour et l’opération est réussie. Pas besoin de presser la détente ou faire des acrobaties à se pincer les doigts, tout glisse superbement. Génial.
Le Desert Eagle est une arme disposant de nombre d’accessoires sur le marché (crosses, talons de chargeur,…) et est largement customisable si vous y tenez.
Bien évidemment, pas le moindre signe de corrosion dans ses deux canons qui sont neufs et disposent de rayures polygonales de type Metford. Avec elles, vos ogives seront aux petits oignons.
Détail mais non des moindres, un rail picatinny est usiné dans la masse de l’acier du canon lui-même (!) (et pour les deux!) ce qui en fait l’emplacement idéal pour monter un point rouge ou une lunette (oui, osons!). La stabilité sera au rendez vous et la précision de l’arme exploitée encore au mieux. Elle est réellement faite pour. Juste top !
Un second chargeur 8 coups complète cette arme prestigieuse dont la simple évocation et les résultats en cible (surtout en 10 pouces!) feront se retourner toutes les têtes du stand.
Conception remarquable, parfaitement adaptée à son mythique calibre, summum du chic en finition, qualité irréprochable des aciers, fabrication de pointe d’une des meilleures industries armurières du monde, arme déjà iconique de l’histoire de l’armement, le tir au Desert Eagle Made in Israël en 44 en 10 pouces est une expérience à faire au moins une fois dans sa vie. En posséder un et pouvoir le sortir aussi souvent que possible est un privilège de Maitre d’Armes. Unique vous dis-je !
PS : Cette arme est réglable en plusieurs fois sans souci – Loin de Maître Flingus l’idée de vous priver de l’exception pour de stupides considérations matérielles ! Pour info le canon de 10 pouces dans cet état de neuf cote à lui seul 1200 euros, un “Deagle normal”, made in USA, dans les 3.200 euros et les fabrications israéliennes pures dans les 3600 (quand on les trouve!) et tout ça sans le 10 pouces … Second canon et arme sont inséparables.
ARME DE CATÉGORIE B AU CSI : SOUMISE À AUTORISATION, PHOTOCOPIE DE LA PIÈCE D’IDENTITÉ ET ORIGINAUX DES VOLETS 1 ET 2 DE L’AUTORISATION. Ou du volet 1 d’une autorisation libérée par une cession d’arme et encore valide. Expédition contre signature en deux colis séparés d’au moins 48 heures obligatoire.
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