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Exceptionnelle carabine à levier sous garde Marlin modèle 1894 S – Rare série commémorative « 1894 CENTURY LIMITED » – Exemplaire 2.152 sur 2.500 produites seulement – Arme de 1994 – Poinçon ‘JM’ pour Marlin par Marlin – Cal. .44-40WCF – 9+1 coups – Bois de noyer de grade supérieur – Mécanique de rêve – Canon de 62 cm Micro-grooves somptueux – Boite d’origine en TBE ausssi et documents – Pièce d’exception en état neuf – TBE+++

Armes Longues de catégorie C

Splendide carabine Marlin 1894 S – Très rare commémorative « 1894 Century Limited » – Calibre 44-40 WCF magnum – Arme de 1994 – Numéro 2152/2500 –Magnifique canon octogonal de 62 cm dans le fameux micro-groove – Grande précision – Capacité quasi double celle d’un revolver dans le même calibre –  Mécanique ultra ajustée et de grande classe – Crosse de beau noyer de qualité supérieure – Jaspage à la boite de chez Turnbull’s en parties mécaniques – Bronzage à la couche parfait ailleurs – Gravures somptueuses sans équivalent dans la concurrence – Mécanique de pointe en ajustements.- La Roll’s Royce des leviers de sous-garde dans une édition collector rarissime et en état de neuf – Livrée avec boite d’origine et documents – Pièce d’exception pour un collectionneur-tireur exigeant – TBE+++

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Description

Fortement liée à l’esprit pionnier, la carabine à levier de sous-garde fait figure d’arme éternellement jeune et extrêmement maniable. Une arme de western à la bataille contre les indiens. Une arme d’homme libre face au défi et à la nature. Une arme de rêve de gosse aussi…

Aujourd’hui, elle est aussi l’étendard de la Liberté dans de nombreux états US qui prohibent les fusils d’assaut.

Souvent chambrées dans des calibres d’arme de poing, et classées en catégorie C, ce sont des armes fort plaisantes à tirer et dont l’efficacité tant sur la cible que sur le cochon se mesure à plus de 150m sans souci. Ça laisse de la marge…

C’est un excellent choix de première arme d’épaule, après une carabine 22LR, pouvant se tirer dans tous les stands de tir avec de vraies sensations sans ruiner ni son épaule ni son portefeuille pour les modèles les plus accessibles.

Mais ce sont aussi de fantastiques objets de collection et de prestige, des objets du désir dirais-je encore, tant leur histoire armurière et leur histoire tout court est fantastique. Notre exemplaire de ce jour en est la preuve.

La première Marlin « moderne » est sortie des usines en 1894. Et c’est justement la « 1894 ».

En fait, quasi concomitamment avec sa grande sœur née juste quelques mois plus tôt pour les gros calibres longs, la 1893.

Car la 94, c’est exactement la même en mécanique que la 1893, mais pour calibres de poing ou mixtes, essentiellement en 44-40 (dès l’origine) puis en 44 mag (en 1969) et aussi (un peu moins) en .357mag (en 1979).

Elle a quand même connu 8 autres chambrages, beaucoup plus confidentiels et anecdotiques, du 218 bee au 45 LC en passant par le .41mag.

Ce millésime 1893/94 est au départ destiné à remplacer ses modèles 1881 et 1889, dont L.L Hepburn, ingénieur maison, transfuge de chez Colt, simplifie le design, leur permettant d’atteindre une quasi perfection.

Vers 1890, la concurrence est en effet très rude dans le monde des carabines à répétition tant le concept est populaire.

Bon marché et offrant une puissance de feu sans pareil, quelques hommes peuvent avoir, avec des leviers sous garde en mains, la force d’une petite armée.

Ainsi, les vrais frères Dalton (pas ceux de la B.D!), après avoir attaqué le train de Santa Fé le 9 mai 1891, armés de Winchester à levier sous garde purent, à quatre, tenir tête et repousser toute une milice armée de bons vieux fusils de chasse chargés à chevrotines…

Le Modèle 1889 de Marlin fut le tout premier fusil à répétition à levier sous garde à incorporer une boîte de culasse plate, en acier massif, avec une éjection latérale des étuis tirés. Un fantastique progrès, notamment de sécurité, en cas de cartouche à feu retardé (hang-fire), très fréquent à l’époque, et surtout de solidité, qui lui fit immédiatement tailler des croupières commerciales à l’inamovible Winchester.

Mais la 1894 est une simplification, et, de fait, une grande amélioration du modèle 1889. 

Outre le boîtier fermé et l’éjection latérale (bien avant winchester), le modèle 1894 supprime le tenon de verrouillage arrière qui allait jusqu’au pontet. Il pinçait régulièrement les doigts du tireur en tir trop rapides.

Marlin y ajoute une détente monobloc plus fiable et un percuteur en deux parties qui empêche de faire feu si le levier de sous-garde n’est pas totalement refermé et le boitier totalement étanche.

Enfin, le verrou de levier de la 1889, externe au levier, est remplacé par un loquet intégré directement sur le levier lui-même. Toujours plus solide et fiable.

La rigidité de l’ensemble était ainsi décuplé et permettait des armes plus légères sur lesquelles la pose d’optique était d’une grande simplicité. Il faudra attendre les années 1970 pour que la concurrence propose, en option, des carabines dites « angle eject » à éjection latérale.

D’un point de vue mécanique, nous sommes sur une conception des plus rationnelles avec un verrouillage à la fois arrière et avant de la culasse.

Le mouvement du levier demande une amplitude réduite et aucune pièce interne ne trouve exposée. Ceci est d’autant plus vrai que les modèles anciens conservaient un « dust cover » se refermant sur la fenêtre d’éjection une fois le levier ramené pour éviter ces soucis. Inutile sur une 1894.

Cette résistance à l’introduction de corps étrangers, comme aux températures très négatives, étaient des plus utiles et des plus recherchées aux USA.

Marlin possédait donc, avec la 1894, plusieurs longueurs d’avance sur ses concurrents et offrait de nombreux avantages auxquels les amateurs de tir de précision autant que les chasseurs trappeurs, nombreux aux USA, étaient sensibles.

Le Modèle 1894 (et ses successeurs dérivés) fut donc, logiquement et particulièrement, apprécié au Canada, en Alaska et aux USA dans le Nord-Ouest Pacifique.

Dans ces zones, pluies et basses températures se conjuguent souvent jusqu’au gel des mécanismes des modèles à éjection par le haut de type Winchester. La Marlin 1894 devint donc aussi l’arme fétiche des prospecteurs de la ruée vers l’or du Klondike. Elle fut produite jusque 1935. Pas mal, non?

En 1969, sous l’effet de la Vox Populi et, enfin, d’un retour en grâce des indispensables leviers sous garde, la 1894 fut ré-introduite en bénéficiant d’une autre innovation importante de la marque et venue du Modèle 336 de 1948: le canon à rayures micro-grooves.

Orgueil de la marque, ses canons micro-grooves, i.e.à rayures plus nombreuses et moins profondes, particulièrement précis, permettent en plus un encrassement des plus réduits et une résistance à l’usure accrue. A eux seuls, ils témoignent d’une pensée avant tout tournée vers l’utilisateur quand on faisait des armes pour plusieurs générations.

Des 44-40 cuivrées ou demi genre Winchester Power-Point et assimilés feront des miracles dans ces micro-grooves…

L’ouverture naturelle de la culasse des 1894 de Marlin est un plaisir. Rien n’a de jeu, tout est parfaitement ajusté. L’impression de sérieux qui s’en dégage est sans pareil.

Ce n’est pas pour rien que les nouvelles marques, se lançant dans les carabines à levier, ont quasiment toutes repris le mécanisme et la configuration des Marlin. Que ce soit Pedersoli, Chiappa, Henry, Rossi et Smith & Wesson désormais, tous leurs modèles, destinés à la chasse ou bien tactiques, sont construits sur une architecture de Marlin.

Le mythique calibre 44-40WCF prend tout son sens dans les 62 centimètres du canon de cette carabine. Toute la poudre a le temps de brûler. Ce qui est loin d’être le cas dans tous les revolvers…

Vous apprécierez aussi la faiblesse du recul dans un canon de cette taille et de ce poids. La bonne précision de ce calibre honorera une ligne de mire généreuse comme celle de la Marlin 1894.

Il peut être également fort plaisant d’opter pour un duo carabine et revolver tous deux chambrés ainsi. Vous marcherez ainsi sur les traces des Cow-boys et de l’Ouest en vous rappelant que cette mixité étaient déjà l’argument de la 44-40WCF lors de la conquête…

Voilà ce qu’il faut savoir sur le mythique modèle 1894 de Marlin un modèle qui fait le succès de la marque et la fidélité de ses clients depuis maintenant… plus de 130 ans.

Doit bien avoir quelques raisons.

 

Notre très belle demoiselle de ce jour est un RARE modèle commémoratif de la Marlin 1894 dédié au centenaire de ce succès fétiche de la marque et créée donc en 1994.

Outre que cette Marlin 1894 bénéficie de finitions hors normes, il faut bien remarquer que Marlin a fait fort peu de commémoratives et en nombre très limité à chaque fois. De plus, elles ont été réalisées du temps des « vraies » Marlin de chez Marlin (i.e. avant 2002 ). On va y revenir.

Je ne connais l’existence que de quelques commémoratives Marlin, de cette époque. Ce n’était pas « la mode » chez Marlin à la différence de Winchester.

Je vois une Centenial de la marque (1870/1970), une Cowboy Limited dérivée du modèle éponyme vers 1980, notre Century de la 1894 (en 1994), la « Bat Masterson » de 1994 aussi, 4 ou 5 éditions variés d’un modèle NRA et une 60th anniversaire « Ohio Gun Collectors » de 1967. Pas grand chose d’autre…

Winchester en revanche c’est 119 (!) « Commémoratives » auxquelles s’ajoutent 19 « Séries Spéciales » type Coca Cola et 11 « Commandes privées (Private issue) type Roy Rogers, Jr. ou First Suiss American. Rien que cela.

De plus, Marlin n’a produit, et pour la plus produite de ses commémoratives, que 2.500 pièces au maximum. Ce sont de vraies séries limitées et collector dès la naissance. C’est le cas pour notre Century Limited de ce jour.

Beaucoup moins de pièces dans un modèle que chez bien des éditions Winchester. Les séries limitées de Winchester sont en effet très souvent de bien plus que 2.500 pièces (Souvent 10.000 et plus et parfois plus de 100.000!) dans ses innombrables éditions commémoratives ou privées (Coca-cola…). Jamais Marlin n’a fait ça.

Marlin a, en revanche, parfois ajouté une édition encore plus limitée (!) à son modèle commémoratif avec 100 pièces réservées uniquement… au personnel ! C’est d’ailleurs le cas, par exemple, de notre Century qui existe aussi en version « dédiée au personnel »!

C’est dire la grande rareté des Marlin commémoratives de la grande époque Marlin comme la notre.

La pièce est magnifique avec des matériaux de premier choix et des ajustements de rêve.

Elle en en effet marquée d’un poinçon « JM » en canon. Ce poinçon est aux initiales de John Marlin, le fondateur de la marque. Et c’est important.

C’est le signe d’une fabrication d’avant la reprise de Marlin de 2008 et de ses conséquences. Le « JM » est à Marlin ce que le pré-64 est à Winchester.

Début 2008, Marlin, en difficultés financières pour n’avoir jamais voulu rogner sur la qualité dans un marché toujours plus tiré vers le « apachère », est rachetée par Remington.

Les sites de productions de Marlin furent fermés et les standards de production baissèrent suffisamment pour provoquer les soucis de qualité relevés par les tireurs américains (bris de pièces, finitions aléatoires, métaux micro-bullés, etc…).

Remington corrigea le tir, si je puis dire, vers 2014/15 mais ne put éviter lui-même la faillite à son tour en 2020.

La marque Marlin est désormais produite par Sturm Ruger qui l’a reprise à la faillite de Remington avec des critères de fabrication certes modernes mais très sérieux comme Ruger sait les gérer.

Vous pouvez donc acheter une Marlin 94, 95 ou une 336 neuve ou post-2016/2020 (période Remington)  aveuglément même si les finitions et ajustements ne seront jamais ceux de la grande époque Marlin dont notre carabine de ce jour est une très belle représentante.

Ce poinçon « JM », c’est même le dernier poinçon qui était apposé au terme du contrôle qualité de chez Marlin quand l’usine existait encore.

Les armes marquées JM sont les plus recherchées aux USA.

Notre charmante demoiselle nous vient avec une belle plaque de couche en laiton en parfait état et qui contraste avec le magnifique bronzage à la couche noir profond de l’arme.

On voit aussi des traces de doigts exagérés par mes TRÈS GROS plans et aussi des reflets comme des tâches sur mes autres photos. Mais que voulez vous Maître Flingus n’est pas photographe. L’arme, elle, est une perfection.

Un ajustement « de pro » la sépare d’un bois châtain au grain serré. Soigneusement verni façon satin, sans aucune trace de manipulations, ses bois sont absolument magnifiques. C’est un noyer rouge US de très haute qualité (genre grade V). Il est agrémenté d’un quadrillage profond et net, en poignée et en fût, absolument superbe, et assurant une excellente prise en main.

Aucune coup ou manque. Bois neufs – juste somptueux. Les tâches ou défauts éventuels c’est mes damnés gros plans comme d’habitude. Bois et quadrillages réellement superbes

En bois également, le célèbre « Bull’s Eye » de la grande époque Marlin, symbole de sa précision, et du coup direct dans l’œil du bison à longue distance. Il est incrusté (encore une manipulation coûteuse) en dessous de crosse derrière la sous-garde.

Cela permettait de reconnaître immédiatement cette excellente carabine et ses sœurs Marlin de tous modèles, même à levier de coudé, immédiatement et même cachées au milieu du mieux garni des râteliers d’armurier!

C’était un des buts de Marlin en inventant cette marque distinctive. Que le client repère au 1er coup d’œil où étaient les Marlin en pénétrant dans l’échoppe de son armurier préféré.

Qui dira que les américains n’ont pas un sens très pratique du marketing ?

Le boîtier est d’une rigidité à toutes épreuves conforme aux aciers de qualité supérieure employés par Marlin à l’époque. Et surtout cet acier premium ne passe pas inaperçu car il est jaspé. 

L’arme est en effet entièrement jaspée « à la boite » dans ses parties mécaniques. Cette méthode est longue en fabrication et les recettes sont complexes voire parfois secrètes (os, cuir…). Mais c’est la plus esthétique et surtout la plus résistante.

Hors le boitier, le levier sous garde et la culasse mobile sont également jaspées à la boite. Ce travail a été réalisé par les ateliers de Turnbull’s, un des grand bronzier américain, pour Marlin. Du grand art.

Jaspage présent à 100% évidement. Aucune griffure.

Les gravures, très fines, qui représentent un splendide cerf à gauche, et un très fin cowboy à cheval à droite, tous deux au milieu d’un très élégants décors de volutes, sont juste magnifiques. 

Ces gravures ont été réalisées à la main par un artiste italien, mandaté par Marlin, Bottega Giovanelli et son atelier et qui les a signées. Cet atelier est le graveur des armes les plus luxueuses de Beretta. Signature gravée en boitier.

Absolument rien à voir avec les gravures des Winchester commémoratives même s’il me peine de le dire. Mais j’en ai eu des dizaines entre les mains et c’est on ne peut plus clair en main. Un ami et client de passage qui a eu la chance de pouvoir comparer les deux gravures armes en main n’a pu être qu’ébahi par la différence.

Toutes les têtes de vis sont impeccables. Neuves aussi. Jamais démontées.

Le départ est d’une netteté absolue.

Le chien vient aisément se mettre en position. Là aussi on sent la fermeté du à d’excellents ajustements manuels des pièces en contact avec une autre.

La trappe de chargement reprenant l’excellent brevet King, identique à celui des winchesters, qui permet un accès des plus commodes au magasin. Il ne porte aucune trace d’introduction de cartouche. Neuf.

La ressort de soutien de portière est néanmoins souple. La technique consistant à engager à demi une cartouche pour faciliter l’introduction de la suivante est ici superflue. Aucun risque de pincement de doigts, foi de Flingus, et même si elle n’est absolument pas rodée !

Cette arme n’a jamais tiré après ses coups d’épreuves. Elle a été éprouvée deux fois, aux USA en 1994 et en Allemagne en 1995.

L’armement du levier est souple et ferme à la fois. Aucun jeu. Le levier se manipule avec assurance et fluidité. On le croirait monté sur roulements à billes. Même si tout ça n’est pas du tout rodé encore une fois.  La qualité des ajustements Marlin de la grande époque parle encore d’elle-même.

Je trouve ces leviers Marlin, et de loin, de bien meilleure qualité de manipulation que ceux des Winchester commémoratives contemporaines. Rien à voir. J’en ai vu avec des leviers se baladant latéralement sur plus de 4 cm à la manipulation ( 2cm à droite/2cm à gauche).

On l’aura compris. Maître Flingus, dans le débat homérique et infinis, entre partisans du clan Winchester et affionados de la tribu Marlin a choisi son camps. Et c’est bien une Marlin qui orne son maigre râtelier personnel pour le chapitre levier sous garde. Mais il n’oblige personne à faire comme lui. Winchester aussi a fait de grandes choses mais c’était avant 1964 et encore un peu jusque vers 90.

Dans les fabrications Marlin de ces années là, les ajustements sont encore de rêve – une simple comparaison de manipulation du levier vous en convaincra si vous êtes déjà propriétaire d’une autre arme d’après les années 2000.

Le dessus de boitier est orné d’une jolie mention, superbement gravée elle aussi, qui indique la présence de la fameuse sûreté transversale de boitier (Cross bolt safety) Marlin. C’est le sens du « S » sur ce modèle. Elle équipe tous les modèles Marlin désormais.

Le canon octogonal est aussi beau et pur que le teint de Blanche Neige. Le canon octogonal était une option de catalogue à l’origine qui coutait un supplément non négligeable par rapport au canon rond chez Marlin.

Ses rayures sont aussi longilignes et nettes que les jambes de Maria Sharapova. Magnifiques !

Sa longueur totale de 62 cm, permet de tirer toute la quintessence de la 44 magnum. Beaucoup de 1894 « façon selle » sont souvent en 47 cm de long seulement.

La hausse est de type « semi-buck horn », avec une fente en « U », confortable, simple et bien pensée.

Il est possible de la faire sortir de son logement à queue d’aronde pour monter un rail long allant jusqu’à l’arrière du boîtier ou bien une hausse à œilleton et fibre optique qui sera fort appréciée par votre œil.

Le bronzage extérieur est un bronzage à la couche, noir de geais, très beau et présent à 100%. Aucune oxydation – Aucune peau d’orange – aucune griffure non plus. Juste neuf. TBE+++

Le guidon lame à insert laiton (la classe absolue) est monté sur un support trapézoïdal, très utile contre les reflets. Comme tout chez Marlin, il est possible de le remplacer par le modèle de votre choix avec le minimum d’outil. Même si, sur le fond, je le déconseille fortement sur ce collector rare.

Bref, une arme des grandes années de fabrication Marlin dans un état neuf. C’est un must. Car chez Marlin à partir des années fin 2000, comme chez les autres souvent à partir des années 85/90, tout change et pas en bien.

Marlin, c’est ce qui se fait, et se faisait déjà de mieux, en levier sous garde dans une époque très qualitative. 

Cette carabine 1894 a déjà tout pour plaire avec la polyvalence de son calibre, sa capacité en munitions, son maniement, sa mécanique et son esthétique. Arme superbe.

Dans cette version commémorative très rare, aux finitions encore plus soignées et sans comparaisons avec sa concurrence, elle constitue une arme véritablement d’exception pour un collectionneur-tireur très exigeant. 

On ne la voit quasiment jamais sur le marché.

Je la livre avec sa boite d’origine illustrée, en TBE+ aussi, qui évoque toutes les aventures de l’Ouest, et qui est bien au numéro de l’arme et avec ses documents d’origine. Un collector absolu dans son genre. Une des 2.500 dont très peu sont en Europe. Une occasion exceptionnelle. Une occasion Flingus.

 

 

Arme de catégorie C au CSI : Licence de tir en cours de validité y compris médecin ou bien un permis de chasse avec sa validation pour l’année en cours ou l’année précédente ET CNI ou passeport en cours de validité. COMPTE SIA OBLIGATOIREMENT OUVERT !!

Rappel avec votre licence ou permis de chasse vous pouvez détenir sans limite de nombre des armes de catégorie C.

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