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Vendu !
Mythique revolver Smith&Wesson modèle M27-2 – cal .357Mag – Arme de 1981 – Fabrication et mécanique de qualité introuvable aujourd’hui – Revolver du FBI et des trappeurs – Canon de 6 pouces fluté – Bronzage noir glacé superbe – Arme d’exception pour tireur d’exception – TBE+
Le musée de Maître Flingus, ou "c'est déjà vendu !" avec descriptions et photos !Très beau Revolver Smith et Wesson M27-2– Calibre .357/38 spécial – Arme de 1981, dernière année de production des “Pinned and recessed” – Fabrication et ajustements hors pair – Canon 6 pouces fluté superbe – Un des plus costauds de tous les magnums – Arme avec très peu de recul – Bronzage noir glacé à 98,5% – Plaquettes épaisses type Magna – Mécanique introuvable aujourd’hui – Chien et queue de détente élargis – Absolument increvable et chef d’œuvre du savoir faire armurier en TBE ++
Description
A une époque où polymère et acier mat se sont imposés, on ne peut que s’émerveiller devant la qualité de finition de ce qu’était une arme standard d’il y a seulement 50 ans.
Même si à l’époque déjà, posséder un 29-2 était un signe extérieur très qualitatif.
Ces armes sont de celles qu’on vous vendait encore en vous disant qu’elles feraient encore le bonheur de votre fils et de votre petit-fils.
Et c’était vrai. 400.000 coups de potentiel au moins. Et dans des mécaniques et des finitions… Une autre époque.
Ces armes, qui ont marqué notre imaginaire, étaient alors autant à leur place au stand que dans les fontes des motards de la route aux États Unis.
Que ce soit niveau esthétique comme mécanique, la machine et le laser n’ont jamais su remplacer totalement la compétence des ouvriers très qualifiés qui œuvraient alors. Le chef de production de Smith ne prenait d’ailleurs pas un ajusteur en dessous de 15 ans inexpérience.
Issus d’une longue lignée, ces « gros » Smith & Wesson sont bâtis sur la carcasse N.
Apparues une première fois avec le modèle 1908, aussi appelé le Triple Lock, les armes bâties sur cette carcasse étaient, et restent, parmi les revolvers les plus solides du monde. Destinées alors aux puissantes 45 long Colt et au tout nouveau 44 special, ils étaient déjà les plus puissants de leur temps.
Cette complexité de verrouillage est le fruit d’une rivalité plus que centenaire entre les firmes Colt de Hartford et Smith de Springfield.
A la manière de la course à l’espace, où chaque bloc devait faire toujours plus fort que son rival, il fallait développer l’arme la plus précise, avec la platine la plus douce et le verrouillage le plus solide.
Les TripleLock de Smith avaient pour eux un troisième point de verrouillage situé sur la potence du barillet les transformant en véritables coffres forts.
Colt ironisait en vantant la qualité de ses barillets qui, eux, «tournaient dans le bon sens ». Smith répliquait par des armes qui, cent ans après, n’ont pas bougées.
Hélas pour le Smith, sa trop grande complexité et son coût ne furent pas du goût de la clientèle tant militaire que civile.
Toutefois, à la demande de l’armée britannique, le plus gros des Smith & Wesson évoluera, empruntant aux modèles de la taille du dessous son verrouillage en deux points seulement. Naîtra ainsi le Hand Ejector 2nd Model, chambré en 455 webley.
C’est cette variante, adaptée au 45 acp, qui deviendra enfin le premier Smith & Wesson adopté massivement par l’armée US.
Voilà déjà un beau palmarès pour ces “gros” revolvers.
Mais leur histoire prend une toute autre tournure dans les années 1930 avec la prohibition finissante qui a obligé les forces de police à des échanges très musclés avec la pègre et ses Thompson et, aussi, avec les recherches d’un certain Elmer Keith (1899-1984) sur une des variantes de la 38 SP destinée au tir de précision et chambrée en 38/44.
Cette munition, au nom farfelu pour nous européen, est pourtant parfaitement logique pour un américain pragmatique.
Il s’agit tout simplement d’une cartouche de 38 (beaucoup) plus puissante ne pouvant être tirée que dans des revolvers à carcasse N destinée au 44 pour pouvoir résister …
Car la révolution que fut l’arrivée de la poudre sans fumée ne s’accompagna pas immédiatement d’une si grande révolution en matière de munitions, en particulier pour ce qui est des armes de poing.
Si les militaires améliorèrent eux rapidement les performances de portée et de pénétration de leurs munitions de fusils, de nombreuses munitions d’armes de poing n’étaient alors encore que de simples munitions à poudre noire remplies différemment.
Et Elmer Keith cherchait.
Partant d’un revolver Smith modèle « 38/44 Heavy Duty », Keith entreprit de voir ce qui se passait si on augmentait la charge des étuis de ces 38/44. Pour mémoire, leurs étuis seuls font plus de 37 mm. Ça dépend de la forme de l’ogive mais une cartouche de 357 complète, avec sa balle, est souvent plus courte que la douille de 38/44 seule !
Certes, quelques uns de ces revolvers firent les frais de ces expérimentations mais rien n’est trop beau pour la Science. Pour info, Smith commercialisa entre 1930 et 1941 toutes une séries de ses excellents révolvers en 38/44.
Vous l’avez compris nous sommes sur le chainon manquant qui nous même à la 357magnum.
C’est ainsi que naquit en 1934 une cartouche appelée à une célébrité mondiale, doublant la vitesse du 38 special, la 357 mag. Elle devint pour 20 ans la cartouche la plus puissante du monde culminant à 500m/s en sortie de bouche.
Elle répondait avant tout à un besoin de munitions à fort pouvoir d’arrêt et de perforation pour faire face aux blindages des automobiles, besoin qui datait des histoires de la prohibition.
Il fallait désormais que Smith, avec lequel Keith travaillaient étroitement, sorte le “soufflant” qui allait avec cette nouvelle cartouche.
Sorti en 1935, le « Registred Magnum » allait devenir un monstre sacré de l’histoire de l’armement. Les journaux relataient ces exploits à la manière d’un sportif.
C’est muni d’un de ces revolvers avec un canon de 8 pouces ¾, (commande spéciale) que Douglas Wesson, vice président de la firme, affirmait avoir réglé son compte d’une seule balle à un élan à … 350m de distance ! Marseillais, Douglas ?
Pour un prix de 60 dollars de l’époque, sur commande uniquement, vous pouviez vous offrir une de ces merveilles. Une réduction spéciale de 20% était offerte aux forces de police. Le premier fut offert à John Edgard Hoover, le boss du FBI.
Seuls 6.642 exemplaires de ces tous premiers 357 seront produits avant 1946.
Après guerre, la descendance du Registred Magnum en 357 mag deviendra un standard incontesté tant chez les forces de l’ordre que chez les civils pendant près de 40 ans.
Vous l’avez d’ailleurs déjà vu un peu par hasard ce Registered Magnum: c’est celui (ou plutôt ceux car il en a deux) du Général Patton à crosse d’ivoire dans le film éponyme !
Avec le changement dans les appellations de ses modèles en 1957, ce Registred Magnum deviendra le Modèle 27, le M27 en abrégé.
C’est notre arme de ce jour et vous en connaissez désormais l’histoire et celle de sa munition.
La carcasse massive de ce modèle en faisait un véritable tank, un dur à cuir, qui pouvait se nourrir d’un large éventail de cartouches de la 38 wadcutter à la plus puissante 357magnum.
Dans la doctrine de l’époque, l’entraînement des policiers se faisait à coups de 38 tandis qu’en service, les barillets étaient remplis de 357.
Le succès de ces premiers Smith 27 n’est pas du uniquement au calibre. Leurs performances s’expliquent aussi par leurs très hautes qualités mécaniques.
Smith est d’abord le premier fabriquant à avoir pensé ses platines pour les rendre les moins sujettes aux incidents et à l’usure du temps.
Sa platine contient dix pièces de plus qu’un Colt Officer. Et en matière de sensation, surtout avec des ajustements Smith, comme en terme de durabilité, celles-ci font la différence.
Colt recommandait de renvoyer ses Python tous les dix ans en atelier pour une révision complète. Sur un Smith, c’est une notion parfaitement superfétatoire.
En conservant un ressort à lame pour la percussion, le mouvement de rotation du chien est transmis dans la direction inverse à son ressort, l’accompagnant de la même manière que l’échappement à ancre d’une montre ou la force d’un trébuchet. À l’opposé, la détente nécessite un accompagnement plus linéaire, dans le prolongement de l’index, ce qui explique son ressort en spirale.
Bref, dans ces “gros” Smith là, tout est pensé. Et dans la qualité de fabrication de ses années là, on est à des souplesses que peuvent même envier nos Manurhin. Le tout dans des finitions haut de gamme intouchables à ce niveau de prix aujourd’hui.
C’est ça le Smith 27.
Cet exemplaire de M27 appartient à la série 2, dont la production courre de 1961 à 1982.
Pourquoi 2 ? Parce que par rapport à la série 1, elle abandonne la vis à l’avant du pontet tout en conservant celle du haut de la plaque de recouvrement faisant passer leur total de 5 à 4 vis.
Je dis cela car nombre d’amateurs de Smith adorent les classer en fonction de leur nombre de vis. Et plus il y en a pour leur faire plaisir, mieux c’est.
Le fonctionnement est néanmoins inchangé, seul le démontage complet (rare) est légèrement plus long.
Ces armes comme notre Smith 27-2 sont les dernières fabrications de la marque Smith&Wesson à être “pinned and recessed”
Ce “recessed” vise les drageoirs, ces épaulements de chambres qui viennent enserrer les cartouches dans les chambres du barillet et jusqu’au culot inclus.
Cette prouesse d’ajustage, chère à Maître Flingus, en rendant le barillet solidaire du bourrelet de la douille, augmente la résistance du dit barillet aux pressions sur chaque chambre tout en réduisant légèrement la masse de ce dernier.
Un meilleur calage de la cartouche contribue aussi à la précision. Et il y a enfin moins de risque que des corps étrangers viennent se loger entre les culots. Un luxe de durabilité que vous ne trouverez plus sur leurs productions actuelles.
“Pinned”, c’est une goupille visible de l’extérieur, logée dans le canon au niveau supérieur en limite de carcasse. Cela vient “renforcer” le vissage du canon dans la carcasse. Cette fameuse goupille obligeait à un usinage plus complexe du canon et à des manipulations supplémentaires à l’assemblage. Supprimée dans les années 80 aussi.
Mais, facteur de rigidité accrue du canon, cette modeste goupille et l’assemblage qui lui était associé était aussi un facteur de durabilité de l’arme dont un usage intensif ne parvenait pas à créer le moindre entrefer “d’usage excessif” propres aux armes de moindre qualité. Smith d’avant 1982, c’est du béton !
Ce canon “pinned” est un magnifique 6 pouces (5,9 pour être exact), fluté, aux rayures de rêve comme s’il n’avait jamais tiré. Le prix s’oublie la qualité reste dit-on dans les Tontons Fligueurs. Et pour longtemps chez Smith.
C’est peut-être l’élément le plus “neuf de chez neuf” de cette arme en excellent état alors, qu’en théorie, c’est lui qui aurait du le plus souffrir (surtout en 357). Il n’en est rien. La qualité Smith de la grande époque !
Après 1982, Smith mettra fin à tout cela pour des raisons de coûts et parce que “plus personne ne voulait d’un vrai revolver qui dure pour le fils ou le petits-fils”. On pouvait faire moins cher.
La pente fatale était amorcée et, à mon sens, elle sera plus raide encore chez Colt
Notre exemplaire est sorti en 1981, dans la dernière année de production des « quatre vis », et cerise sur le gâteau, il nous parvient dans un état vraiment excellent, pour ses 43 ans !
S’il a tiré, il est mécaniquement impeccable comme son canon et son esthétique.
C’est vraiment lorsque que l’on voit des Smith de cette génération, qui ont pourtant servi et tiré du 357mag, calibre très rude, et qui sont néanmoins encore dans un tel état, que l’on réalise que ces armes étaient faites pour durer.
Par sa mécanique et son esthétique, ce M27-2 un indémodable. Examinons le de plus près.
Tout compétiteur vous le dira, la moitié du travail n’est pas fait par les organes de visée ou la détente mais par la prise en main.
Elle est ici excellente avec d’abord une crosse “square butt” dite aussi “Army” là-bas. Que ce soit avec des plaquettes fines ou enveloppantes, la maîtrise de l’arme restera impeccable.
Cette crosse est ici revêtue de plaquettes “maison” d’origine en beau noyer rouge américain verni et quadrillé de type Magna. Celles-ci sont d’un module assez épais qui vont parfaitement avec la ligne et la taille généreuse de l’arme. Elles conviendront encore mieux à des mains moyennes ou grandes.
Elles sont d’une qualité bien supérieures à celles en caoutchouc qui sont livrées avec leurs “627” de nos jours. Preuve en est: elles n’ont pas bougé en quarante ans.
Le bronzage d’époque est d’une pureté et d’un noir glacé fantastique. Son épaisseur protègera encore cette belle arme pour fort longtemps. Il est présent à 98,5% avec juste 2 très légers éclaircissements peu visibles en extrémité de canon du à un port prolongé dans un étui.
C’est le seul et unique petit défaut de cette arme d’exception. Le bronzage est tellement épais que ce port en étui n’a provoqué aucun autre sujet. Quasi aucune rayure. Miraculeux !
Le déverrouillage du barillet est plus que fluide, sans à-coups. Faites une fois le test du coup du quart de poignet et vous comprendrez de vous même.
Sa rotation est un rêve en plus. Il permet donc un rechargement rapide et sans défaut, idéal pour le tir de vitesse (rappel: il ne faut que 3 secondes à Jerry Miculek pour vider deux barillets de son Smith&Wesson!).
La qualité de ces barillets et de leur montage est d’ailleurs le premier indice mécanique de la qualité de fabrication de ces années là.
Le carénage sur le dessous rend l’axe de barillet impossible à tordre ou à fausser.
Obsession d’origine bien militaire et pleine de bon sens, héritée du Triple Lock, et qui n’a jamais quitté Smith. La forme est de ce carénage plus profilée que celui d’un plus modeste Smith 19. On ne lésinait pas sur le coût de l’usinage en 1981 chez Smith…
Pas de verrou à clef hexagonale sur le dit barillet comme sur les exemplaires récents mais, en revanche, déjà la «transfert bar» qui complète le chien rebondissant, rendant impossible tout départ involontaire.
La crête du chien et la queue de détente sont ici élargies. C’était une option coûteuse à l’époque mais fort appréciable. La double action en est un vrai bonheur qui n’est pas descriptible par écrit!
Car mécaniquement, le 27-2, c’est un rêve. Mon patriotisme dut il en souffrir, c’est souvent encore plus souple et net en mécanique qu’un Manurhin, pourtant lui aidé par le remarquable chariot Maillard. Or le Smith est dépourvu de cette invention gauloise.
Le secret d’une telle mécanique? Un ajustage “ayatolesque” doublé d’un polissage des contacts entre chaque pièce aux petit oignons.
On retrouve ici le travail des ouvriers ajusteurs/polisseurs spécialisés de plus de 15 ans dont je parlais plus haut et qui faisait tout cela “à l’oeil” (et fissa – mais ils allaient hélas moins vite qu’une découpe laser qui pourtant accroche de partout !) .
C’est avec ce genre d’armes que je fais avec quelques clients privilégiés ce que j’appelle la “Smith expérience” consistant à comparer mécaniquement à plusieurs niveaux (chien, barillet, armement) plusieurs générations de Smith.
Le jugement est sans appel sur les qualités respectives des pré 1940, des anté 1982, des post 82 jusque vers 96/2000… et des “actuels”.
Du point de vue de la visée, le sens pratique des américains nous offre ici une hausse réglable en site et en dérive par l’utilisateur lui même au moyen d’un simple tournevis plat. Elle est d’une solidité remarquable et ne possède aucun coup ou marque sur les têtes de vis.
Le dessus de l’arme est intégralement quadrillé sur toute sa surface afin d’empêcher tout reflet.
Ce très coûteux usinage (aussi) est un héritage direct du “Registred Magnum”. Il est remplacé par un simple sablage depuis plus de 20 ans sur tous les autres modèles de la marque.
Le guidon qui se trouve à l’extrémité de cette fantastique ligne de visée, est penté ce qui permet à la fois de diminuer les risques de choc ou de gêne lors d’un dégainé.
Il devient également plus aisé de prendre une visée en dessous de son alignement normal. Ce guidon, taillé dans la masse du barreau, mesure près de 2mm d’épaisseur, c’est ce que l’on appelle du solide !
Bref au top ce 27-2 ! A titre personnel je ne regarde rien en 27 au delà du tiret 2 (idem en M29 d’ailleurs).
Frère jumeau du Model 28 Highway Patrolman, produit lui de 1954 à 1986, notre Smith M27-2 a fait autant le bonheur des chasseurs américains que de la Police canadienne ou des policiers du FBI.
Au cinéma, c’est celui du redoutable tueur Luca Brasi dans “Le Parain” au milieu d’innombrables autres apparitions cinématographiques aux mains de Donald Sutherland, Lee Marvin, Paul Newman et même… Elvis Presley! ( dans “tickle me !” – “Chatouille moi!”… avec un “27”…)
Solide, fiable, bien fabriqué, très précis, simple d’utilisation, il n’y a pas mieux qu’un S&W en 357magnum dans ces qualités de construction d’avant 1982.
Le calibre est en plus répandu, bon à tout et permet d’utiliser un nombre infini de 38 spécial et autres wad-cutter. Vous pourrez en tirer des boîtes entières sans jamais que le recul ne vous gène sur cette carcasse.
Légèrement plus lourd qu’un 686 (un autre signe de qualité !), c’est un classique qui s’apprécie tel qu’il est.
Les mauvaises langues diront que sortir son M27, revient à aller soulever de la fonte.
Maître Flingus vous répondra que du sport comme ça, avec un chien et une queue de détente qui vous titille de plaisir avant de les avoir effleurés, ce n’est QUE du plaisir.
Tant pour ses capacités de précision que pour sa qualité de fabrication, ce revolver Smith et Wesson ne peut être juste qualifié de “bonne arme”.
Il est l’incarnation de l’excellence de l’industrie armurière, à une époque où un client ne revenait pas pour faire jouer sa garantie sur une pièce cassée mais pour racheter un second revolver de la marque tant le premier lui avait plu.
J’avoue ne même pas comprendre comment on peut aller chercher un 686 neuf à 2400 euros et plus, quand il reste encore sur le marché quelques vraies armes de cet acabit. Et qui dureront, dureront…
Et cette très belle arme n’attend plus qu’une chose: commencer à 43 ans une toute nouvelle carrière de bonheur et de points entre vos mains !
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