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Rare et très beau K98 – Rare fabrication Mauser Kriegsmodell occupation française Oberndorf pour l’Indochine – Rare code SVW MB – Bronzage d’origine – Mono matricule – TBE ++

Armes Longues de catégorie C

Très beau K98 – Code SVW MB – Rare fabrication Mauser sous occupation française pour l’Indochine – Arme Kriegsmodell du printemps 1946 – Une des toutes toutes dernières sorties de la mythique usine Mauser d’Oberndorf – Beau bronzage – Bois lamellés-collés en TBE et non décolorés – Mécanique impeccable – Canon miroir – Aucune oxydation – Tous marquages bien nets – Très rare variante du K98 – Top collector en TBE ++!

Vendu !

SKU: 1094-25
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Description

Le K98 est une arme qui fascine.

Ses qualités intrinsèques de tir et de fabrication évidentes, ses multiples finitions et fabricants en font un objet de collection idéal. Avec sa longue filiation depuis le G98 et les actions guerrières gigantesques auxquelles il reste attaché dans la mémoire des hommes, tout concourt à en faire une arme à part.

A titre personnel, dans la galaxie Mauser, j’ai néanmoins toujours eu un petit faible pour les magnifiques fabrications export pour l’Amérique Latine d’avant 14 et mon petit chouchou est le Perse de la commande de 1934 d’ailleurs fabriqué en …Tchécoslovaquie! Sans doute un des plus beaux.

Que voulez vous Maître Flingus aime les loukoums et le romantisme slave de la grande plaine est-européenne.

Ce qu’il y a de bien dans la galaxie Mauser c’est que chacun peut y trouver son miel. Mais je reconnais humblement que les fabrications allemandes 35-40 sont très belles. Les meilleures de toute la production de cette période.

14,6 millions d’exemplaires entre 1934 et 1945 quand même en tout. Ça laisse un peu de pièces pour les collectionneurs…

Toutefois, en proportion, la guerre a laissé peu de survivants chez les armes aussi et surtout pour les premières années de production. Il a fallu beaucoup de chance à un K98 fabriqué en 1935 ou 1938 pour arriver à peu près entier en 1945 et rester en très bon état et mono-matricule jusque 2025.

Le conflit a certes pris sa part mais également les re-chambrages dus à des législations baroques et les destructions armurières massives opérées aussi depuis lors.

Quand il y pense Maître Flingus se souvient d’un vieux libraire en livres anciens (une autre passion de Maître Flingus) qui employait le gamin que j’étais à remplir des boites aux lettres de prospectus et qui lui disait: « Tu ne peux pas d’imaginer le nombre de fromages qui ont été emballés avec des pages arrachées à des Bibles de Gutemberg! ».

Pour les armes de qualité ou rares, c’est pareil. Les destructions du patrimoine armurier aussi ont été énormes.

Ce qu’on connait parfois moins sur le K98, c’est son histoire réglementaire dans notre armée.

En effet, ce sont les français de la Division Leclerc qui arrivent les premiers chez Mauser à Oberndorf-Am-Neckar le 20 avril 1945.

En dépit des bombardements violents, l’outil de production n’a pas trop souffert même si, on va le voir, il est incomplet et si les conditions de production sont faméliques dans une Allemagne en perdition.

A leur grand désappointement, les hommes de la 2°DB, qui pensaient trouver une usine pleine d’armes, ne découvrent que des machines-outils, des pièces en cours d’assemblages, des rebuts et beaucoup de pièces détachées. Seules ont été oubliées sur place quatre (!) carabines d’entraînement en calibre.22L.R. rapidement transformées en souvenir d’excursion printanière.

En revanche, les armes du Musée Mauser, les têtes de série, les armes d’exception et notamment tous les rares prototypes depuis les débuts de Mauser sont là. Tout est pillé et emporté. C’est ce qui explique que l’on trouve encore en France, de temps à autres, quelques uns de ces rares prototypes mais qui partent vite à l’étranger hélas.

Mais cela a valu à Maître Flingus le bonheur d’en approcher un il y a deux ans. Que d’émotions à le voir, en songeant à ce que fut la grande histoire de Mauser, et à son parcours à lui, depuis la musette d’un soldat de la Division Leclerc jusqu’à ce jour.

Hélas trop cher pour le marché français. Je l’ai vu à regret partir pour un « pognon de dingue », comme dirait quelqu’un de bien connu chez nous, chez Hermann Historica quelques temps plus tard.

Mais où sont donc passé les stocks d’usine dont les français ont besoin pour s’équiper, faire renaitre leur armement et se sentir moins dépendant des américains? 

Tout d’abord, et les gars de Leclerc ne le savent pas, de janvier à mars 45, Mauser n’a plus fabriqué que des P38 pour la Wehrmacht. Ensuite, toutes les armes de tous modèles qui restaient encore en stock à cette date ont été évacuées quelque jours avant l’arrivée des troupes françaises.

Un train spécial est parti en secret en direction des Alpes bavaroises où les nazis entendaient poursuivre la lutte dans une géographie favorable à la résistance et qui leur était familière. Rien que 29 wagons ce seul train ! Car il emportait aussi 203 des principaux techniciens Mauser avec familles, des machines-outils, des pièces détachées et des documents relatifs aux essais, prototypes et méthodes.

Ce train sera in fine capturé par les américains aux environs d’Innsbruck.

En août 1945, avec ce qu’on a encore, le commandement français ordonne la reprise des activités de production chez Mauser. Toujours le besoin pressant d’armes…

On commence par partir de l’énorme quantité de pièces détachées toujours disponibles puis on reprend la fabrication de quelques pièces de complément sur place. Et ces armes, une fois assemblées, partent en France. Ces activités cesseront en mai 1946.  En effet les alliés ont, dès avant ces dates, décidés de supprimer l’industrie allemande de Défense et les français doivent s’y conformer et faire cesser la production à leur profit.

Point final de l’aventure, le 5 Novembre 1947, le Commandement Français obéit à l’ordre de destruction et ordonne la fin des établissements Mauser, l’enlèvement des machines-outils, la destruction des documents restant et même la destruction des bâtiments. Les machines-outils sont partagées entre les alliés au titre des dommages de guerre et une partie part même en Russie dévastée. Les techniciens et ouvriers sont dispersés.

La grande Histoire de Mauser à Oberndorf et de sa fin sous une occupation étrangère, symbole même des vicissitudes de la grande l’Allemagne, est terminée.

Terminée ?

Enfin pas tout à fait. Car nombre de ses techniciens suivront leurs machines-outils en France où ils contribueront à la renaissance de notre industrie, d’abord à l’arsenal de Mulhouse, puis, à la fermeture de ce dernier, à la manufacture d’armes de Saint-Étienne. Que l’on songe à la justement célèbre carabine 22LR Mas 45, copie de la Mauser 45, produite à Saint-Étienne sur des machines-outils Mauser et également réglementaire dans nos armées.

D’autres ingénieurs Mauser se diront aussi que l’histoire ne pouvait pas finir comme ça.

Et deux d’entre eux iront à l’aventure fonder, de leurs noms, la maison Heckler und Koch qui aujourd’hui prends bien sa revanche sur les affres de l’année 1945 en faisant, avec d’autres, vivre une industrie allemande de l’armement individuel, dynamique et réputée mondialement, alors que la notre est devenue un passé glorieux.

Némésis quand tu nous tiens…

Mauser n’est aujourd’hui plus qu’une marque. Elle est la propriété du groupe Rheinmetall mais plus dans les armes individuelles de défense.

Combien d’armes ont été produites sous contrôle français à cette époque charnière de la fin de la grande histoire de Mauser?

Le témoignage d’August Weiss, dernier Directeur de la Production de la maison depuis les années 30, a permis d’évaluer, faute des documents perdus, mais avec précision, cette production d’armes Mauser entre août 1945 et mai 1946 à 47.696 fusils 98k, 6.375 carabines d’entrainement 22L.R, environ 20.000 pistolets HsC, 2.560 Luger P.08 et 3.500 P.38.

C’est un de ces peu courant 98K de production sous occupation française que vous a trouvé Maître Flingus.

La plupart de ces armes, les 98K et les pistolets en particulier, sont en plus partis en Indochine où il y avait le feu et n’en sont pas tous revenus. Loin de là. Il est certain que beaucoup de ces 47.000 armes dorment encore aujourd’hui profondément au fond de rizières ou bien sont reparties aux USA au terme d’un autre conflit comme prises de guerre.

Bref on les voit très rarement sur le marché.

Notre K38 est donc un vrai collector, une arme réglementaire allemande et française à la fois. Et surtout l’ultime production d’un constructeur mythique. le Der des Der d’Oberndorf.

 

Notre exemplaire est un K98 du modèle classique de chez Mauser et du type des constructions de la fin de guerre. 

Les Mauser retravaillés, assemblés ou construits sous contrôle français sont tous de ce type allemand dit « Kriegsmodell ». En revanche, ils portent pour leur quasi totalité en boitier la mention « SVW MB » propres aux armes produites du temps de l’occupation française – en lieu et place des anciens « byf44 », « byf45 »  ou « SVW »45 d’avant l’arrivée de la 2°DB – ce qui permet de les reconnaitre illico.

Les points essentiels de cette construction du temps de la catastrophe (pour eux) sont des bois en lamellé-collé (excellents d’ailleurs), une plaque de couche enveloppante, un l’œillet de démontage de la culasse déplacé en cette même plaque de couche, des garnitures enveloppantes en tôle emboutie, un bronzage ultra simplifié voire presque « peint » et d’autres points de détails encore.

Autant de choses qui n’existaient pas sur les modèles des premières années de guerre et encore moins sur les Mauser très bien finis de l’avant-guerre.

La seule chose sur laquelle les allemands n’ont jamais néanmoins rogné, c’est la qualité des canons et de leurs rayures. Ces Kriegsmodell tirent droit.

Arrivés le 20 avril et avec une « production » qui n’est repartie que 3 mois plus tard, partant avec des armes quasiment finies en court de numérotation et de vérification, des stocks d’armes rejetées au contrôle allemand que les français vont recycler, de masses de pièces isolées plus ou moins finies et contrôlées avant le 20 avril ainsi que de pièces qui mineures refabriquées sur place, la classification de ces Mauser français donnent lieu à des débats byzantins.

Si ces armes de Mauser sous contrôle français sont toutes à marquage « SVW MB » (sauf de rares byf  et SVW45) en chambre, les collectionneurs ont, plus ou moins, établis 4 grandes familles ou variantes .

– Variante 1 : des armes avec des poinçons WaA135 y compris boitier montés sur des bois avec de marque Sauer et assemblées sur place sans que le contrôle français soit matérialisée par une étoile.

– Variante 2 : des armes déjà assemblées à l’arrivée à Oberndorf mais qui n’étaient pas encore contrôlées mais construites avec des pièces portant le WaA sauf en boîtier.

Ces variantes 1 et 2 sont considérées comme des productions « allemandes » récupérées par les français.

– Variante 3 : une production « germano/française », d’une série en cours de finition à l’arrivée des gars de Leclerc mais qui recevra l’étoile de contrôle final français. C’est ceux-là qui incluent des séries du temps de la guerre (certains exemplaires sont même encore marqués byf 44en boitier!) mais rebutées au contrôle allemand. Ils ont donc été repris et retravaillés sous le contrôle des français, et in fine acceptés avec apposition de l’étoile.

– Variante 4 : entièrement assemblés et numérotés par les français sur place, avec barrette de crosse type Berthier/Mas36, quillon à base hexagonale, et à nouveau une numérotation de toutes les pièces ou presque (garnitures, vis, pièces de culasse….) Disparition de toutes sortes de Waffenamt 135 évidemment sur les bois qui sont non marqués. Et l’étoile du contrôle français final aussi bien sûr.

Ce bazar intégral ne surprendra pas celui qui peut imaginer les conditions de « construction » avec des éléments aussi disparates et dans les conditions matérielles de production et d’occupation d’une usine pillée, déménagée, et privée d’une partie de ses cadres.

Il ne sera pas donc surpris d’apprendre qu’on a fait feu de tous bois, monté ce qu’on avait sous la main et que tout cela a généré une foule de variantes en construction et numérotation. Certaines pièces mineures ont été même été marquées au graveur électrique d’époque.

Les variantes indiquées ci-dessus sont donc surtout de légitimes tentatives d’essayer de remettre un peu d’ordre dans tout cela.

Tout ça pour dire que notre exemplaire est néanmoins de la série la plus claire (ou la moins obscure) comme on voudra.

Il s’agit indéniablement d’une variante 4 et, si j’ose m’exprime ainsi, donc d’une pièce 100% « Made under the French control » à défaut d’être « Made in France ». C’est à dire entièrement assemblée et contrôlée par les français (même si ce sont des allemands qui bossaient!).

Notre K98 porte un beau et net marquage « SVW MB » en chambre sur un bronzage peinture noire typique de l’époque et en TBE.

Il porte bien sa crosse en lamellé-collé muette (sans Waffenamt). Il est aussi parfaitement mono-matricule dans toutes ses pièces y compris les vis et les pièces de culasse (drapeau, levier,…) qui sont au numéro.

C’est le propre des dernières fabrications de la variante 4 à un moment où on avait sans doute commencé à rétablir un peu d’ordre dans tout ça et… juste avant l’arrêt de toute production en mai 1946.

L’attache de bretelle complémentaire façon Berthier/Mas36 – en complément de l’attache allemande classique – est aussi un signe de cette production française. Il est intéressant de constater que la petite barre qui maintient la sangle dans le logement creusé en bois est d’un type légèrement différent de celles qui ornait les Berthier et Mas que j’ai en stock en ce moment.

Il s’agit sans doute d’une des pièces que je soupçonne d’avoir été produite sur place ou dans la région pour satisfaire cette demande très particulière des français.

L’arme est en faible numérotation (4 chiffres et non 5) du bloc de lettre « d ». La plupart des pièces que j’ai vu sont à 5 chiffres mais en bloc « c ». Notre exemplaire est vraisemblablement une des toutes toutes dernières pièces, sortie vers mai 1946…

Elle porte bien l’étoile de réception de l’arme par le contrôle français à Oberdorf en chambre.

Preuve qu’on à utilisé jusqu’au bout des pièces de récupération déjà vérifiées par les allemand, le magasin et sa planchette élévatrice (au numéro) sont BYF avec waffenamt.

Marque aussi de cette fabrication, elle porte aussi le fameux quillon octogonal en dessous de canon.

Les bois sont en beau lamellé collé, typiques de cet époque, sans traces de manipulation majeure ni choc ou manque. Très beaux.

Les fers sont sans oxydation avec une absence totale de rouille ou de peu d’orange – Excellent état

La mécanique est impeccable – fonctionnement souple et franc et bien ajusté.

Aucun doute que, même avec des pièces de partout pour la plupart des variantes, on avait déjà un peu plus de temps et de calme à Oberdorf pour produire au printemps 1946 que dans l’hiver 1944/45 sous les bombes… Cette arme est à mon sens mieux finie que les dernières productions de guerre à l’arrache. 

Mention de calibre en canon, en 8×57 IS bien évidemment le calibre d’origine. Le canon est splendide avec de très belles rayures. bien nettes et « miroir ».  Il n’a pas ou peu servi.

Bons ressorts et percussion franche complètent cette belle mécanique –  A noter des poinçons parasites en canon de Hege et de banc d’épreuve civil allemand des années 60/70 – c’est paradoxal mais j’en ai vu plusieurs comme ça . On trouve aussi parfois des poinçons Frankonia d’ailleurs.

Et je pense peut-être savoir pourquoi. Car ces armes, produites à l’origine pour ré-équiper l’armée française,  n’ont sans doute pas livrées tous leur secrets…

Je vous ai mis une étrange photo d’une de ces armes « françaises » à nouveau au service de l’Allemagne encore plus tard ! Lors d’une visite de Élisabeth II à Helmut Schmidt au début des années 1970 ! Pour information Schmidt ets devenu Chancelier en 1974.

Il est indubitable que le soldat allemand de la Garde porte un de ces K98 « français » – voir le passant de Berthier sur une arme de type Kriegsmodell. 

Visiblement certaines ont été à nouveau retravaillées pour leur donner un caractère plus K98 « classique » (plaque de couche plate et œillet – voir photo) mais il s’agit indéniablement d’un de ces K98 « français » avec son quillon et son attache de bretelle caractéristiques restés d’une façon ou d’une autre en Allemagne !

Pourquoi ?

Je pense tout simplement que toute cette production de 1945/1946 … n’a pas été entièrement livrée aux français par les « petits canaillous » germains. Des armes ont été soit détournées /planquées comme après 1918 soit non emportées par les français lors de la destruction et sont restées en Germanie. Et elles sont repassées à un moment chez les grossistes allemands après avoir, pour quelques unes, resservies en Allemagne.

Bref ces K98 français produits à l’origine pour la Guerre d’Indochine sont sans doute encore plus complexe dans leur histoire qu’il n’y parait.

Passionnant les armes, non ?

Le notre est resté néanmoins 100% dans sa configuration « contrôle français à Oberdorf de 1945/1946 » la plus classique et la plus claire. Une rareté en soi.

 

In fine, un exemplaire « text book », 100% mono-matricule, de la dernière variante de ces armes produites à Oberdorf sous contrôle français juste avant la destruction de la légendaire usine Mauser.

Une des armes emblématiques de l’aventure indochinoise aussi. Il s’agit sans doute, parmi les très nombreuses variantes du K98, d’une des plus rares en elle-même. Et il en reste fort peu de survivants dans un tel état de conservation et d’homogénéité des pièces.

Par son histoire et son excellent état, un complément fort peu courant dans une collection de K98 ou d’armes européennes du XXème siècle.

 

 

PS: Je n’aime pas encombrer mon site avec des liens ou de la pub ou de la musique mais, à titre exceptionnel, et pour ce rendre compte de ce que furent les conditions de cette production Mauser sous contrôle français dans une Allemagne dévastée je vous ai trouvé ce petit film qui, au début, montre le caractère crépusculaire de l’usine quasi vide et de ses ouvriers (bien fatigués!) en 45 et, en fin de film, le contrôle des ouvriers allemands de l’usine par le soldats français. à l’embauche du matin. A noter, en début de film, de beaux K98 Mauser tout neufs qui, pour la plupart, finiront eu aussi dans les rizières indochinoises…

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https://imagesdefense.gouv.fr/fr/l-usine-mauser-d-oberndorf-sous-l-occupation-francaise-en-allemagne.html

 

Arme de catégorie C au CSI : Copie de la licence de tir en cours de validité ou d’un permis de chasse avec sa validation pour l’année en cours ou l’année précédente ET copie de CNI ou passeport en cours de validité aussi. Compte SIA ouvert bien évidement.

Rappel avec votre licence ou permis de chasse vous pouvez détenir sans limite de nombre des armes de catégorie C.

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