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Rare Fusil anglais Lee Enfield MKIII (ET PAS MKIII(*) !) – Cut-off ET Volley sight – TRES rare fabrication B.S.A 1914 ! calibre d’origine 303 Brit. – intégralement mono matricule – disque d’unité – ÉTAT MUSÉAL !

Armes Longues de catégorie C

Magnifique Fusil anglais Lee Enfield MKIII (Et pas MKIII(*) !) – Hausse de précision 1er type, cut-off  ET hausse volley sight de tir en volée encore présents – 100% Mono matricule – canon parfait !- Arme de B.S.A dans une rare production de 1914 (59.000 produits)– Calibre d’origine 303 British – disque d’unité – dans sa rare configuration de août 1914 – Arme juste à nettoyer en état muséal !

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SKU: 514-22
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Description

J’en ai trouvé un encore mieux ! Sur le c.. Maître Flingus quand il l’a trouvé ! Le plus beau que j’ai jamais eu. En fait je l’ai gardé un moment chez moi parce que j’avais du mal à m’en séparer…

La plus rare version du MKIII (et pour les néophytes – je précise pas du MKIII (*) avec l’étoile- celui-là on le voit partout – (je me permet d’insister lourdement sur l’absence d’étoile) INTÉGRALEMENT monomatricule et daté de “1914” en plus. Vous allez comprendre.

Mais, avant tout, un peu d’histoire. Et elle est passionnante.

Le Lee Enfield MKIII, c’est l’arc “long bow” des archers anglais du XXième siècle, une arme mythique.

C’est avec ce flingue qu’une “misérable petite armée” de moins de 240.000 professionnels selon le mot méprisant de l’Empereur germanique Guillaume II (la sienne en comptait 1,8 millions et des sévères !) maintenait un Empire équivalent au tiers du monde connu, et sur lequel le soleil ne se couchait jamais, en paix quasi totale comme il convient à tout Empire qui se respecte.

Quand le MKIII fut mis en service, Édouard VII venait de succéder à l’insubmersible Impératrice Victoria et rien ne pouvait compromettre la pérennité de tout un monde “Made in Britain”. Quatre ans plus tard Gavrilo Princip, un serbe très décidé, allait se charger de mettre fin à tout ça avec quelques balles de 380 ACP tirées d’un Browing 1910 sur un obscur Archiduc autrichien sans oublier l’épouse du dit Archiduc. Aucun Lee-Enfield ne veillait sur Sarajevo et la paix du monde ce dimanche 28 juin 1914 …

Les Lee Enfield ont servi l’armée britannique, et ses nombreux dominions, de 1895 à 1957. Un vieux et bon serviteur de la monarchie. Toute anglophagie naturelle mise à part, il fallait quand même qu’il ait quelques qualités.

Le notre est de la rare version MK III, sans étoile encore une fois, version apparue en 1907, arme superbe et riche d’histoire. C’est avec cette arme là, et dans cette très exacte configuration, que que l’armée britannique a débarqué musique en tête sur le continent en août 1914. Et ils les ont tous modifiés en 1915 et après. Sauf une toute petite poignée d’armes échappées miraculeusement à la mutilation. Dont le notre.

Son nom complet de naissance est ” Rifle Lee-Enfield SMLE (n°1) Mk III ” – SMLE, c’est pour “Short Magazine Lee Enfield” soit ” Fusil à chargeur court Lee Enfield n°1 – Modèle III ”

Il était en effet doté d’un excellent chargeur amovible “court”, à piles imbriquées en feuille d’acier, d’une capacité de dix coups, et surtout détachable, concept très moderne et nouveauté à cette époque. À l’origine, ce chargeur détachable fit l’objet de quelques doutes dans les milieux militaires britanniques. On craignait que le soldat de base ne perde quantité de chargeurs en campagne. En conséquence, sur les premiers modèles, on n’avait même attaché une petite chaine, liant le chargeur au pontet pour éviter que Tommy ne sème ses chargeurs tel un moderne Petit Poucet.

La rapidité de mise en œuvre du système de verrou Lee (on pousse vers l’avant pour engager le percuteur), la simplicité de fonctionnement/mise en place du chargeur et la capacité de dix coups permettaient à un fantassin bien entraîné de placer en  cible une trentaine de coups à la minute.

Et on les y entrainait ! On appelait ça  la “mad minute” (“minute de folie”) dans l’armée britannique d’avant 1914.

Le Lee Enfield était le fusil à verrou le plus rapide de son époque.

Le record du monde, toujours à battre à ce jour, pour un tir avec un fusil à verrou est détenu par le Lee Enfield et un instructeur de tir britannique – le sergent instructeur Snoxall – qui, en 1914, mit 38 coups dans une cible de 300 mm de large (12?) à 270 m (300 yards) en une minute avec son MKIII. Si ça vous amuse de tenter le coup, vous pourrez toujours essayer avec notre beau fusil (après nettoyage!).

Les britanniques ont toujours été d’excellents tireurs. Des flèches d’Azincourt aux plaines de la Flandre en passant par les sinistres batailles d’Espagne et de Waterloo sous Napoléon, tous les adversaires des britanniques se sont plus à reconnaitre leur qualité de tireurs de précision. En plus, l’arme fonctionne dans un très bon calibre de guerre et de chasse (les deux activés ne sont jamais très loin l’une de l’autre) – le 303 British. Nombre de tigres et d’éléphants de l’Empire lui doivent un départ prématuré pour un monde meilleur. Et pas mal de soldats allemands aussi…

Notre MK III est donc une arme d’avant guerre, faite pour former d’excellents tireurs dans une toute petite armée professionnelle (officiers sans fusil compris) et pas tous fantassins. Une poignée de “sharpshooters” comme on disait à l’époque.

L’arme est donc une excellente arme de tir. Elle aussi est très moderne comparée aux concurrents allemands et français car elle est courte. Une autre nouveauté pour l’époque.

Les anglais avaient appris à se méfier de l’encombrement des armes longues aux colonies (où ils avaient eu pas mal de combats urbains en fait notamment en Asie) et dans la guerre d’Afrique du Sud qui supposait des déplacements fréquents et longs dans une guerre d’embuscades – ils adoptèrent donc une arme remarquablement compacte. Mais cela fit scandale en Grande-Bretagne. Clubs de tir, vétérans et armuriers s’inquiétèrent du fait qu’une ligne de mire plus courte et un recul nécessairement accru entrainerait une précision moindre pour les armées de sa Majesté. Toujours l’obsession britannique de la précision. L’opinion de l’état-major sur le praticité d’une arme plus courte prévalue. Heureusement, car la guerre de tranchée allait montrer toute la justesse de cette opinion.

Rendez vous compte: l’arme “standard” du fantassin est dotée d’une hausse très finement réglable en site et en dérive, cas unique dans les armées modernes de l’époque. Toujours pour plus de précision ! Cette fameuse hausse de précision, chère et délicate à produire, sera, elle, supprimée en 1916 pour simplifier la production.

L’arme est aussi doté sur le coté droit de la culasse du fameux “Cut-off “, recherché par les collectionneurs ou “arrêtoir de chargeur”. Qu’est-ce que c’est?

Une fois engagé, ce dispositif  “fermait” le chargeur par le dessus pour obliger le tireur à ne chambrer qu’au coup par coup afin…d’éviter  le gaspillage de munition ! On peut toutefois le désengager pour une petite “minute de folie” sur une troupe de prussiens agités évidemment. Mais seulement si le sous-lieutenant qui sort d’Oxford à 22 ans et commande des NCO’s (sous-off) de 45 ayant roulés leur bosse dans tout l’Empire en donne l’ordre! L’armée anglaise fut une armée de très dure hiérarchie sociale où des chatiments corporels très violents sur les hommes étaient monnaie courante.

Il faut bien comprendre qu’avant guerre, tous les états-majors étaient obsédés par cette idée d’économie de munitions pour ne pas déborder des logistiques fragiles. La guerre de 14 les obligea très vite à ne plus trop contrôler le rythme de tir de leurs troupes et plutôt à revoir très sérieusement leur production et leur logistique. La guerre avait changé d’échelle. Ce curieux limiteur de consommation de munitions a donc vite été conceptuellement dépassé dès les grandes boucheries de l’été 1914 où la règle devint plutôt le feu à volonté pour arrêter des marées humaines sous des déluges d’artillerie. Supprimé en 1915 aussi.

Mais ce n’est pas tout. Notre rare Lee Enfield MK III (outre le cut-off et la hausse de précision) est aussi équipé d’un dispositif encore plus fou, le “Volley Sight”, coté gauche de l’arme cette fois, et qui n’existe plus non plus sur le MKIII(*).

Qu’est-ce que c’est que ce truc British encore?

C’est un dispositif de visée longue portée composée d’une roue dentelée graduée avec une tige-cible, située sur l’avant du fut, complétée d’un second œilleton de visée, rétractable, situé celui-ci au niveau de l’arrière de la culasse.

Sur ordre des officiers, une graduation de distance était annoncée, appliquée par la troupe, et au lieu de viser l’ennemi directement classiquement sur l’axe-hausse guidon, les soldats britanniques visaient en l’air après alignement de la tige positionnée et de l’œilleton déployé.

Résultat ?

Une volée de balle partait dans le ciel et retombait sur l’ennemi en pluie comme les flèches d’Azincourt en 1415 ! Et avec les mêmes dégâts évidemment.

Fin 1914 à Ypres, des flots d’étudiants germaniques, fraichement volontaires et par trop enthousiastes, se sont fait littéralement fauchés par ce dispositif. Les historiens allemands ont d’ailleurs longtemps parlé du “Massacre des innocents de Ypres” à ce sujet. Les dits allemands restèrent longtemps persuadés qu’ils avaient été fauchés par des mitrailleuses alors qu’en réalité ils avaient été essentiellement fauchés par la cadence de tir redoutable du Lee Enfield et les dispositifs “Volley sight” des britanniques.

Ce dispositif ne valait effectivement qu’en terrain découvert et à longue portée. Il s’est donc trouvé totalement inutile dès les premières tranchées creusées. Exit avec le Cut-off en 1915 aussi.

Avec tous ces raffinements, notre Lee Enfield MK III coutait fort cher à produire. 3£75 par fusil. Une fortune pour le gouvernement de Sa Majesté assez près de ses sous à l’époque ! Trois semaines environ du salaire moyen ouvrier en GB en 1914 pour un unique fusil. Donc dès 1915, il fut décidé de supprimer les dispositifs de Cut-Off et de Volley-sight devenus inutiles avec la guerre de tranchées puis, un peu plus tard, en 1916,d’adopter des hausses moins raffinées, et moins chères à produire.

Ce modèle simplifié devint le Lee Enfield Mark III  “étoile” ou  “MKIII (*)” et les marquages de modèle sur la poignée furent modifiés en conséquence  – 99,99% des Lee Enfield MKIII furent transformés au standard MKIII (*) pendant et encore après la guerre  et portent cette mention à la jonction de poignée sous le levier d’armement.

Les SMLE Lee Enfield restés au standard MKIII tout court, c’est à dire dans leur configuration de août 1914  avec Cutt-Off et Volley Sight, sont désormais très très rares. Les derniers fusils au standard d’avant 14 sont sortis de chez BSA en mars 1915.

Ils sont au moins autant rares, si ce n’est plus, que les fusils et mousquetons français de 14-18 non modifiés pour la balle 1932 N que Maître Flingus a aussi beaucoup de mal à trouver aussi. 

Ces Lee-Enfield MKIII tout court ne sont qu’une toute petite poignée de survivants parmi les survivants des quelques 17 millions de Lee Enfield de tous modèles, du MKI au L42 A1, produits entre 1895 et 1957.

Comme pour les fusils français non modifiés 32N, ces Lee Enfield MK III non modifiés au standard (*) sont très souvent des armes perdues puis survivantes du temps ou bien des armes capturées par les allemands. J’ai d’ailleurs vu une assez forte proportion de poinçons allemands de diverses époques sur ces armes anglaises ou françaises non transformées, preuve qu’elles ont souvent passé au moins une partie de leur vie outre Rhin.

Aujourd’hui Maître Flingus est fier de vous présenter un de ces rares Lee Enfield MKIII pas étoile.

Il y avait au moins 5 ans que je n’en vais pas vu un dans le nombre très importants de Enfield que j’ai l’occasion d’examiner tous les ans. Et puis, tout à coup, en deux mois, j’ai pu mettre la main sur deux pièces (l’autre a été vendu de suite, lui était de 1915, superbe mais l’embouchoir, conforme, n’était pas au numéro). C’est souvent comme cela dans mon métier.

A part d’être encore couvert partout sur ses pièces mécaniques d’une vielle graisse de stockage, ce dernier exemplaire est en juste parfait. Je m’explique.

D’abord les pièces métalliques sont toutes au même numéro (hausse, pontet, chambre, embouchoir…). Pour la hausse, il faut la soulever pour le voir. Je l’ai fait. C’est tout bon.  – Très peu ou pas de traces d’oxydation et toutes ultra légères– Aucune piqûre – Aucune peu d’orange – Aucune – Une vraie arme qualité Flingus ! “Broad arrow” du “War Departement” un peu partout – tous les marquages et poinçons sont bien bien lisibles – juste quelques rares affaiblissements du bronzage présent à 99,5% – État juste top pour une arme très rare.

Bois en plus qu’excellent état et au numéro de l’arme aussi – Très peu de traces de manipulation – ni manque ni enture – je signale par abnégation professionnelle quatre minuscules trous de vers dans un bois parfait, magnifique, de qualité avant-guerre (les quatre individus sont parait-il morts depuis 1916 sur la Somme et leur sépulture n’est pas entretenue par “the Commonwealth War Graves Commission”!) 

Le bois porte bien son disque d’unité que je n’ai pas réussi à identifier (instinctivement, je parierai sur une unité de soutien car d’habitude, j’identifie vite les unités opérationnelles classiques de cette complexe armée. Il faudrait le passer sur un forum anglais pour en savoir plus) – ‘HTF’  Je pense à un “Hospital ” de quelque chose voire à une “Homeland Training Facility” – Ce qui expliquerait sans doute son état quasi neuf et peut-être sa non transformation au standard MKIII (*).

L’arme porte bien sur le coté droit, gravés dans le métal au niveau de sa poignée, la Couronne de George V au dessus de GR ( pour “George Rex”) – “BSA &Co 1914” et la mention “Sht LE III” pour le “short Magazine Lee-Enfield modèle III”.

Notre arme est donc sortie des ateliers de Birmingham Small Arms à Birmingham en 1914 – son numéro de série est en “W xxxx” . Stratton  -dans son livre “SMLE (N°1) Rifles MK 1 and MKIII volume I –  indique bien la lettre préfixe W pour les armes sorties de chez BSA en 1914.

Plus extraordinaire, et incroyable témoignage de ce qu’on ne s’attendait à rien du tout en 1914, c’est que BSA, complètement pris de court par les évènements – n’a sorti que 59.416 fusils cette année là ! Je ne me souviens pas d’avoir déjà vu beaucoup de MKIII daté “1914” même en stand. Pour donner une idée de comparaison, BSA produira 275.000 MK III (au standard “étoile” eux) en 1915 – 435.000 en 1916 – 468.000 en 1917 et 346.000 en 1918. A comparer à nos 59.416 en 1914…

La culasse et le levier d’armement sont bien fluides et au même numéro que le reste du fusil – Le Cut-Off est bien fonctionnel.  Le chargeur est conforme au modèle et parfaitement fonctionnel aussi évidemment.

Le disque du “Volley Sight” et son œilleton en coté de culasse sont également bien présents et fonctionnels de même que le levier de mise en sécurité . Bien évidement, l’arme est dans son  calibre d’origine en 303 British.

Le canon est en parfait état – absolument miroir avec de très belles rayures bien profondes – Je n’en ai jamais vu un aussi beau sur un Lee-Enfiled MKIII ou MKIII(*).

Les Lee Enfield (si l’on oublie pas qu’il sont “zérotés” à 200 yards -183 mètres- en hausse) sont des armes de tir de très grande qualité.

Cerise sur le gâteau, le nécessaire de nettoyage, avec son tube à graisse en laiton est toujours présent dans la crosse ! Ne manque que la ficelle, commune à tous les modèle jusqu’au N°4 et qu’on trouve pour trois fois rien en GB et souvent en France.

La baïonnette qui va dessous “le mieux” est la fameuse et rare baïonnette 1907 “à quillon” – j’ai mis une photo à titre pédagogique – elle n’est pas comprise dans la vente vu sa rareté intrinsèque à elle-aussi.

Bref le top du Enfield anglais pour 1914-1918 – pièce très difficilement “up-gradale” pour employer un mauvais jargon roastbeef de circonstances. Il faut juste le nettoyer avec soin de fond en comble et il sera MUSÉAL. Foi de maître Flingus !

 

Au final, une arme iconique de l’Empire Britannique, dans sa rare configuration d’origine devenue très difficile à trouver, dans une année symbolique et de toute petite production, et surtout dans un état exceptionnel.

Il fera une addition de premier choix pour un collectionneur d’armes réglementaires européennes ou d’armes anglaises de la première guerre mondiale. N’allez surtout pas m’y coller une lunette ou un truc de ce genre car il est très rare dans cette configuration et vous le déprécieriez de façon irrémédiable.

PS : Et si vous voulez faire un ensemble complet absolument parfait et super rare, il suffit d’y rajouter sa rarissime baïonnette modèle 1907 à QUILLON. Tous les quillons des baïonnettes 1907 allant sur ce fusil MKIII ont été supprimés A PARTIR de 1913 et seules quelques baïonnettes encore à quillon ont échappé à cette mutilation et au temps qui passe (j’ai souvent constaté le quillon sur des armes blanches – car elles sont toutes régimentées dans cette version – appartenant à des unités de niveau bataillon restées aux colonies en 1913 et 1914, n’étant pas passées par la métropole sur cette période – puis envoyées directement depuis leurs colonies sur le Font de France ou ailleurs où ces baïonnettes se sont sans doute perdues ensuite). C’est bien ce modèle à quillon qui ornait les Lee-Enfield MKIII à l’origine en 1097 et jusque 1913/14. Maître Flingus en a deux en stock dont une avec son porte-fourreau d’origine d’époque en cuir et pas en web. C’est top rare aussi. J’ai vu plusieurs photos de soldats anglais en début de guerre (Flandres 1914 et Dardanelles 1915 notamment) portant cette baïonnette à quillon sur des MKIII.  J’ai mis une photo à la fin pour montrer ce que cela donne. Cette très rare baïonnette n’est bien évidement pas comprise dans la vente du fusil.

Arme de catégorie C au CSI : Licence de tir en cours de validité avec cachet et signature d’un médecin au dos ou bien un permis de chasse avec sa validation pour l’année en cours ou l’année précédente ET CNI ou passeport en cours de validité. Rappel avec votre licence ou permis de chasse vous pouvez détenir sans limite de nombre des armes de catégorie C.

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