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Terreur des ours ! – Revolver Smith & Wesson M29-2 – Cal .44Mag – Canon 8′ 3/8 pouces – Le plus long du catalogue ! – Finition bronzée hors pair – Arme de 1980 – Mécanique époustouflante et introuvable aujourd’hui – Mythe cinématographique autant qu’armurier! TBE++!

Revolvers et pistolets de catégorie B

Splendide Smith& Wesson M29-2 – calibre 44 Magnum – Canon 8 3/8 pouces (21,3 cm) – Commande spéciale de 1980 – Le plus cher de tout le catalogue – Bronzage magnifique noir aux reflets gris – Tel que sorti d’usine il y 40 ans – Un des tous derniers série « 2 » – Dernier Mod 29 « Pinned and recessed » – Canon de rêve – Mécanique époustouflante – Le plus prestigieux de tous les Smith – Neuf – TBE+++

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Description

Qu’il y a t’il de plus beau dans la vie qu’un revolver ?

Un revolver encore plus grand !

Avec ce Smith&Wesson modèle 29-2 (donc en 44Magnum) à canon de plus de 8 pouces (8 pouces 3/8!), difficile de faire plus photogénique et plus impressionnant…

L’affiche d’Inspecteur Harry ne s’y trompait pas, de même que le Taxi Driver de Scorcese qui choisira exactement le même modèle. Dans un superbe holster Bianchi, cela va de soi.

Si Harry le charognard portait un 29 en six pouces et demi pour le nettoyage de tous les jours des zones insalubres de Frisco, c’est avec son huit pouces et quelques qu’il prenait la pose des grands jours.

Nous étions en 1971.

C’est le fabuleux concepteur (de la 357 Magnum entre autres), tireur hors normes, expert principal en armes et munitions pour Smith et Remington (notamment), célèbre pour ses stetsons, ses cigares et ses opinions tranchées très moyennement politiquement correctes, Elmer Merrifield Keith (1899- 1984) qui avait recommandé un Smith&Wesson 29 en 4 pouces et demi et en finition brillante pour coller au mieux au personnage de Harry Callahan joué par Clint Eastwood et au scenario.

On ne pouvait en attendre moins de celui qui était parfois décrit dans la presse spécialisée comme « the father of big bore handgunning. » Comprendre « le père des arme de poing de gros calibres ».

Mais, lorsque le premier volet « Dirty Harry », réalisé par Don Siegel, est tourné en 1971 pas moyen de trouver un revolver en 44 magnum 4 pouces acier miroir dans toutes les armureries de Californie…

L’arme, largement destinée aux chasseurs, ne leur plait pas en finition brillante et ils préfèrent de loin un bon 6 pouces bien bronzé. Elle a été, en fait, assez peu vendue depuis sa sortie fin 1955.

On renonce donc à l’idée de base de faire porter au héros un modèle 4 pouces finition métal et on se rabat sur un modèle bronzé en 6,5 pouces. Bref, faute de grives, on mange des merles.

En cours de route, la production réussit néanmoins à mettre la main sur un unique (!) exemplaire en 8 pouces 3/8. 

Évidement tout le monde le trouve dantesque et il est bien entendu retenu pour le film dans l’enthousiasme général.

La « 44 magnum mania » venait de naitre.

Car ce sont bien deux Smith 29 44 Mag mais en deux tailles de canon différentes qui apparaissent dans le film laissant ainsi suggérer que notre bon Harry Callahan, outre une conception assez expéditive de la fonction policière, est aussi à la tête d’une armurerie personnelle plutôt bien remplie !

Pour info, son Smith 29 en 6,5 pouces fut offert par la Warner et Clint Eastwood lui-même à John Milius, co-auteur du scenario du second volet (« Magnum Force ») des trépidantes aventures de l’Inspecteur Harry Callahan.

Ce splendide bébé, désormais revêtu d’un écusson de crosse en argent rappelant ses nobles origines, est aujourd’hui dans les vitrines du Musée de la NRA où il trône, exposé avec le fameux badge « Inspector 2211 San Francisco Police » de Callahan/Eastwood.

Il m’a été en revanche impossible de savoir ce qu’est devenu le magnifique et rare 8 pouces 3/8 du film comme le notre. Peut être toujours chez l’inoxydable Clint ?

Si on retrouve l’ADN du premier inspecteur Harry, dans la vague des vigilantes movies des années 1970, où un héros solitaire à la Charles Bronson vient rétablir la justice dans des milieux mal famés, le revolver 29 44magnum, lui, a souvent tenu le rôle d’instrument direct de la peine capitale.

Ce revolver mythique de Smith & Wesson, qui peinait à trouver son public, se retrouva ainsi propulsé au rang de star par la seule magie du cinéma et du regard cristallin de Clint Eastwood côtoyant sur Hollywood Boulevard le Walther PPK d’un célèbre agent secret britannique qui, en 1973, voulait « Vivre et laisser mourir ».

Et dans le futur des années 2000, telles que les imaginait George Miller en 1981 dans le second opus de Mad Max, notre revolver 29 en 44 Magnum canon de 8 pouces, cette fois doté d’une lunette, est l’une des seules armes à feu à avoir échappé aux affres de l’apocalypse nucléaire.

Ultra robuste donc. Mais elle est hélas tombée entre les mains du terrifiant Seigneur Humungus…

 

C’est sous l’appellation toute sobre de « revolver en 44Magnum » que sort en décembre 1955 chez Smith l’arme de poing de série qui restera le plus puissant « soufflant » que la Terre ait portée pendant près de 30 ans.

Cette arme se voulait devenir la référence des policiers de la route, jugeant le 357 insuffisant à arrêter les routiers déchainés de la Road 66 ou les redoutables bandes de Hells Angels californiens, ainsi que celle … des chasseurs !

Car, dans le pays de Théodore Roosevelt, Président et grand chasseur devant l’Éternel,  il est courant d’amener une arme de poing avec soi quand on part chasser dans le Wild.

Aussi bien pour sa propre sécurité, pour sortir son revolver quand on a posé son fusil trop loin et qu’un ours surgit néanmoins du buisson que vous arrosiez consciencieusement pour satisfaire un besoin fort naturel (incident qui s’est plusieurs fois produit aux USA ou en Russie), ou bien, tout simplement, pour chasser au revolver dans les états où cela est permis.

Avant l’arrivée du 10mm auto dans les années 1990, la police des territoires à la faune « un peu trop sauvage » du Grand Nord était souvent dotée de 29 en 44 mag pour les mêmes raisons.

Le Teddy Bear, brun ou blanc de là bas, ne vit pas qu’au rayon jouets de chez Brass Pro Shop. Et votre chat ou votre chien y sont plutôt des proies que des prédateurs pour les coyotes, lynx, loups et autre pumas. Les laisser sortir de la maison sans surveillance est souvent le meilleur moyen de les voir définitivement disparaitre…

Mais le 44magnum se distingue également dans les disciplines de tir longue distance à l’arme de poing tel que le tir sur silhouette métalliques jusqu’à… 200m. Enfin, 200 mètres. En principe

Un de ses créateurs, Paul Kriley, grand ami d’Elmer Keith, testa en 1954 un des prototypes du futur Smith 29 à travers la vitre de son pick up et toucha un roc (pas le catcheur, rassurez vous) à près de 500m !

Mais le plus extraordinaire tir au 29-2 est encore un tir de notre Elmer Keith qui acheva un cerf blessé à 530 mètres (600 yards) avec son 29 en 44 Mag lors d’une fin de saison de chasse de 1954 en Idaho.

Au troisième coup. Une balle dans le poumon.

Le bel Elmer venait de se faire offrir par la maison Smith un des tout premiers Smith 29 du modèle de série dont il était un des créateurs au coté de Kriley.

Plus de 500 mètres au revolver.  Je ne sais pas si vous arrivez à imaginer ça. Un monde en soi.

Quand on sait en plus qu’une balle de 250 grains de 44 mag ne file qu’à 370 m/s, que sa chute est de 2 mètres à 125 mètres, qu’elle atteint 11 mètres à 500 mètres (!) et que sa puissance résiduelle n’est plus alors que de l’ordre de 300 joules, on a peine à y croire.

Bien faible pour terrasser un cerf même si, comme en l’espèce, il s’était déjà fait traverser le museau par une balle de carabine en 300 Win mag.

Ce Elmer Keith, natif du Missouri, n’avait-il pas décidé de s’inspirer d’un ami natif de Marseille et d’une célèbre blague de sardine bouchant un port ?

La controverse fût aussitôt déchainée…

Pas de souci pour notre Elmer Keith.

Pour faire taire la polémique, il installa, dans son ranch et devant témoins, une planche de 1,20 m à la même distance : après 11 tirs de cadrage, il lança sa série. Et il toucha les six fois !

Le croirez vous? Depuis, ses amis Kriley, Mac Givern (lui abattait six pigeons d’argile avant qu’ils ne touchent le sol…mais au revolver!) et Charles Askins, et, plus récemment encore, Bob Munder, et Jerry Miculek ont renouvelé des exploits du même ordre !

Depuis 2001, chaque année à Valleyford près de Washington, un concours, le « Elmer Keith Memorial Shoot » perpétue cet exploit digne de Guillaume Tell en invitant de très fines gâchettes à des tirs au revolver à des distances entre 100 à 580 yards et pour des calibres qui vont du 22 LR au canonesque 500 SW.

Si ça vous dit : une quarantaine de concurrents (à ce niveau y a pas foule), 100.000 dollars de prix offert par la NRA et un splendide Smith & Wesson Modèle 24 somptueusement gravé en prime.

Notre Elmer n’en était pas en fait à son coup d’essai.

De mémoire, en 1941, quand il était encore Inspecteur Armes à l’Arsenal de Ogden dans l’Utah pendant la guerre, il s’était déjà livré à une démonstration devant une rangée d’officiers étoilés ébahis sur du tir à longue distance par ajustement progressif en fonction du paquet de neige soulevé par le tir…

En réalité, il modifia sa technique et ne procéda plus par approches successives et corrections croissantes en fonction de la neige ou de la poussière soulevée. Trop long.

Assis au sol, il fixait la cible normalement, conservait cet axe précis puis gérait l’écart hausse guidon en passant graduellement le guidon au-dessus de la hausse. Il finit par avoir une maîtrise certaine de sa technique. D’après ces ultra spécialistes, le problème est essentiellement dans la gestion du recul qui a une incidence terrible sur la précision à ces distances.

Pour la galerie, je vous ai mis une photo du beau Elmer à la chasse au lièvre. Au révolver.

Vous verrez le genre et comprendrez aisément pourquoi Maître Flingus aurait aimé serrer la main du personnage et discuter un après midi avec lui.

Rapidement le Modèle 29 gagnera le surnom de « the biggest, the baddest and the mostest ». Il était entré dans la légende.

L’excellente carcasse large dite « N », arrivée a maturité dès 1914, révèle en 44mag tout son potentiel de solidité et d’absorption du recul. Se prêtant parfaitement aux cartouches magnum, elle est d’ailleurs la seule réputée inusable.

On la retrouve chambrée en 45 long Colt et en 44 special jusqu’aux années 1950 avant d’être adaptée au calibre qui fera sa renommée internationale.

La longueur de canon 8 pouces et 3/8 est mythique chez Smith.

Destinée aux tireurs les plus expérimentés, elle reprend celle du légendaire Colt Walker, premier de tous les revolvers modernes. Il est d’ailleurs fort instructif, et presque émouvant, de placer ces deux armes côte à côte et de constater qu’un siècle à peine les sépare.

Il y avait longtemps que le commun des mortels avait abandonné ces canons interminables et pourtant doté d’une ligne de visé supérieure à certains fusils d’assaut!

Ces revolvers de 8 pouces 3/8 étaient disponibles sur commande spéciale auprès de la firme de Springfield moyennant un surcoût certain. Ils sont rares.

Associé à la douceur et à la netteté de la platine Smith, nous sommes alors véritablement sur une arme exceptionnelle en finitions et en mécansime.

Les amis de Maître Flingus, connaissent sa démonstration de la « Smith Experience » comme il l’appelle.

Cette dernière consiste, à l’instar du jeu du coucou (mais avec des revolvers non chargés, nous ne sommes pas des officiers tsaristes!) à manœuvrer à vide, et successivement, les yeux fermés, les mécaniques de chiens, de détente et de barillet de plusieurs des Smith de différentes époques, mais à l’état de neuf, qu’il possède dans ses coffres. Et parfois même à les comparer à des Colt ou Manurhin de diverses périodes pour vérifier ou invalider diverses légendes.

Une fois les différences appréhendées, un exemplaire de la « Grande Époque » comme ce 29-2 se reconnaît immédiatement sans même le regarder. Rien qu’en le manipulant. Des merveilles !

Non pas que les exemplaires post années 1980 ne soient pas capables de bons résultats, les nombreux exemplaires de police rendus à la vie civile peuvent en témoigner, mais le travail ne se fera pas avec le même cachet.

A l’instar d’une montre mécanique suisse, le doigt qui appuie sur la détente parvient à « sentir » chaque pièce se mettant en mouvement, sans frottement ou irrégularité. Le tireur « sent » l’arme vivre dans sa main. La souplesse féline de la bête d’acier, due à des ajustages inatteignables aujourd’hui, est un monument à la gloire du travail des hommes.

 

Cet incroyable exemplaire, nous parvient dans un état de conservation qui frôle l’indécence. En le voyant aussi beau, difficile de croire qu’il date de 1980.

En 8 pouces 3/8 c’est bien évidemment une commande spéciale. Les 29-2 en longueur standard n’ont d’ailleurs été produits que jusque 1979. Un collector ! Maître Flingus vous encore déniché un de ses joyaux d’avant la fin de la grande époque de Smith.

Ce revolver possède encore ses superbes plaquettes enveloppantes en noyer américain. Posées d’origine sur ces armes, peu ont encore leur éclat comme au premier jour. Là c’est le cas.

Elles offrent un contrôle excellent de l’arme, même mains mouillées. Look vintage garanti, et une fois habitué, le recul ne se sent pas plus que cela.

On le voit. Son ancien propriétaire l’a beaucoup aimé et en a pris grand soin. L’arme est dans un état de quasi neuf. Il faut l’aimer encore.

Un large choix d’options s’offrent à vous sur le marché du custom. Sa carcasse est de type square butt.

L’arme est équipée d’un jeu de chien et de détente extra large et finement quadrillés qui sont un pur bonheur à manipuler : ni ce chien, ni le 10 ne pourront vous échapper.

Sa platine et ses ressorts ne sont pas en reste. Elles ont été finement ajustées dans leur moindre contact pour un lâché et une fluidité absolument remarquable.

Notre splendide 29-2 fait jeu égal, et pour moi supérieur, tout en étant différent, avec un Python de la grande époque ou à un Manurhin pourtant lui aidé du chariot Maillard.

Le bronzage d’un noir profond aux reflets n’a pas une trace, une rayure ou un éclaircissement. Il sublime des marquages d’une finesse tels que gravés au laser et pourtant manuels.

Le dessus de la carcasse ainsi que du canon sont sablés et montés avec une célèbre hausse type LPA que l’on ne présente plus.

Le barillet possède des chambres absolument splendides. A se voir dedans ! Il n’y a quasiment pas de trace de frottement de l’arrêtoir de barillet. L’alignement et le jeu à l’abattu sont remarquables.

L’arme est évidement « pinned and recessed » dans ces fabrications d’avant 1982.

Ce “recessed” vise les drageoirs, ces épaulements de chambres qui viennent enserrer les cartouches dans les chambres du barillet et jusqu’au culot inclus.

Cette prouesse d’ajustage, chère à Maître Flingus, en rendant le barillet solidaire du bourrelet de la douille, augmente la résistance du dit barillet aux pressions sur chaque chambre tout en réduisant légèrement la masse de ce dernier. Un plus indéniable pour la durabilité d’un obusier chargé en 44 Mag.

Un meilleur calage de la cartouche contribue aussi à la précision. Et il y a enfin moins de risque que des corps étrangers viennent se loger entre les culots.

“Pinned”, c’est une goupille visible de l’extérieur, logée dans le canon au niveau supérieur en limite de carcasse. Cela vient “enclouer” le vissage du canon dans la carcasse. Cette fameuse goupille obligeait à un usinage plus complexe du canon et à des manipulations supplémentaires à l’assemblage. Supprimée dans les années 80 aussi.

Facteur de rigidité accrue du canon, cette modeste goupille et l’assemblage qui lui était associé était aussi un facteur de durabilité de l’arme dont un usage intensif ne parvenait pas à créer le moindre entrefer “d’usage excessif” propres aux armes de moindre qualité. Smith d’avant 1982, c’est du béton !

Quant à son canon de 8 3/8 pouces, neuf, il offre, en plus d’un charme à tomber par terre et d’une ligne de visée incomparable de plus de 25cm au total, une vraie rareté par rapport au 6,5 pouces. Une rareté iconique.

Arme d’une qualité et d’une classe incomparable aux productions contemporaines de la maison même du Performance Center.

Encore une de ces armes d’une époque où l’on pouvait acheter une arme pour soi-même, son fils et son petit fils.

Et à l’instar de la célèbre réplique de Callahan dans « L’Inspecteur Harry » , avec ce 29-2, vous serez toujours trois face la cible: Vous, Smith & Wesson. Boum, boum, boum…

 

Ce magnifique monstre d’une solidité granitique adorera se régaler sans limite de grosses cartouches de 44Magnum. Il supportera bien sûr très bien un régime light à base de 44 spéciales, qui, elles, peuvent se tirer toute la journée sans que vous ayez l’impression d’avoir serré la main à Arnold Scharzenegger au bout de deux boites.

Ce calibre légèrement en retrait de nos jours fût pensé comme l’héritier du célèbre 44 Russian, calibre roi du tir de précision au début du siècle. Sa balistique est tout simplement hors du commun et son pouvoir d’arrêt reste tout à fait adapté à toutes les cibles de carton ou de métal.

Avec exactement les mêmes étuis, les mêmes ogives et un tout petit peu moins de poudre, vous obtiendrez ainsi la même versatilité qu’un revolver chambré en 357 avec le 38 sp. C’est Clint et Elmer qui vous le disent !

 

Idéal pour la compétition, ce magnifique Smith 29 en 8 pouces 3/8 vous procurera aussi et surtout le plaisir immense d’un splendide objet. Aussi immense que son canon.

Arme d’exception !  Plaisir d’exception ! Et ce n’est pas Harry Callahan qui me contredira.

Je m’en séparerai avec peine.

 

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