Vendu !

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Tombée du ciel ! Rarissime Carabine USM1 A1 de parachutiste des toutes premières fabrications – Arme INLAND de mai 1943 – 1ière série de 70.948 armes – 100% Inland et 100% d’origine – Cal .30 M1 – Pièce rarissime en excellent état mécanique et esthétique – Cat B 2e) ! – TBE++

Le musée de Maître Flingus, ou "c'est déjà vendu !" avec descriptions et photos !

Exceptionnelle carabine USM1 A1 de parachutiste – Arme INLAND de mai 1943 – fabrication de la 1ière série de 70.948 armes – Bois et fers 100% d’origine et conformes à cette 1ière fabrication – Poinçons de bois encore bien visibles et conformes avec le rare P en cercle de test qui a disparu au cours de cette première fabrication – Bronzage à 99% – Calibre 30 M1 d’origine – Mécanique impeccable – Canon Inland miroir avec de splendides rayures – Crosse parfaitement fonctionnelle avec son cuir à rivets laiton d’origine – Pièce rarissime en excellent état mécanique et esthétique – Catégorie B 2e) ! – Summum de collection  en TBE++

Vendu !

SKU: 1192-25
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Description

Tombée du ciel…

Une émotion d’armurier qui aime les armes et l’Histoire.

Une splendide carabine USM1 A1 de parachutiste amércain de chez Inland, de la toute première production de 1943 et 100% d’origine.

Toutes ont été modifiées après guerre pour la Corée et l’Indochine. Et le reste de ce tout a été détruit ou perdu.

Bref, un mythe de collectionneur.

Je dis « Tombée du ciel » comme je dis parfois (rarement) « Tombée de la Jeep! » à propos de carabines USM1 « normales » ou de fusils Garand 100% d’origine dans leurs pièces et sans aucune transformation post guerre.

Ces armes là sont en fait devenues très rares. Et c’est pour cela que vous en voyez peu sur mon site où je m’efforce de ne vendre que du très bon.

Les autres, celles pas 100% du même fabricant ou modifiées après-guerre, m’intéressent moins et je ne les vends que quand j’ai du les prendre dans un lot. Sans compter l’histoire de ce damné .30 short qui a fait des ravages sur les déjà rares armes authentiques survivantes.

Mais là c’est que du bonheur. Vous allez voir.

Je vous ai déjà raconté l’histoire assez extraordinaire de la carabine USM1 ici.

Alors parlons plus précisément de l’iconique USM1 A1. L’arme des paras.

L’USM1, approuvée pour la production militaire le 22 octobre 1941, démarra en production dès novembre 1941. Chose peu connue, la production n’a pas démarrée chez Winchester qui était pourtant le concepteur de l’arme.

Winchester, déjà empêtrée dans d’autres commandes comme le Garand M1, ne pouvant faire face, était allé directement voir Inland, une filiale de General Motors pour lancer l’industrialisation de l’arme. Inland possédait, elle, la capacité industrielle de suivre les énormes commandes de l’Armée US qui, en ce début 1942, entrait enfin en guerre.

Inland avait donc, dès le début 1942, une connaissance intime de la production de la USM1, arme qui n’avait pour elle aucun secret.

Or, en ce même début 1942, l’armée US réfléchissait à un besoin particulier pour des opérations à venir: une arme spécifique aux forces aéroportées.

Le besoin d’une arme spécifique pour les parachutistes ressortait de l’étude très poussée que les américains avaient fait de l’action des paras allemands, en Belgique et en France en 1940 puis en Crète en 1941. La rapidité d’action et les résultats concrets, décisifs sur le champs de bataille, des forces aéroportées allemandes les avaient en effet fort impressionné.

Mais un point choquait les autorités militaires américaines : les parachutistes allemands sautaient de leur Juncker 52 armés seulement d’un P38 ou d’un Luger puis récupéraient leurs armes d’épaule dans des containers balancés avec eux. Parfois avec plus ou moins de bonheur.

L’idée d’avoir des « boys » tués avant d’avoir pu même récupérer leurs armes aurait fait mauvaise impression au Congrès et dans la presse d’un pays libre, toujours très attentif à limiter ses pertes et à questionner publiquement les choix politiques et militaires.

Et à designer des coupables.

On se rappelle, pour re situer l’ambiance, que le Général Patton eut un accident de carrière sérieux pour avoir simplement giflé un boy qui lui semblait un peu faiblard psychologiquement. On ne rigolait pas avec le traitement des G.I aux USA.

Conscient de devoir monter de toutes pièces une arme aéroportée à leur tour, les américains préféraient donc une option dans laquelle les hommes sauteraient avec leurs armes et pourrait se défendre dès l’atterrissage.

Ce concept, valide et aujourd’hui généralisé, nécessite des armes ni lourdes, ni longues, apte à un feu répété en situation probable d’infériorité numérique à l’arrivée sur zone et limitant le risque de blessure du porteur lors du saut et surtout de la réception au sol.

Le faible poids, la taille relativement réduite d’origine, le coté assez rustique et le caractère semi-automatique de l’arme firent pressentir la Carabine USM1 pour une adaptation de l’arme aux forces aéroportées.

Début 1942, le service de l’armement de l’U.S. Army (U.S. Army Ordnance) lança donc un appel d’offres pour une version plus courte de la USM1 utilisant une crosse pliante ou télescopique.

C’est Inland, bien au fait de l’USM1, qui soumit les premiers prototypes d’une telle arme dès mars 1942.

Deux autres propositions d’adaptation furent jugées inacceptables. Après quelques essais et corrections, le modèle définitif proposé par Inland fut recommandé pour la production sous la désignation de modèle M1A1 le 29 avril 1942.

L’arme de parachutiste fut définitivement adoptée le 12 mai 1942. La production commencera en revanche fin novembre 1942.

De façon amusante, une demande de brevet, déposée le 5 août 1942 ne fut accordée, par le brevet n° 2 405 758, que le 13 août …1946. L’arme fut donc théoriquement sous monopole juridique de Inland jusque 1963!

Le design d’Inland était tout simplement une crosse repliable latéralement (assez facilement d’ailleurs), sur laquelle on pouvait fixer n’importe quel mécanisme de carabine, en lieu et place de la crosse pleine longueur de la carabine M1. Outre sa crosse métallique qui se replie le long de l’arme coté gauche grâce à une charnière, la M1A1 dispose également d’une poignée pistolet.

Pour le reste la US M1 A1 est identique à la USM1 tout court. Aucun marquage sur le boîtier de culasse ou bien en pièces du genre « US M1 A1 » ne la diffère du modèle M1.

En revanche, TOUTES les carabines modèle M1A1 fabriquées durant la Seconde Guerre mondiale le sont avec des pièces mécaniques et des canons produits par Inland. Elles sont montées avec des bois, garnitures et crosses fabriquées par les sous-traitants de Inland et seulement ceux-là.

TOUTES ces carabines USM1 A1 de la période de la guerre présentent des caractéristiques communes qui permettent de bien les identifier comme des armes d’époques et non des remontages d’après guerre ou pire des copies. On va y revenir.

Les USM1 A1 comme leur consœurs plus terrestres n’étaient pas dotées d’une baïonnette. Nos paras étaient donc équipés d’un couteau de combat M3 et plus tardivement (mi-44) d’une baïonnette-couteau de type M4.

Toutes les USM1 A1 dotées d’un tenon de baïonnette sont donc des reconditionnées post 2° GM.

Inland (et ses deux ou trois sous traitants successifs selon les pièces) fut donc le seul et unique producteur / assembleur de la carabine de parachutiste USM1 A1.

On parle ici de 140.000 armes très précisément. Et pas approximativement comme indiqué parfois.

La production eut lieu en deux séries chez Inland. La première s’est étalée de novembre 1942 à octobre 1943 avec 70.948 armes produites. La seconde série a été produite de mai à décembre 1944 avec 69.052 soit 140.000 armes tout rond au total.

Notre arme est une des 70.948 premières.

Si l’on rapporte cette production de 140.000 USM1 A1 Para au total de 6.121.309 USM1 produites durant la seconde guerre mondiale (car il en fut produit encore après pour un total final de 6.332.000 armes), nos carabines USM1 A1 Para représentent à peine 2,28% du total.

D’ailleurs, dans l’absolu, 140.000 armes il y a 80 ans dans une aussi vaste guerre, ce n’est rien. Le recherché G43 allemand, c’est 400.000 armes et on a déjà beaucoup de mal à le trouver…

La première production de l’arme, celle de ce jour, quant à elle ne représente que moins 1,2% du total.

C’est dire l’insigne rareté de cette arme mythique dans cette première configuration non modifiée post 2ième GM.

C’est notre arme de ce jour.

Pour information complète sur l’arme, lors du saut, les parachutistes portaient leur USM1 A1 dans un étui rembourré accroché à la jambe droite, permettant de s’emparer rapidement de l’arme après l’arrivée au sol.

La première utilisation opérationnelle de l’arme aura lieu lors de l’opération Husky d’invasion de la Sicile le 10 juillet 1943. Les parachutistes américains sautèrent sur leurs objectifs dans la nuit du 9 au 10 juillet 1943.

Une très mauvaise météo perturbe les troupes aéroportées : le vent et la DCA ennemie provoquent de grosses difficultés de navigation pour les avions de transport qui peinent à atteindre leurs cibles. Les 3.400 parachutistes de la 82e airborne se retrouvent dispersés en petits groupes dans une zone de 80 kilomètres de diamètre!

Le 14 juillet, seuls les deux tiers du Parachute Infantry Regiment 505th du colonel James M. Gavin (principal régiment de la Division) avaient réussi à se concentrer. Et la moitié des parachutistes américains n’avaient pas encore atteint leurs points de ralliement.

Il fallu encore un peu bosser avant le « D » Day de Normandie…

On le sait peu mais le total des troupes impliquées au jour « J » par le débarquement de Sicile (160 000 hommes) fut supérieur en nombre au total de celles impliquées le premier jour du débarquement de Normandie en 1944 (150 000 hommes).

L’US M1 A1, aussi rare qu’elle soit, eu une magnifique carrière militaire.

Elle fut bien sûr du débarquement de Normandie (je vous ai trouvé quelques photos de gars de la 101° avec cette arme qui n’équipait que pareillement ses 6.200 hommes au coté de nombre de … Garand!). Elle fut aussi parachutée à quelques Maquis notamment en Bretagne (peut-être la notre en fait-elle partie).

Du fait des usures, des dégâts sur les armes, des pertes, toutes les USM1 furent reconditionnées après guerre (au moins celles qui étaient restées sous le contrôle du gouvernement des États-Unis).

Ces opérations de reconditionnement qui impliquaient le démontage total des armes, les tris et le changement des pièces, le remontage et le stockage eurent lieu dès le 6 juin 1945 en Belgique à la FN Herstal et au Japon chez Howa Machinery à Nagoya. 

Aux États-Unis, ces opérations (plusieurs millions d’armes à réviser tout de même) eurent lieu dans plusieurs centres et jusqu’à la Guerre de Corée où des pièces furent encore modifiées ou ajoutées comme le tenon de baïonnette.

Reconditionnées, ces magnifiques et désormais mythiques USM1 A1 firent encore, pour nous, les coups de feu les plus glorieux des rizières d’Indochine au Djebels d’Algérie. 

Pour les USA, on les vit encore chez les Bérets Verts jusqu’aux forêt du Vietnam (preuve photographique à l’appui). 

Bref, la mythique USM1 A1, c’est comme les jolies femmes. Quand on les a dans la peau, c’est pour longtemps…

 

Maître Flingus vous a dégoté une très rare carabine USM1 A1 de Parachutiste de la toute première fabrication de 1942/ 1943, une des 70.948 premières.

Combien en reste-t il après toutes ces guerres, ce temps passé, ces amateurs trop bien intentionnés, et les modifications législatives diverses?

Ne pas croire qu’elle est plus courante aux USA. Elle y est fort rare et très activement recherchée.

A quoi la reconnait on ?

Passons la en revue.

Toutes ses pièces internes et externes sont d’époque, de Inland et conformes à la meilleure documentation.

La crosse repliable, parfaitement fonctionnelle, est bien avec le linteau central de rigidification métal et cuir dont le cuir est en parfait état. Ce cuir est bien fixé avec des rivets laitons (les reconditionnées et certaines armes de la deuxième série sont à rivet acier ou alu). Ces rivets laitons ne portent pas non plus la marque « 7/4 » qu’ils portent lorsqu’ils ont été passés en reconditionnement post guerre.

Cette crosse magnifique porte bien son petit nécessaire de nettoyage en tube en logement latéral de crosse.

L’intérieur de la plaque de couche porte bien en impression le code B257614 suivi du logo en soleil dans un cercle et complété par un chiffre entre 1 et 12 que l’on doit obligatoirement trouver sur ces armes.

Il indique le numéro du moule. Ici c’est un « 5 ». Cette plaque de couche mobile à ressort (pour pouvoir être appliquée à plat sur l’arme quand la crosse est repliée) est parfaitement fonctionnelle.

Le logo au soleil en cercle est celui  de Saginaw Malleable Iron à Saginaw, Michigan. Toutes les plaques de couche des USM1 A1 sortent de cette unique fonderie.

Crosse superbe 100% d’origine et en état TBE++

Passons aux bois.

Notre arme est un modèle high-wall c’est à dire que l’espace de passage de culasse entre le bois du garde main et le bois du fut est minimal car la découpe du fut à cet endroit remonte en hauteur et vient réduire cet espace. D’où le terme High-wall utilisé par nos petits camarades américains.

Toutes les productions de la première série sont de cette découpe high-wall comme sur notre arme.

On ne trouve des low wall (découpe de fut droite et qui ne remonte pas en passage de culasse -low-wall – laissant un espace plus grand entre les bois à cet endroit) que dans la seconde série de 1944 mais pas toujours car des pièces high wall de la première série restant en stock en nombre important ont été encore utilisées en seconde série.

Le fournisseur des bois de Inland sur cette première série de USM1 A1 était S.E. Overton dont la marque d’inspection est « OI » (Overton pour Inland). Et c’est cette marque d’inspection « OI » que l’on trouve en dessous de poignée pistolet et en intérieur de garde main encore bien visible. 100% text book les bois.

Ils sont bien sûr de la bonne découpe en angle ouvert en fixation du mécanisme de crosse de sommet de poignée et avec la forme en creux en coté latéral gauche pour accueillir la crosse une fois repliée et qu’elle y prenne moins de place.

Les armes qui ne présentent pas ses caractéristiques sont des remontages destinés à tromper l’acheteur. Le bois ne porte pas en partie arrière gauche un des gros tampons de reconditionnement post 2° GM.

Point important l’arrière de la poignée pistolet (en parfait état et non fendue comme souvent) porte le gros poinçon « P » dans un cercle qui était apposé après les épreuves de tir en usine.

Ce poinçon n’a plus été apposé en fin de fin première série. Ce qui confirme le caractère précoce et la datation de notre arme par ailleurs cohérent avec son numéro de série. Ce tampon est activement recherché par les collectionneur US.

En dessous de poignée pistolet, à un un endroit fort peu favorable à la conservation des poinçons de bois, on voit encore néanmoins sans aucun doute possible, mais à la loupe, le poinçon de l’Ordnance au canon croisés qui marquait la fin de réception de l’arme.

Seul défaut, un prénom ‘Leo’, gravé (très légèrement) en coté droit du fut (un précédent propriétaire ?). On pourrait facilement le poncer sans grosse perte de matière car encore une fois il n’est que légèrement gravé. Mais je le déconseille : le ton de bois changerait sur cette partie et il faudrait le camoufler. Et puis cette marque fait partie de son histoire.

In fine des bois 100% conformes au modèle USM1 A1 et surtout parfaitement cohérents avec une arme des débuts de production des carabines USM1 A1 et en superbe état.

La hausse est bien la hausse à bascule du 1er type propre à ces armes. Les armes de la seconde série Inland sont avec des hausses du second type que l’on trouve usuellement sur les USM1 et toutes les USM2.

Le numéro de série de l’arme, en boitier sous la mention du fabricant de l’arme « Inland Div. », est en 356 xxx .

Il faut savoir qu’il n’y a pas de numéros de séries propres à ces USM1 A1 Paras. Ces 71.000 armes ont été numérotées au fil de l’eau au milieu de la production Inland d’armes non parachutistes. Mais toutes les USM1 A1 de la première série Inland sont en numéros compris entre 70.000 et 950.000 et toutes sous le million (celle de la seconde série de 1944 sont en numéros à plus de 5 millions).

Son n° de série correspond à une période de fortes productions mensuelles des M1A1 chez Inland sorties entre d’avril (env. 12.800 exemplaires ce mois là) et mai (environ 17.000 exemplaires en mai) 1943. Le numéro de série de l’arme est donc parfaitement cohérent avec la date de « 5-43 » figurant en canon.

La grenadière est la bonne, marquée d’un « UI »coté qui est la marque de Union Hardware Co., à Torrington, Conn.(normalement « UI ») qui apparaît occasionnellement entre mai et août 1943.

Le canon est bien sûr un Inland et de mai 43 même si le marquage est mal venu. Poinçon de contrôle « P » conforme. Le canon est absolument miroir avec de splendide rayures. Neuf !

L’arme est à nettoyer (et à graisser) intégralement et n’a visiblement pas tiré même pour du loisir depuis des dizaines d’années… Le bronzage d’époque est là à 98% – Excellente mécanique. Excellente percussion. Superbe.

L’arme n’a jamais été en collection, ni sur le marché. Elle sort directement de famille. Une perle.

L’arme sera fournie avec un étui pour deux chargeurs Gates FMG. CO d’époque de 1943.  J’y mettrais deux chargeurs pour USM1 dont un qui est bien marqué « IA » (« A » pour Autoyre Co., Oakville, Connecticut, un sous-traitant pour Inland – « I ») et un autre d’époque (BW soit Bridgeport pour Winchester).

Et puis l’IA, c’est à la mode…. héhéhé!

In fine une rarissime carabine USM1 A1 de parachutiste, une arme de la toute première fabrication Inland, exactement dans son état du D-Day – 100% complète, 100% conforme et en excellent état. Calibre d’origine 30-M1 ou .30 Carbine. Un summum de collection.

Combien en reste t-il ? 

 

PS: L’arme est en catégorie B. Elle doit y rester du fait de son insigne rareté en état d’origine. Et je refuserai toute demande de transformation en catégorie C au coup par coup. 

 

 

 

 

ARME DE CATÉGORIE B AU CSI : SOUMISE À AUTORISATION, PHOTOCOPIE DE LA PIÈCE D’IDENTITÉ EN COURS DE VALIDITÉ ET DE LA LICENCE OBLIGATOIRE –  COMPTE SIA OUVERT BIEN ÉVIDEMENT – Expédition contre signature en deux colis séparés d’au moins 48 heures obligatoire.

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