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900,00€
Très beau fusil de compétition Mauser suédois M96 – Fabrication Carl Gustav de 1919 – Cal. d’origine 6.5×55 Suédois – Magasin limité à un coup (réversible – 5 coups) – Famille Mauser 1893 – Hausse de précision – Mécanique suédoise – Bronzage 97% – Canon superbe – Arme de concours – Catégorie D – TBE+
Armes longues de Catégorie DTrès beau fusil de compétition Mauser suédois Modèle 1896 – Calibre d’origine 6.5×55 Suédois – Magasin limité à un coup (réversible – 5 coups) – Famille des Mauser 1893 – Hausse militaire adaptée en hausse de précision – Mécanique suédoise intraitable avec un excellent lâcher pour une arme miliaire – Bronzage 97% sans oxydation ou peau d’orange – Canon superbe avec de belles rayures – Très bons bois peu manipulés – Arme de concours allemands – Catégorie D – TBE+
1 en stock
Description
Encore un enfant du superbe système Mauser 1896 dans un calibre excellent…
Parmi les nombreux premiers clients du système mauser 93 (hors espagne) et alors même que l’Allemagne avait boudé son concepteur prodige en adoptant le Gewher 1888, la Suède adopta le nouveau système sa,ns coup férir.
D’abord par la carabine 1894 puis par notre présent fusil 1896 Mais elle se distingua au renonçant au calibre phare des versions d’exportation des Mauser 1893 et suivants, le 7×57, en adoptant l’excellent calibre national 6.5×55 Suédois.
Il en résulta une série d’armes plus que très bien finies, « taillées » dans un acier suédois d’extrême qualité et d’une précision redoutable que collectionneurs et tireurs du monde entier s’arrachent aujourd’hui.
Les première armes furent fabriquées chez Mauser à Oberndof am Neckar avant que les suédois ne décident, pour des raisons d’indépendance bien compréhensible de rapatrier la fabrication chez Carl Gustav en Suède.
Anecdote amusante : les deux fabricants, y compris l’allemand, furent tenus de n’utiliser pour toutes les pièces que de l’acier suédois, de très haute qualité. Il s’agit d’un acier nickel, cuivre et vanadium, conférant à ces armes, outre une exceptionnelle résistance mécanique et d’usure une résistance à la corrosion de haute volée.
C’est exactement pour cela que l’on trouve le plus souvent ces armes sans oxydation et avec de très beaux canons ayant pourtant passé des milliers de cartouches. Cette qualité métallurgique explique la réputation exceptionnelle des Mausers suédois qui sont parmi les meilleurs fusils militaires du début du XXe siècle.
Mauser a produit 10.000 carabines M94 avant que Carl Gustav ne prenne le relai. La fabrication du fusil 1896 se poursuivra de 1898 jusque 1925.
Il n’a été fabriqué qu’assez peu de ces armes du système 1896 suédois dans l’absolu : 750.000 en tout dont 127.000 carabines 1894, 535.000 fusil 1896 (mais dont beaucoup ont été repassés au standard court du modèle 1938) et 88.000 fusils 38 « court » de naissance et pas 1896 transformés.
Nombre de 1896, après leur vie militaire ont été transformées en armes de tir du fait de leurs excellent qualités et réputation. C’est le cas du notre.
On trouve sur le marché ces armes encore relativement fréquemment même si certaines versions comme le Sniper 1941 ou la carabine de forteresse sont assez difficiles « à loger ». C’est normal, car la Suède, neutre, a globalement éviter le pire au 20° siècle, n’étant entrainée dans aucun des deux conflits mondiaux.
Néanmoins des armes du systèmes 1896, des fusils modèle 1896 justement, furent livrées à hauteur de 77.000 exemplaires à la Finlande dans sa Guerre d’Hiver contre l’Union Soviétique en 1940. Elles se distinguent par des poinçons finlandais en canon. L’essentiel de ces armes furent restituées par la Finlande à la Suède après ce conflit.
Bref une arme de tir recherchée pour plein de bonnes raisons…
Nous avons ici affaire à un très beau fusil 1896 adapté à la compétition en Allemagne. Outre un guidon sous tunnel couvrant le guidon (réglable) de l’arme, ce fusil a été doté d’une molette permettant un réglage de précision de la hausse standard (toujours d’origine et là) en décamètres au lieu des sauts par pallier de 100 m.
L’arme a été assez peu transformée puisque toutes les pièces qui sont numérotées le sont à l’identique hors la baguette et la hausse. La capacité (5 coups d’origine) a été réduite en mono-coup pour des raisons de compétition et cela est réversible.
L’arme a d’ailleurs participé à des compétitions type TAR allemandes comme en témoignent les autocollants de participation en crosse.
L’arme, une fabrication Carl Gustav de 1919, est en excellent état. Le bronzage d’origine est là à 97% en dépit de ses 106 ans déjà. Aucune trace d’oxydation dans ces excellents aciers.
Les bois sont très beaux avec assez peu de traces de manipulation pour une arme de cet âge et qui a concouru. Ils sont TRÈS exagérés par mes ÉNORMES gros plans comme d’habitude – Quasiment de la photos macro… Regardez les photos d’ensemble de l’arme pour vous faire une idée plus exacte de cette très belle arme.
La mécanique est impeccable avec des ajustements à faire rougir nombre de productions modernes – La culasse est bien fluide même si l’arme mérite un nettoyage graissage complet. La percussion est nette et franche. Après une courte course, le lâcher est bien net et sans effort.
Le canon est miroir avec de belles rayures bien nettes et encore un gros potentiel, hommage en lui-même à la qualité des aciers de cette arme.
Aucun doute qu’elle ne soit très précise, d’autant qu’elle a déjà été sectionnée pour concourir. La taille du 1896 (126cm) garantit une belle ligne de mire favorable à la précision, renforcée par ces organes de visée très adaptés à l’exercice. Elle fera une excellente arme d’entrainement pour du tir à distance moyenne (jusque 500 mètres) en visée ouverte. On peut aussi y adapter un dioptre comme nombre de tireurs le font.
In fine un très beau fusil 1896, en excellent état, déjà prêt pour se faire plaisir au stand. Compte tenu de leurs qualités intrinsèques, il faut saisir ces armes tant qu’elle se trouvent encore à des prix raisonnables sur le marché car leur cote ne cesse de grimper…
Arme de catégorie C au CSI : Copie de la licence de tir en cours de validité ou d’un permis de chasse avec sa validation pour l’année en cours ou l’année précédente ET copie de CNI ou passeport en cours de validité aussi. Compte SIA ouvert bien évidement –
Rappel avec votre licence ou permis de chasse vous pouvez détenir sans limite de nombre des armes de catégorie C.
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Répétons le ! L’armurerie Flingus Maximus à Paris et partout en France est là aussi pour le rachat de collections armes et militaria, vos estimations d’armes, vous éclairer sur la règlementation et pour vos questions armes dans les successions et héritage. Contactez votre armurier préféré via notre formulaire de contact ou à contact@delerea.com