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Très beau revolver D.D.Oury – 8mm 1892 –  Carcasse jaspée – Superbe bronzage – Poinçons poudre vive de Liège – Plaquettes ébène – SA / DA – Chambres et canon miroirs – Barillet basculant à droite – Véritable Smith & Wesson Bodyguard de la belle époque ! – Catégorie D – TBE++

Revolvers et pistolets de catégorie D

Remarquable revolver Belle Époque par Dieudonné Oury – Calibre 8 mm 92 du revolver d’ordonnance militaire – Rare arme de poche au barillet basculant vers la droite – Exécution très soignée – Carcasse avec 100% de son jaspage d’époque – Bronzage impeccable en canon et barillet – Plaquettes en ébène finement quadrillées (une légèrement fendue) – Poinçons de Liège à poudre vive – Excellente mécanique et indexation – jeux minimes – Canon et chambres miroirs – Idéal pour tout inspecteur de police actif vers 1900 et néanmoins sérieux ou malheureusement gaucher ! – Catégorie D – Arme rare et recherchée.

 

 

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Description

En 1900, le préfet de police de Paris, Louis Lépine, celui du concours, déclarait qu’il était inconcevable d’armer les gardiens de la paix. En revanche, tous ceux qui ne l’étaient pas, étaient, selon lui, de purs inconscients…

Telle était l’étrange situation.

Le pouvoir centralisé en France avait, dès la Révolution, mis fin aux tribunaux régionaux. L’application de la loi par le système judiciaire pouvait donc être unifiée sur tout le territoire. Or, pour ce qui est du bras armé de la justice, la Police, la chose allait encore demander près d’un siècle.

La France de la fin du XIXe siècle hérite de forces de l’ordre complètement dépassées et désuètes qui n’avaient pas été réformées depuis Napoléon et son terrible, mais efficace, Ministre de la Police, Joseph Fouché. Ces deux figures de l’Histoire de France avaient procédé à une remise en ordre du territoire avec des méthodes quasi moyenâgeuses en recrutant des « épées » façon Vidocq jusque dans les milieux du banditisme lui-même. Guillotine, bagne et exécutions expéditives furent la norme.

Il faut dire qu’ils avaient fort à faire avec des campagnes post thermidoriennes où les transports se mouvaient à 4 km/heure en moyenne du fait d’un banditisme omniprésent qui obligeait à la prudence et aux détours et où régnaient partout de terribles bandes de « Chauffeurs » (criminels qui brulaient les pieds de paysans pris en otage pour se faire livrer leurs économies).

Mais tout cela avait bien vieilli et perdu de son efficacité au fil de régimes très changeants, victimes le plus souvent de Révolutions qui induisaient encore un peu plus de désordre.

L’organisation des polices étant locale, il est alors assez facile pour un criminel de changer de département et d’échapper aux poursuites et enquêtes. Le temps que son dossier soit transmis depuis son département d’origine à un autre, l’assassin ou le soupçonné était depuis longtemps bien loin. 

Mais la situation s’aggrave à la fin du siècle. La Révolution industrielle et l’accélération des transports permet certes au bourgeois de voyager pour ses affaires mais elle le permet aussi à la délinquance. La « Belle Époque » possède aussi sa part d’ombre, avec sa misère et ses laissés pour compte qui jettent régulièrement à la rue une cohorte de nouveaux miséreux prêts à toutes les aventures plus ou moins légales.

Ce qui a changé, ce n’est pas tellement le fait mais le nombre et les « spécialisations ».

Autre conséquence, la période est aussi aux mouvements sociaux et à l’anarchie. S’attaquer au bourgeois, au propriétaire, lui prendre sa bourse, braquer sa banque, c’est pour certains un peu participer à la « grande lutte sociale ». C’est l’époque des « apaches » et des voyous des faubourg dont se rengorge la Presse à sensation.

Vers 1880 -1900, il convient donc par prudence de rentrer le soir avec « un rossignol qui chante six fois » car les rues ne sont plus sûres du tout. C’est du moins l’opinion générale. Que fait donc la police ?

La police se doit elle aussi de s’organiser pour faire face à ces temps nouveaux. Et les « bandits tragiques » et autres anarchistes de tous poils ne vont pas tarder à faire les gros titres de la presse parisienne avec des moyens et une violence qui apparaitra comme nouvelle à l’époque.

Mais que peut le petit gardien de la paix municipal avec sa fine épée, héritée du sergent de ville ou sa baïonnette Chassepot en guise de sabre, contre un gros revolver à poudre noire ? Zola nous les décrivait pourtant habiles de l’arme blanche dans l’Assommoir. Enfin, suffisamment pour pourfendre un gigot…

Paradoxalement, avec un romantisme populaire soudain mêlé de considérations sociales, le hors la loi bénéficie souvent du beau rôle dans la littérature avec les Rocambole, les Lupin, Fantomas, Vampires, et autre Randal comme celui du Voleur de Darien.

Dans cette lutte nouvelle qui s’ouvre, la capitale est légèrement mieux lotie. Depuis les jours sanglants de 1871, sa mairie est remplacée par une Préfecture, centralisant le pouvoir et son exécutif.  Il y a encore peu de spécialisation et la police ne deviendra Nationale qu’en 1941. Mais ça vient.

Plusieurs brigades spécialisées sont alors créées afin de professionnaliser et coordonner les actions et les moyens.

En 1901 naît avec le XXe siècle, la Mondaine chargée des affaires de prostitution et de mœurs, un énorme sujet et un business florissant à l’époque. Les établissements de plaisir sont aussi un lieu proche « du milieu », un lieu dont les acteurs hauts en couleurs défrayent la chronique criminelle dans et hors les lupanars, un lieu de danger réputationnel et matériel, fréquenté par toute l’échelle sociale y compris les souverains et ministres étrangers, en plus d’être un haut lieu du renseignement policier. Bref, hautement stratégique, le porte-jarretelles !

Six ans plus tard, le 6 mars 1907, sortent de leurs autos les « Brigades Régionales Mobiles de Sûreté Générale ».

Mobiles, elles le sont dans le sens de « mobilisées » à plein temps et non pas tant par le fait qu’elles puissent se déplacer. Le sens est le même que pour le « garde-mobile » de 1870. Le but de ces nouvelles unités est une affectation territoriale à plein temps afin d’y assurer une répression efficace et une surveillance permanente. Il n’est plus nécessaire de prélever des hommes du service ordinaire lors d’affaires nécessitant plus de temps par elle-mêmes, plus de moyens ou de réactivité.

L’arrêté ministériel qui les créées est signé par le Tigre, le vendéen George Clemenceau, le tombeur de ministères.

Les brigades sont au nombre de 12 réparties sur tout le territoire. Elles avaient un rôle proche de notre police judiciaire actuelle. Il leur échoit aussi des missions de maintien de l’ordre qui étaient à l’origine remplies par la gendarmerie, y compris.. les activités de bris de grèves. Le gouvernement, qui souhaitait éviter de faire déplacer de très loin des effectifs de gendarmes, les maintenait en permanence en disponibilité. 

Ces brigades, voulues par le Tigre, sont composées chacune d’au moins une vingtaine d’hommes sélectionnés pour leur condition physique et leurs compétences. Il faut que ces inspecteurs d’élites soient aussi à l’aise avec les appareils photographiques de M.Bertillon, inventeur de la fiche d’identité judiciaire qu’aptes à se servir de leurs poings, de leurs cannes, et de leurs révolvers. On les dotera assez vite de quelques automobiles, une nouveauté à l’époque.

En parlant de poing, on compte, au début et en moyenne trois revolvers d’ordonnance par service ! Et encore,ce sont des modèles 1873 et 1874 déclassés! Peu pratique quand on agit en civil lors de filatures…

Il faudra attendre les événements de 1912 et la phase la plus chaude de l’épopée « Bande à Bonnot » pour qu’enfin des pistolets Brownings semi-automatiques soient distribués. Pas des modèles 1903 en 9mm long comme celui du criminel le plus recherché de France mais plutôt des modèles 1900 en calibre 7.65mm.

Mais à cette époque, l’idole des jeunes n’était pas Johnny. C’est plutôt le revolver modèle 1892 et son calibre 8mm.

Précis et élégant, le révolver 1892 était bien moins encombrant que son prédécesseur de 1873, plus rapide à recharger avec son barillet basculant et très fiable.

D’une parfaite exécution, il dépasse sur de nombreux points ses équivalents américains, réussissant à être plus solide que les Colt et plus simple que les Smith. 

Sa cartouche révolutionnaire à poudre sans fumée, invention française, lui donne une vitesse et une pénétration bien supérieure a tout ce qui se faisait à l’époque. En comparaison, il est légèrement en dessous de la munition de 38 Long Colt.

La réputation de nec plus ultra de la cartouche de revolver en 8mm à l’époque vient en partie de l’aura de la munition de 8mm pour fusil militaire Lebel, fierté nationale. Même si cela n’a rien à voir en dehors du seul diamètre de l’ogive.

Et les catalogues de vente par correspondance se feront une joie d’entretenir la confusion et de présenter des tas de revolvers de poche comme étant en … « 8mm Lebel »! Notre arme de ce jour en est un parfait exemple.

Chose totalement théorique toutefois que de chambrer un calibre de fusil de guerre dans une arme de poing. A moins, peut-être, d’utiliser un révolver géant genre Ruger RedHawk sous stéroïdes. Un Redhawk en 8×51 Lebel ! Votre serviteur n’en dormirait plus la nuit!

Les autres munitions alors disponibles sur le marché telles que les 7mm à broche, les 320 ou 380 bouledogue à poudre noire faisaient anémiques à coté. Outre quelques malfrats de bas étage, elles visaient surtout à effrayer des canidés particulièrement amateurs de mollets musclés de cyclistes (de plus en plus nombreux). Les chiens de ferme de 1880-1910 avaient une génétique qui n’avait pas grand chose à voir avec celle de nos modernes toutous…

En comparaison, les armes chambrées en 8mm d’ordonnance 1892 (disponibles dans toutes les bonnes drogueries à l’époque) et ses 230 mètres par seconde et 200 joules en sortie de bouche constituait un remède des plus judicieux.

Lancés dès le milieu des années 1890, ces revolvers chambrés dans la cartouche militaire 1892 connaîtront un grand succès, multipliant les variantes et les fabrications. Ils intéresseront beaucoup les policiers de patrouille aussi qui doivent souvent s’équiper à leurs frais et acheter leurs munitions…

Les plus remarqués seront les modèles « Le Municipal » et le « Brigadier-Municipal » (les dénominations en disent déjà long sur la clientèle visée), fabriqués en Belgique pour le compte de la Manuf.

Proposés à des tarifs préférentiels pour les administrations, ils se distinguent comme plus intimidants que les bulldogs sans être pour autant aussi lourds que le modèle réglementaire 1892. Ils avaient aussi pour eux d’être 10 francs (-or!) moins chers qu’un 1892 réglementaire! Argument non négligeable.

Le modèle « Brigadier » se payait même le luxe d’avoir un barillet basculant, grande innovation à l’époque. Ces petites armes rustiques mais bien conçues seront longtemps populaires, d’utilisation policière et figureront au catalogue jusqu’en 1914.

La police ne pouvait qu’être demandeuse de ces armes sérieuses et surtout, surtout, compactes.

En effet, dès l’apparition du revolver moderne, on retrouvera des « compacts » comme les Colt 1849 pocket dans les poches des agents de police anglo-saxons. Ils cédèrent leur place à partir de 1867 aux Webley RIC en .442 armant le Constable d’Irlande du Nord et d’ailleurs dans l’Empire. Dès 1890, tout agent de police britannique disposait d’un revolver à canon court de type Webley RIC Metropolitan en 450 ou 455.

Si les Brigades du Tigre furent équipées en pistolets semi-automatiques et d’armes en calibre 1892, la plupart de nos simples hirondelles à bicyclette n’étaient pas autant gâtées. Pourtant le choix du 8mm dans une arme solide et compacte eut été un choix excellent, proche du rôle de nos subnoses modernes.

La plupart de leurs armes dans ce calibre 8mm92 reprenaient encore l’antique construction à cadre fermée et baguette montée en fléau qu’il fallait sortir de l’axe central pour ensuite éjecter les cinq étuis vides…

Cela dépannait mais ne valait sûrement pas un beau revolver Oury comme notre arme de ce jour qui aurait été, en 8mm92, l’arme absolue du policier en patrouille des années 1900 ! Une petite Rolls dans son genre.

 

Actif de 1895 à 1920, Dieudonné Oury, armurier liégeois, est l’auteur d’au moins deux brevets qui ont su se faire remarquer et qui font encore le bonheur des collectionneurs.

Le plus amusant est sans doute le « Novo ». Un révolver de poche repliable modernisation en 1906 du Galland Tue-Tue avec son canon démontable par l’avant, un peu comme sur un Loron ou un Melvin et Hulbert.

Oury dote son revolver d’une crosse repliable ouvragée du meilleur effet et d’un chien hammerless. Chambré en 6.35 et en 7.65mm Browning, calibres modernissimes à l’époque, il se voulait à la pointe du progrès.

En parallèle, il produisait un autre modèle, plus volumineux, remarquablement bien fabriqué et à barillet basculant sur la droite. Une vraie arme de poing moderne.

C’est ce modèle qui nous intéresse aujourd’hui avec notre superbe DD Oury en 8mm 92.

Il dispose d’une construction très similaire au modèle de l’armée mais sensiblement réduite en dimensions. Sans être non plus un petit .320 liégeois. Un vrai subnose avant l’heure. J’ai mis un classique .320 à coté sur une photo pour montrer la différence de concept.

Notre DD Oury, puisque c’est de lui dont il s’agit, est apparu en 1895 au catalogue Manufrance, il le fréquentera jusqu’en 1907. Il était vendu 45 francs soit 20 de plus qu’un modèle à baguette et autant qu’un revolver 1892 du commerce… Ce qui explique sa rareté aujourd’hui.

Le revolver Oury est décliné en plusieurs versions notamment de longueur de crosse ainsi que dans trois calibres : le 8mm 92 d’ordonnance en cinq coups, et les 320 et 6mm velodog, les classiques du « calibre fin XIX° » de poche, tous deux à six coups.

L’arme est de très belle facture avec d’excellents ajustages. Nous sommes face à un équivalent du Smith Bodyguard M38 mais dans une production « Belle Époque ». Le Commissaire Valentin aurait sûrement apprécié posséder une telle arme !

Ses courbes sont gracieuses et généreuses, très étudiées pour le port dans les pesants costumes de l’époque. Nous sommes loin d’un bricolage d’armurier peu scrupuleux ou d’un modèle d’entrée de gamme. Il n’y a pas d’économie de moyens, tout est droit, il ne reste pas un seul trait de lime oublié par un ajusteur pressé comme sur nombre d’autres productions liégeoises.

On dirait véritablement une adaptation Européenne des meilleurs revolvers américains de l’époque. Rien à voir avec la « quincaillerie » liégeoise habituelle.

L’arme dégage une impression de puissance certaine, ne déméritant pas en comparaison avec le modèle réglementaire. Les assortir en coffret serait exquis.

Cet exemplaire que nous vous présentons aujourd’hui pourrait tout droit sortir de la vitrine du premier armurier qu’il l’a vendu, voici bientôt 130ans. Quasi neuf !

La crosse est du type longue avec de jolies plaquettes en ébène (eh oui!) finement quadrillées. Aucune usure ou enfoncement dans le bois. Plaquette gauche présentant une fine fissure, assez peu visible arme en main et réparée solidement. Tout est bien ferme au démontage.

La prise en main est excellente, permettant un très bon contrôle de l’arme. De grandes mains pourront y placer deux doigts et demi (avant le whisky sans glace).

La mécanique est très fluide avec un départ particulièrement net que ce soit en simple comme en double action. Car il fait les deux. Le chien est caréné et dispose d’un percuteur très long visible par le dessus.

Le mécanisme est assemblé au moyen de vis-axes dont celle du chien est maintenue par une contre-vis. Toutes leurs têtes sont parfaites, pas la moindre trace de démontage.

La carcasse possède l’intégralité de son jaspage d’origine, sans la moindre usure ou rayure. De nombreux marquages précisent le calibre « 8mm Lebel » sur le flanc droit ainsi que les poinçons du banc d’épreuve à la poudre sans fumée (Lion stylisé sur un « PV ») et celui du contrôleur de Liège.

Le dessus du revolver est quant a lui marqué « Belgique « . Son côté droit porte la signature « D.D Oury breveté ». Il s’agit donc d’un vrai Oury et non d’une arme sous licence ou d’une copie.

L’ouverture du barillet se fait par portière latérale reculant vers l’arrière comme sur un réglementaire. Mais ce n’est pas une portière Abadie. Elle permet la libération du barillet. Son abaissement suffit aussi à faire office de sûreté en empêchant le chien de se mouvoir en simple action ou la détente en double action.

Le  chien est rebondissant pour éviter tout enclouage dans l’amorce (système Warnant). Sa forme et son crénelage sont un habile compromis entre l’hammerless (qui ne fonctionnerait qu’en double action) et un chien à crête classique qui pourrait trop facilement se prendre dans la poche du policier au moment critique…

Le déverrouillage émet un très beau clic et laisse apparaître cinq chambres rutilantes, ceinturées d’un solide extracteur en étoile avec en son centre un rochet de dimension très sérieuse. Le ressort d’axe d’extracteur est bien ferme. Nous retrouvons sur son pourtour la marque du contrôleur de même que les poinçons du L couronné et celui d’épreuve de poudre vive.

Le verrouillage et l’indexation sont remarquables et témoignent de sa parfaite exécution.

Superbe bronzage bleuté en barillet tout aussi bien conservé que celui du canon à huit pans ! 98% du bronzage est là avec un léger effacement en extrêmité de canon très largement exagéré par mes photos macro comme d’habitude. Très joli travail d’artisan compétent.

Les rayures « miroir » du canon sont superbes et promettent de beaux cartons!

Le bronzage barillet /canon en contraste du jaspage de carcasse en fait une très très belle arme esthétiquement.

Sur le plan de la visée, nous disposons d’une hausse taillée dans la carcasse large de presque 2mm et à fond carré encadrant parfaitement un guidon en demi lune qui rappellera la visée des Smith modèle 10 d’avant 1964.

Solide et agréable à utiliser, même pour des yeux fatigués. Que demander de plus?

 

Maître Flingus est fier de vous présenter quasiment ce qui se faisait de mieux en matière de révolver compact  civil de la Belle Époque, une arme belle à vous rendre jaloux n’importe quel agent de la Sûreté. N’eût été son prix, cette arme particulièrement soignée, très « ramassée » et rationnelle aurait constitué un atout de taille dans la lutte contre le grand banditisme. Un vrai « concealable avant l’heure ».

La Bande à Bonnot n’a qu’à bien se tenir!

Arme rare, recherchée, pièce de choix pour un collectionneur tireur d’arme de la fin du XIX° et Catégorie D.

 

Arme de catégorie D au CSI : pièce d’identité, CNI ou passeport,  en cours de validité obligatoire

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