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1.300,00€
Très belle carabine à levier sous garde Marlin modèle 1894 – Arme de 1981 – Cal .357Mag – 10+1 coups – Très belle crosse en noyer américain avec plaque de couche amortisseuse maison – Mécanique ultra fluide – Canon de 47 cm splendide – Une arme de tir universelle en TBE++ Proche du neuf !
Armes Longues de catégorie CLe coin du chasseur...Iconique carabine Marlin 1894 – Calibre .357 magnum – Roll’s Royce des leviers de sous-garde – Canon ultra court de 47 cm dans le fameux micro-groove – Capacité double celle d’un revolver dans le même calibre – Grande précision – Mécanique ultra fluide – Crosse de beau noyer brun – Fabrication de grande qualité de 1981 – Parfaite alliance entre le western, la chasse et le tactique – Pour moi Marlin est ce qui se fait de mieux en levier de sous-garde.
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Description
Fortement liée à l’esprit pionnier, la carabine à levier de sous-garde fait figure d’arme éternellement jeune et maniable au possible. Une arme de cow-boys en duel, à la bataille contre les indiens et en chasse au bison.
Aujourd’hui, elle est l’étendard de la Liberté dans de nombreux états US qui interdissent les fusils d’assaut.
Chambrées dans des calibres d’arme de poing, et classées en catégorie C, ce sont des armes fort plaisantes à tirer et dont l’efficacité autant sur la cible que sur le cochon se mesure à plus de 150m. Ça laisse de la marge…
C’est un excellent choix de première arme d’épaule après une carabine 22LR, pouvant se tirer dans tous les stands de tir avec de vraies sensations sans ruiner ni son épaule ni son portefeuille.
La première Marlin « moderne » est sortie des usines en 1894. Ce millésime est destinée à remplacer ses modèles 1881 et 1889, dont L.L Hepburn, ingénieur maison, transfuge de chez Colt, simplifie le design, leur permettant d’atteindre une quasi perfection.
Vers 1890, la concurrence est alors très rude dans le monde des carabines à répétions tant le concept est populaire.
Bon marché et offrant une puissance de feu sans pareil, grâce à elle, quelques hommes peuvent ainsi avoir la force d’une petite armée. Les vrais frères Dalton, après avoir attaqué le train de Santa Fé le 9 mai 1891, armés de Winchester à levier sous garde purent ainsi tenir tête à 4 contre toute une milice armée de bons vieux fusils de chasse chargés à chevrotines…
La 1894 est une simplification du modèle 1889 et elle sera dérivée dans de nombreux gros calibres. Elle est la première firme à proposer un boîtier fermé et avec une éjection latérale avant Winchester.
La rigidité de l’ensemble était ainsi décuplé et permettait des armes plus légères sur lesquelles la pose d’optique était d’une grande simplicité. Il faudra attendre les années 1970 pour que la concurrence propose en option des carabines dites angle eject.
Marlin possédait donc plusieurs longueurs d’avance et offrait au client de nombreux avantages qui ne laissaient pas indifférents tant les amateurs de tir de précision que les rudes vachers de l’Ouest.
Orgueil de la marque, ses canons micro-groove permettent un encrassement des plus réduits et une résistance à l’usure extraordinaire. A eux seuls, ils témoignent d’une pensée avant tout tournée vers l’utilisateur .
D’un point de vue mécanique, nous sommes sur une conception des plus rationnelles avec un verrouillage à la fois arrière et avant de la culasse. Le mouvement du levier demande une amplitude réduite et aucune pièce interne ne se retrouve exposée à l’extérieur. Ceci est d’autant plus vrai sur les modèles anciens conservant un dust cover qui vient refermer la fenêtre d’éjection une fois le levier ramené en avant.
La résistance à l’introduction de corps étrangers comme aux températures négatives, des plus utiles aux USA, était absolument remarquable.
L’ouverture naturelle de la culasse est un plaisir, rien n’a de jeu, tout est parfaitement ajusté. L’impression de sérieux qui s’en dégage est sans pareil. Ce n’est pas pour rien que les nouvelles marques se lançant dans les carabines à levier reprennent quasiment toutes le mécanisme et la configuration des Marlin. Que ce soit Pedersoli, Chiappa, Henry, Rossi et Smith et Wesson désormais, tous leurs modèles destinés à la chasse ou bien tactiques sont construits sur une architecture Marlin.
Une myriade d’accessoires sont apparus depuis une dizaine d’année avec les restrictions de plus en plus sévères sur les “Black Rifles” (comprendre les automatiques type M4 aux USA). Dans de nombreux états américains, les carabines à leviers de sous-garde font figure d’alternative très appréciées au point qu’il est désormais possible de les équiper intégralement de rails M-Lock et Picatiny… Des crosses modulaires et des supports d’optiques existent sur le marché et il est possible d’en faire venir des Etats Unis avec une étonnante facilité. Alors bonjour points rouges, lampes et modérateurs de son si l’envie vous dit de changer totalement son look . Mais elle sera moins far-west…
Redoutable dans une arme de poing, la cartouche de 357 Magnum prend tout son sens dans les 47 centimètre du canon de cette carabine. Pourquoi ?
D’abord Elmer Keith a conçu la 357 mag avant tout comme une cartouche … de chasse. Puis il l’a rendue plus polyvalente au fur et à mesure de ses essais. Elle fût d’ailleurs à sa sortie la cartouche d’arme de poing la plus rapide du monde. La quadrature du cercle était assez bien résolue.
Balistiquement elle est proche de l’antique 45 LC (d’ailleurs fort bonne munition de tir et de chasse aussi) mais avec une trajectoire nettement plus tendue ce qui est important pour la chasse du petit et moyen gibier jusqu’à environ 80 mètres. Les gros animaux ne lui font pas peur puisque nos amis américains sèchent régulièrement des Cerf de Virginie (60 à 100 kg ou leurs équivalents dans ces poids) avec ce calibre. C’est très sportif et amusant car, à ces distances, cela implique une bonne précision.
Le .357 Magnum a d’ailleurs toujours connu un succès comme munition de carabine à levier de sous-garde comme notre Marlin. Grâce à la longueur de canon de ces armes, la vitesse à la bouche dépasse les 550 m/s ce qui la rend plus puissante et donc plus polyvalente que nombre de ses consœurs d’armes en levier sous garde (que la 32-20 par exemple ou même que la 30M1 de l’USM1!).
Avec ses nombreuses possibilités d’ogives et ses dix coups en magasin, les Marlin en 357mag sont loin de manquer d’arguments. La munition est en plus peu encombrante, facile à transporter en nombre et on la trouve dans toutes les armureries et souvent en promo; Votre Marlin 94 en 357mag sera en plus acceptée dans tous les stands de tir ou presque.
D’une simplicité enfantine à recharger, avec des composants facilement trouvables, c’est une excellente porte d’entrée aux joies de la confection de cartouches sur mesures.
Le 357 Mag en carabine constitue aussi un complément idéal à votre arme de poing habituelle. Un duo carabine et revolver de même cartouche est un bonheur qui vous mettra sur les traces des Cow-boys et de l’Ouest en vous rappelant que cette mixité étaient aussi l’argument de la 44WCF lors de la conquête.
Notre charmante demoiselle est née en 1981. C’est une belle américaine née à New Haven dans le Connecticut bien avant que d’autres marques ne choisissent de rogner sur la qualité et ne délocalisent; ici aucun danger c’est du 100% made in the USA.
Elle a la quarantaine rayonnante avec un très beau bois de noyer américain au grain très serré tirant sur le rouge; Très dense, il respire la solidité. On sent la qualité de ces fabrication d’avant 2000.
Aucun coup ou marque majeur, juste des marques éparses de manipulation en vernis seulement pour la plupart et pour beaucoup effaçables avec un peu de soin. Très très bon état.
Elle nous vient avec sa bonne plaque de couche maison en parfait état. Le recul du 357 mag dans cette arme longue ne nécessitera pas d’ajouter une plaque de couche maintenat les qualités naturelles de maniabilité de l’arme.
Le célèbre « Bull’s Eye », symbole de sa précision, est bien incrusté derrière la sous-garde en tranche de crosse permettant de reconnaître cette excellente carabine immédiatement et même cachée au milieu du mieux garni des râteliers ! Celui de l’armurier ou le votre. C’était un des buts de Marlin en inventant cette marque distinctive.
Le mot “Bull Eye” en américain ( littéralement venu de l’oeil du bison) désigne le rond noir de centre de cible au milieu de nombreuses autres expressions lingustiques désignant la cible a atteindre qu’elle soit de papier ou en en langage populaire, disons, plus humaine…
Le boîtier est d’une rigidité à toutes épreuves. Son dessus est déjà percé et taraudé afin de placer un rail weaver ou picatiny. Une telle opération est facturée 200 euro minimum, si vous désirez la faire réaliser par un professionnel. Un plus indéniable.
Toutes les têtes de vis sont impeccables et la détente est délicatement recouverte à 100% d’un plaquage or. Le départ est d’une netteté absolue, plus proche d’une carabine à verrou que d’une arme de loisir.
Le chien vient aisément se mettre en position et la trappe de chargement reprenant l’excellent brevet King, identique à celui des winchesters permet un accès des plus commodes au magasin. La technique d’engager à demi une cartouche pour faciliter l’introduction de la suivante est alors superflue. Aucun risque de pincement de doigts, foi de Flingus !
Le levier se manipule avec assurance et fluidité, on le croirait monté sur roulements à billes. Je les trouve et de loin de meilleur qualité de manipulation que ceux des Winchester contemporaines.
On l’aura compris. Maître Flingus, dans le débat homérique entre partisans du clan Wincheter et affionados du clan Marlin a choisi son camps. Et c’est bien une Marlin qui orne son maigre râtelier personnel pour le chapitre levier sous garde. Mais il n’oblige personne à faire comme lui.
Dans les fabrications de ces années là, les ajustements sont encore de rêve – une simple comparaison de manipulation du levier vous en convaincra si vous êtes déjà propriétaire d’une arme d’après 2000. L’arme a très peu ou pas tiré tiré. Il suffit de regarder la portière King de chargement, sans rayures aucunes, pour s’en convaincre… Bref mécanique au top !
Le canon, mêm si’il est à nettoyer, est aussi beau et pur que le teint de Blanche Neige. Ses rayures sont aussi longilignes et nettes que les jambes de Maria Sharapova. Sa longueur totale de 47cm, en revanche, plutôt du genre Mimie Mathy, est ce qu’il y a de plus court que vous puissiez acheter avec une simple licence de tir ou permis de chasse valide.
La hausse est de type “semi-buck horn”, avec une fente en « U », confortable, simple et bien pensée.
Il est possible de la faire sortir de son logement à queue d’aronde pour monter un rail long allant jusqu’à l’arrière du boîtier ou bien une hausse à œilleton et fibre optique qui sera fort appréciée par votre œil.
Le bronzage extérieur est noir de geais est très beau et présent à 100%. Aucune oxydation – Aucune peau d’orange. Superbe !
Le guidon à insert laiton est monté sur un support trapézoïdal, très utile contre les reflets. Comme tout chez Marlin, il est possible de le remplacer par le modèle de votre choix avec le minimum d’outil.
Bref une arme des grande années de fabrication dans un état impeccable. Je dirai un must. Car chez Marlin comme chez les autres tout change dans les années 90/2000 et pas en bien… Je fais venir ce genre d’armes de bonne fabrication d’Allemagne car elles sont assez difficiles à trouver dans cette qualité sous nos climats.
Marlin, c’est ce qui se fait de mieux en Levier sous garde, très présente sur le terrain, cette « petite » carabine a tout pour plaire. Sa polyvalence et son maniement sont sans pareils, faisant d’elle une arme parfaite pour débuter comme pour pousser plus loin le noble art de la chasse ou le tir de loisir festif.
Rattachée à de nombreux concepts très américains, la « pistol caliber carbine » est un indispensable. Surtout en levier sous garde et en 10+1 !
Arme de catégorie C au CSI : Licence de tir en cours de validité y compris médecin ou bien un permis de chasse avec sa validation pour l’année en cours ou l’année précédente ET CNI ou passeport en cours de validité. COMPTE SIA OBLIGATOIREMENT OUVERT !!
Rappel avec votre licence ou permis de chasse vous pouvez détenir sans limite de nombre des armes de catégorie C.
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