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Très belle carabine K98 du début de la Période III° Reich – Code S42/G fabrication Mauser – non monomatricule – Arme d’avril 1935 – superbe état mécanique – canon au top – Très belle arme peu courante en excellent état

Armes Longues de catégorie C

Très beau K98 des débuts de production de la période de réarmement du III° Reich – fabrication Mauser d’avril 1935 – 152.000 produits – État mécanique excellent – bois et fers superbes – canon en TBE ayant peut tiré et non oxydé – Bref un très bel exemplaire peu courant dont vous pourrez être fier !

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SKU: 751-23
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Description

Le K98 est une arme qui fascine.

Ses qualités intrinsèques de tir et de fabrication évidentes, ses multiples finitions et fabricants qui en font un objet de collection idéal, les actions guerrières gigantesques auxquelles il reste attaché dans la mémoire des hommes, tout concourt à en faire une arme à part.

A titre personnel, dans la galaxie Mauser,  j’ai néanmoins toujours eu un petit faible pour les magnifiques fabrications export pour l’Amérique Latine d’avant 14 et mon petit chouchou est le Perse de la commande de 1934 d’ailleurs fabriqué en …Tchécoslovaquie ! Maître Flingus aime les loukoums et l’exotisme. Ce qu’il y a de bien dans la galaxie Mauser c’est que chacun peut y trouver son miel. Et je reconnais humblement que ces fabrications 35-40 sont très belles.

Ces armes du début de la production du III°Reich sont assez peu courantes.  La  guerre a laissé peu de survivants chez les armes aussi…

Mais quand l’aventure du K98 a-t-elle commencée puisque nous sommes, de toutes évidences, face à une exemplaire superbe, de finition typique des débuts de la production ?

Officiellement, le décret d’introduction de l’arme est du 14 juin (1935). Et pourtant ma documentation est claire – le mien est né en avril (code série “2450 e” pour les amateurs d’archives). Aucune incohérence néanmoins.

Je n’ai jamais eu trop de doute que dans sa hâte de réarmer l’Allemagne ait commencé la production en “loucedè” dès le courant 1934. De très rares exemplaires de cette année sont d’ailleurs clairement identifiés dans quelques collections – Le régime cachait simplement son réarmement puis le cachât de moins en moins assez rapidement Et plus du tout à partir de 1936.

Notre arme est donc une des toutes premières dans les productions de l’avant seconde guerre mondiale et de l’armée allemande renaissante.

L’année de production de 1935, elle, ressort du marquage de boitier  – de ce codage de fabricants en lettre et double chiffre et à numérotation de série décalée – remise à zéro tous les 10.000 par un jeu de lettres suffixes et visant d’abord à cacher le réarmement puis à masquer à l’espionnage allié les quantité produites durant la guerre.

Le notre est bien marqué “S/42 G”, un code qui n’appartient qu’à Mauser et qui n’a été employé qu’en 1935.

Avril 1935 vous disais-je. Cette année là Mauser produisit environ 152.000 K98. C’est peu. La production ne faisait encore que redémarrer.

Il est très beau- dans un état de conservation vraiment rare – son seul défaut est de ne pas être mono matricule même si absolument toutes les pièces – hors culasse – le sont jusqu’à la dernière vis (“50” partout) . La culasse elle-même est intégralement au même numéro (en lettre a)) sauf son drapeau. On est pas passé loin de l’exploit.

Ses bois sont véritablement très beaux. C’est du noyer d’avant guerre et pas du lamellé-collé. Il porte bien tous ses bons poinçons Mauser et de Waffen amt (211 en l”espèce) encore bien visibles et cohérents avec sa datation. Les bois sont numéro de l’arme aussi évidement. Très peu de traces de manipulations – vraiment top.

Les fers sont aussi en excellent état – aucune piqure ou peau d’orange – Son bronzage d’origine de la belle qualité d’avant guerre est encore présent à 95% avec juste quelques éclaircissements légers, probablement dus au port à la bretelle.

L’état mécanique de l’arme est impeccable – son canon est dans un état rare pour une arme née 10 ans avant la fin de la guerre et qui a subit toute cette période de fer et les risques du stockage pendant déjà 88 ans… Très belles rayures et aucune oxydation.  Je n’ai pas trop de doute sur ses qualités de tir.

Sur les 9.987.000 exemplaires fabriqués sur cette période, les armes d’avant guerre ont la juste réputation d’être les mieux finies et les plus belles. Il en reste très peu.

Bref un très bel exemplaire de K98 par un fabricant mythique, des débuts de fabrication, et dans un état plus que très au-dessus de la moyenne. Ces exemplaires en code S42/G sont peu courant. Il serait dommage d’y coller une lunette…

Arme de catégorie C au CSI : Licence de tir en cours de validité avec cachet et signature d’un médecin au dos ou bien un permis de chasse avec sa validation pour l’année en cours ou l’année précédente ET CNI ou passeport en cours de validité. Rappel avec votre licence ou permis de chasse vous pouvez détenir sans limite de nombre des armes de catégorie C.

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