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Très belle et puissante carabine Marlin 444 S – Calibre 444 Marlin – Capacité 5+1 – Arme de 1981 au poinçon « JM » – Fabrication New Haven de qualité Marlin avant faillite! – Bois, mécaniques et ajustements au top – Bronzage d’origine à 100% – Canon micro Groove « neuf » – Superbe état quasi neuf – TBE+++
Armes Longues de catégorie CSuperbe carabine Marlin 444 « S » – Cal. 444 Marlin – Calibre plus puissant et plus précis que le 45-70 Gvt – Arme de 1981 au rare poinçon « JM » – Arme de qualité Marlin d’avant faillite de 2008 – Canon Micro Groove idéale balles chemisée – Utilise les diamètres d’ogives du 44Magnum offrant ainsi un vaste choix de projectiles – Capacité 5+1 – Superbe fabrication avec bois de qualité quasi intouchés – Bronzage d’origine superbe à 100% – Mécanique de rêve dans des ajustements intouchables aujourd’hui – Arme idéale pour un « KO » entre de 20 à 200 mètres – Superbe état quasi neuf pour ses 44 ans – Une super VRAIE Marlin – Une occasion Flingus – TBE+++
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Description
On dit souvent que le calibre 444 Marlin est un calibre « inventé » par Remington pour la Marlin 444. Comme son nom ne l’indique d’ailleurs pas…
Et pour cause. Car rien n’est plus faux.
C’est juste que Marlin ne produit pas de cartouches et qu’il a bien fallu la tester et la faire produire quelque part.
Mais Marlin, à l’époque, savait ce qu’est une bonne carabine de chasse et de tir. On avait donc chez Marlin des idées très précises sur la question. Et un problème aussi.
Au milieu des années 1960, Marlin faisait un triste constat qui parait étrange aujourd’hui: la 45-70 Government, inventée en 1871 aux temps d’une autre poudre en plus, cartouche quand même lourde et « vieillotte », avait pratiquement disparu du marché américain.
Entre le manque criant de bisons à occire et la fin des chasses africaines à la Roosevelt (13.000 bêtes passées de vie à trépas en une seule expédition de deux ans), son usage s’était raréfié et sa production anémiée.
A 150 mètres ou moins, on lui préférait de loin une 30-06 militaire ou une 30-30 de l’âge d’or aussi mais très répandue dans les Winchester.
Il n’existait donc plus de cartouche de carabine à gros boulet disponible ou d’équivalent plus moderne et néanmoins utilisable dans une très classique carabine à levier sous garde de production « courante ».
Et pourtant. Il en restait du wapiti, de l’orignal, du sanglier, de l’ours noir et du cerf à mettre KO à courte distance dans un calibre revisité qu’on pourrait enfiler, par exemple, dans leur excellent Modèle 1895 (qui, d’origine, avait d’ailleurs fait merveille en 45-70 Gvt).
Que faire comme aurait dit Lénine en se réveillant un matin vers 1905 ?
Marlin décida donc de créer une nouvelle cartouche, remplaçante et plus performante que la 45-70 Gvt, pour combler ce vide, une véritable « cartouche de KO » pour nos leviers sous garde chéries.
Et ce sont bel et bien deux cadres de Marlin qui créèrent cette remarquable cartouche et pas les gens de Remington qui n’en firent que les essais et la prime production. Et ils créèrent d’ailleurs aussi la carabine autour de cette cartouche car ils se rendirent chez Remington avec le prototype qui « irait bien » pour les essais de la cartouche.
Les deux cerveaux de chez Marlin à l’origine de ce puissant tandem carabine et boulet associés s’appelaient Thomas Robinson et Arthur Burns. Robinson était le directeur de la recherche de chez Marlin, tandis que Burns était le spécialiste métaux de l’entreprise.
Pour cela, ils repartirent d’une excellente cartouche de guerre qui avait connu quelques heures de gloire dans des leviers sous garde de chasse et de tir au gros gibier, comme dans la Winchester 1895 par exemple : la 30-06 Springfield.
La .444 Marlin est née d’une douille de .30-06 non finie, étirée en ligne droite et dont la base fut réduite pour y créer un bourrelet. Elle utilise des projectiles de calibre .44 d’un diamètre de 0,429 à 0,430 pouces exactement les mêmes que ceux employés dans la .44 Magnum.
La cartouche de 444 Merlin n’est donc pas une 45-70 revisitée ou rajeunie. Ce serait plutôt en fait une version plus longue de la .44 Magnum, en l’allongeant quand même d’environ 2.5 cm afin de lui donner une pêche de boulet équivalent à la 45-70.
Mis au point en 1964 avec Remington, le tandem sortit des usines de Ilion en 1965.
Mais la munition en 444 Marlin est de naissance adaptée aux poudres vives.
Cela lui donna illico un avantage significatif sur la .45-70 Gvt grâce à sa limite de pression nettement plus élevée (32.000 PSI pour une 45-70 contre 51.500 PSI pour une 444 Marlin).
Et, comme le rappelle William S. Brophy dans sa bible sur les Marlin, la firme insista dès le début sur cette puissance unique à l’époque puisque son annonce clamait haut et fort dans catalogue : « La puissante Marlin .444 a une valeur de Knock-Out plus élevée même que la .338 Winchester Magnum à des distances supérieures à 100 yards ! À 150 yards, son score K-O éclipse même la .300 H&H et la .30-06. ».
Et c’était vrai.
On me dira que le 444 Marlin ressemble quand même fort à sa prédécesseuse 45-70 Gvt dans ses formes générales. Je vous ai mis une photo d’ailleurs.
En réalité, la .45-70 et la .444 Marlin sont moins proches qu’elles n’en ont l’air au premier abord. Deux philosophies différentes pour une même recherche de choc dirais-je.
La .45-70 a été conçue en 1871 pour des balles lourdes de 350 à 500 grains avec des vitesses de sorties de bouche tournant autour de 1100 à 1300 fps, même si, avec des chargements modernes plus légers, à trajectoire plus tendue, dans la plage des 250 à 300 grains, on atteint les 1800/2000 fps.
La .444 Marlin, elle, privilégie des balles plus petites de 240 à 300 grains pour des vitesses en sortie de l’ordre de 2200/2300 fps. Sa trajectoire est donc nettement plus tendue qu’une .45-70 comparable.
A titre d’exemple dans la gamme FTX Lever Evolution de Hornady, la .444 Marlin avec balle de 265 grains affiche une vitesse à la bouche presque 300 fps plus élevée que celle de .45-70 de 325 grains. Elle chute de près de 15 cm de moins à 200 mètres et génère plus d’énergie que la bonne vieille 45-70 Gvt jusqu’à environ 270 mètres.
Pour la situer par rapport à la 30-06 en termes d’énergie à la bouche, son pouce supplémentaire d’étui permet de propulser des projectiles de calibre .44 de 240 grains et plus à des niveaux de puissance comparables au .30-06 qui lui envoie du 150/160 grains.
Quand on songe déjà au coup de poing que représente la 45-70 Gvt ou la 30-06, la 444 est donc une cartouche reine du KO à courte et moyenne distance.
Le catalogue Marlin de 1965 ne mentait donc pas. Et Marlin pouvait à juste titre être fier de sa réalisation.
Dans une levier sous garde elle n’a que peu d’équivalent dans les calibres courants entre 45 et 170 mètres. La 444 Marlin est donc une cartouche de chasse de première classe. Sa précision est aussi supérieure à la 45-70 Gvt, du fait de sa trajectoire plus tendue. C’est donc aussi une remarquable cartouche de tir.
La 444 Marlin bénéficie en outre de la multitude des balles conçues pour le 44 magnum. Le rechargeur se régale et le choix d’ogives est bien plus vaste d’en 45-70. Ce sont toutes ces caractéristiques qui ont fait son succès et lui on fait résister à l’incroyable retour historique de la 45-70 Gvt à partir des années 2000.
On était donc en 1964 et on tenait une excellente cartouche.
Mais dans quoi allait-on la tirer ?
Pour accueillir cette munition, Marlin repartit de sa remarquable carabine à levier modèle 336 en .30-30, achèvement terminal des systèmes à levier sous garde issue de l’antique fusil Henry modèle 1860 et née, elle, en 1948.
Les aciers de la 336 furent certes renforcés pour tenir un choc qui n’avait rien à voir avec la 30-30. Mais toutes ces modifications apportées à la 336 sont internes. Elles visaient d’abord à permettre d’accepter les dimensions plus importantes de la nouvelle cartouche de 444 et ensuite à renforcer la mécanique. Mais, mécaniquement, c’est la même arme: une Marlin 444 c’est une Marlin 336 renforcée pour le gros calibre.
Ce nouveau modèle reçut logiquement la désignation Modèle 444, ou Marlin 444. Il était initialement doté d’un canon de 24 pouces et utilisait les fameuses rayures « Micro-Groove » de la marque brevetées en 1953.
Elle était également dotée d’une crosse Monte Carlo à poignée droite et d’un bracelet en canon en plus de l’embouchoir en fut.
En 1976, ces caractéristiques furent modifiées pour aboutir à notre arme de ce jour.
Cela la rend proche dans ses ligne de la Modèle 1895 « Moderne » (qui utilise elle aussi 100% de l’excellente architecture 336, loin du modèle original de 1895): canon de 22 pouces, crosse pistolet et embouchoir unique avant en acier. Les versions actuellement produites par Ruger ont en plus la très décriée sécurité transversale introduite en 1988.
A sa sortie, en 1965, la Marlin 444 était juste la carabine à levier sous garde la plus puissante du monde.
Dotée d’un point rouge, elle est redoutable. Ces armes tiennent sans problème la minute d’angle à 100 mètres sur tout leur magasin avec une régularité d’horloge du fait de la qualité de canonnerie.
La Marlin 444, et sa sœur 1895, sont sans conteste les reines du marché des leviers sous garde en gros calibres. Et, dans ces fabrications d’avant 2008, elle n’ont comme équivalent en qualité que les Winchester 1895 d’avant 1931…
Maître Flingus vous a donc encore dégotté une très belle arme. Une des excellentes Marlin 444 de fabrication d’avant 2008 par le vrai Marlin.
Je vous avoue que j’ai quelques unes de ces Marlin de ces peu courantes et très bonnes fabrications des années 90 et avant (parce que je les cherche activement partout) mais que c’est la première que je serre de cette époque bénie en calibre 444 Marlin.
Elle est en effet bien marquée « Model 444 S » en chambre.
Et contrairement à ce que beaucoup croient ce « S » n’est pas là pour designer la fameuse et décriée sécurité (« Safety » en langue de zoulou) transversale introduite en 1988. Ce « S » signifie simplement « Sporter » et cela se rapporte au canon, plus maniable que sur un fusil (en 24 pouces et plus chez Marlin) et adapté chasse/tir.
En revanche, vous trouverez effectivement des Marlin 444 post 1988 marquée « SS » pour « Sporter » et « Safety » relatif à cette sécurité transversale inutile sur une levier sous garde quand on est familier avec le système, peu pratique pour un gaucher et qu’on risque d’oublier au « meilleur » moment si par acquis de conscience on l’a engagée…
Pour la notre, c’est réglé, si je puis dire, car avec son numéro de série en 19-XXXXXX, elle est de 1981 soit de la meilleure production Marlin et d’avant 1988 sans sûreté transversale.
C’est assurément une arme de grande qualité. Elle est en effet bien marquée d’un poinçon « JM » en canon. Ce poinçon est aux initiales de John Marlin, le fondateur de la marque.
C’est le signe d’une fabrication d’avant la reprise de Marlin de 2008 et de ses conséquences. Le « JM » est à Marlin ce que le pré-64 est à Winchester.
Ces Marlin « d’origine », fabriquées par Marlin, ainsi poinçonnées, sont particulièrement recherchées aux USA pour leurs qualités de fabrication qui ont fait la réputation de la marque.
Ce poinçon « JM », c’était même le dernier poinçon qui était apposé au terme du contrôle qualité de chez Marlin quand l’usine Marlin existait encore.
En 2008, Marlin, en difficultés financières pour n’avoir jamais voulu rogner sur la qualité dans un marché toujours plus tiré vers le « apachère », est rachetée par un Remington déjà bien malade.
L’usine Marlin de New Haven où étaient produite les 444 fut fermée début 2011 et son personnel très qualifié mis à la porte. Cela a mis fin à la production de la 444 chez Marlin.
Les carabines à levier ont toutefois continué à être produites par Remington après le déménagement de l’outillage à Ilion, dans l’État de New York et à Mayfield dans le Kentucky.
Mais les standards de production Remington baissèrent suffisamment pour provoquer les soucis de qualité relevés par les tireurs américains (bris de pièces, finitions aléatoires, métaux micro-bullés, etc…).
Remington corrigea (un peu) le tir, si je puis dire, vers 2014/15 mais ne put éviter lui-même la faillite à son tour en 2020.
La marque Marlin est désormais produite par Sturm Ruger qui l’a reprise à la faillite de Remington avec des critères de fabrication certes modernes mais au moins sérieux comme Ruger sait les gérer. Le retour de l’excellente Marlin 444 en production est donc une nouveauté Ruger de ces dernières années.
Pour l’anecdote, les cordonniers étant par définition mal chaussés, Maître Flingus a fait l’acquisition d’une Marlin/ Ruger 1895 à titre perso. Neuve sortie de boite vers 2021.
L’arme chaussée d’un point rouge est excellente et précise. Mais au premier réglage de hausse au stand et avant le premier tir, le crocodile casse! C’était du micro bullé bien sûr. Cela arrive, c’est « normal ». Rien de dramatique.
Mais ça n’arrivera jamais avec une vraie hausse 100% d’avant 2008. Détail. Mais détail à mon sens très significatif d’un changement de monde…
Ici aucun souci possible de ce genre avec cette arme de 1981 au poinçon Marlin. 100% vrai acier de qualité jusque dans les vis. Elle est en plus très bien finie, à un niveau intouchable aujourd’hui pour des armes de série, et des plus agréables à manipuler.
C’est un modèle en noyer clair de grande qualité. Les bois sont superbes, avec très peu de marques de manipulation ou rayures. Quasi aucune en fait à l’œil nu. Le tout est dans une finition poncée huilée que vous ne risquez plus de voir sur une arme de série actuelle.
Les moindres défauts sont comme d’habitude TRÈS exagérés par mes TRÈS gros plans. Et tous les points blancs, taches et autres en gros plan c’est juste de la saleté. Elle est à nettoyer de A à Z de vieille graisse mais elle est en parfait état. Très belle arme !
En plus de son joli bois c’est une variante un peu luxe avec insert de bois noir en poignée et une magnifique queue de détente dorée en parfait état. L’orifice de rentrée du chien en boitier est renforcé. Du détail toujours mais du détail d’avant 2008…
Les bois sont vraiment plus que beaux. A déjà 44 ans elle en parait 20 (pas comme moi)! Presque neuve.
Autre signe de qualité de son époque de fabrication, elle porte bien encore en dessous de crosse le fameux insert « Bull Eye » (« œil de bison », point visé autrefois par les chasseurs de bisons et exprimant tout à la fois la qualité de précision d’un tir et le rond noir des cibles en américain).
Ce « bull eye » était inséré autrefois chez Marlin comme symbole des qualités de précision de la marque. C’était aussi un très bon moyen de signaler le rayon des Marlin, posées verticalement en râtelier, chez l’armurier.
On voyait la série des bull eyes de loin. Cela les distinguait illico du rayon des Winchester pour que le client ne perde pas son temps et aille directement au meilleur produit. Hé hé hé !
Ce symbole marketing de qualité qui nécessitait encore une étape de fabrication supplémentaire pour son insertion a été supprimé progressivement à partir de 2000 sur les modèles laminés et a totalement disparu après 2012. Comme si Rolls supprimait sa Victoire de Samothrace de ses sommets de radiateur...
La plaque de couche amortisseuse d’époque maison est en parfait état. Comme la détente dont le doré à tenu au temps. C’est aussi un petit plus « Marlin » de la grand époque.
Les fers ne sont pas en reste. Aucune griffure visible en boitier à l’œil nu.
Le bronzage est un bronzage de qualité, très épais, et présent à 100% sans coups ni manque. Arme somptueuse. Aucune oxydation.
La portière de chargement est pleine de vieille graisse de stockage mais ne porte aucune marque d’introduction de munitions, signe immanquable d’un usage plus que limité. TBE+++
Les vis sont également en état parfait.
L’arme est assez lourde. A l’aveugle, une 336 « normale » de cette époque déjà se reconnait illico d’une Winchester 94 moderne rien qu’au poids. La 444 est une arme massive car renforcée par rapport à une 336 et surtout avec son canon calibre lourd.
Néanmoins avec son canon 22 pouces, elle reste extrêmement maniable et elle est excellemment équilibrée. Je la trouve même mieux à cet égard que ma 1895 personnelle. Elle est dotée d’attache de bretelle déclipable qui feront de son transport un moment de plaisir viril.
Critère des bonnes fabrications de ces années là, elle est aussi merveilleusement ajustée. L’ouverture naturelle de la culasse est un plaisir, rien n’a de jeu. Tout ça sent l’acier sans concession. Rien à voir avec les Winchester post années 80 et même les commémoratives.
C’est même mieux que celles qui sortent aujourd’hui de chez Ruger pourtant fabricant de bonne qualité. C’est même mieux que Miroku qui était pourtant clairement au top.
L’impression de sérieux qui s’en dégage est un bonheur en soi.
C’est ferme et souple à la fois. On ajustait encore à la main. Grande souplesse sur les pièces en contact. Pas de jeu latéral en levier comme chez certains. Ça durera vraiment plus longtemps en plus. Une arme à transmettre. TBE++
La détente est particulièrement nette pour « une usine ». La course est courte avec un lâcher très net au point de basculement de la cachette. Le chien a été complété d’un fort utile prolongateur latéral qui fait de son armement un petit bonheur du jour aussi sur cette mécanique très souple.
Il peut se démonter avec une petite clé hexagonale sans souci. Mais je conseille vivement de l’y laisser, surtout à la chasse, car c’est un plus indéniable surtout avec des gants.
Le canon est un 22 pouces (et pas un 20 pouces comme les 336 de base) micro-grooves de la marque à 12 rayures (on les reconnait illico à ça). Il est aussi miroir que ma glace de salle de bain. Plus lourds que les « normaux » sur d’autres calibres genre 30-30. Canon en TBE+++.
Il est particulièrement adapté aux balles chemisées ou partiellement chemisées. Les rechargeurs qui, par hasard, possèderait aussi un 44 Magnum en arme de poing vont pouvoir se régaler.
L’arme est dotée d’un guidon « Gold dot » en pointe sous tunnel et de la classique hausse Buckhorn (crocodile chez nous!). Excellente ligne de visée avec ce guidon en plus. Extrême précision de cette arme en 444 garantie.
Le boitier est percé d’origine pour y fixer une optique de votre choix. Un point rouge sur rail serait parfait dessus. Mais ne la rayez pas, ce serait dommage.
Il existe une foultitude d’accessoires pour la 444 et l’acheteur pourra se faire plaisir en customisation s’il le souhaite.
Bref une Marlin 444 des grandes années dans un état quasi parfait.
In fine une vraie Marlin de chez Marlin, l’équivalent des pré-64 de chez Winchester, dans un modèle 444S d’avant 2008 peu courant, plus précis et plus puissant que le 45-70Gvt. Et en état excellent plus. TBE++ global.
Idéal chasse et tir pour tout passionné de Marlin puissantes. Elle fera accessoirement et particulièrement le bonheur d’un tireur qui possèderai déjà un 44 Magnum et qui rechargerait. Entre collection et sortie au grand air, cette arme est faite pour vous.
Cette marlin 444 est une fabrication d’exception au prix de l’occasion d’une fabrication récente. Pour une super arme à levier sous-garde, un indispensable de tout râtelier qui se respecte. Du grand Marlin.
Arme de catégorie C au CSI : Licence de tir en cours de validité avec QR code bien lisible ou bien un permis de chasse avec sa validation pour l’année en cours ou l’année précédente et CNI ou passeport en cours de validité. COMPTE SIA OBLIGATOIREMENT OUVERT !!
Rappel: avec votre licence ou permis de chasse vous pouvez détenir sans limite de nombre des armes de catégorie C.
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Répétons le ! L’armurerie Flingus Maximus à Paris et partout en France est là aussi pour de le rachat de collections d’armes et militaria, vos estimations d’armes, vos questions armes dans les successions et héritage. Contactez votre armurier préféré via notre formulaire de contact ou à contact@delerea.com



































