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Très belle et rare Carabine de selle Winchester 1873 – calibre 44 WCF / 44-40 – Arme de la conquête de l’Ouest de 1885 – Arme rare dans un état d’exception ! TBE+++

Armes longues de Catégorie D

Peu courante carabine de selle (et pas le « classique » fusil en 61 cm) Winchester modèle 1873 – Calibre d’origine maison 44 WCF /44-40 – Exemplaire du 3° modèle fabriqué à New Haven en 1885 – Fers et bois dans un état rare surtout pour une arme qui fête ses 140 ans – État mécanique impeccable – Toutes pièces d’origine et de l’arme sauf bouchon de magasin – Splendide bronzage à 99% sans aucune oxydation – Magnifique canon avec de splendides rayures – Logement de nettoyage de crosse fonctionnel – Très beaux marquage sans aucun effacement ou atténuation – Anneau de selle d’origine – Arme d’exception dans un état quais muséal pour un collectionneur très exigeant. Catégorie D depuis fin 2023 !

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Description

Doit-on présenter « the gun that won the West »,  » l’arme qui a conquis l’Ouest « , la Winchester 1873 ?

Une gageure devant laquelle Maître Flingus a envie de reculer tant il y a à dire. Mais, notre 73 de ce jour est un peu particulière.

D’abord c’est une carabine de selle (ou mousqueton de cavalerie dans l’armée) plus rare que le fusil de chasse (rifle) qui fut le modèle plus demandé à l’époque. Et elle est de la « bonne époque » en plus. Alors elle mérite une petite mise en contexte.

Winchester, c’est surtout un nom, des images de fusils à levier sous garde tirant sur des indiens ou des bandits, des héros, des salauds, une invention continue, un mythe, un symbole… On ne sait d’ailleurs pas à quoi tout ça se rapporte sur le fond.

Alors situons déjà l’homme et sa firme.

Au départ, c’est un gamin qui nait en novembre 1810 du coté de Boston. Il commence garçon de ferme à 10 ans puis son nom, que rien ne prédisposait à sortir de l’ombre, brillera pour toujours et ne sera pas oublié de sitôt. La vie, quoi.

Il est vrai qu’il était travailleur et surtout doué pour les affaires le petit Oliver Fisher Winchester. Il passa très vite de la ferme à charpentier puis à redoutable homme d’affaires.

Il fera fortune dans les chemises et le textile entre autres. Bien plus que dans les armes, c’est toujours et surtout dans le business qu’il excella. Un vrai self-made man à l’américaine, travailleur, intelligent, visionnaire, pratique mais aussi dur et sans scrupule.

Et, surtout, qui sait s’entourer, ce qui, à mon sens, est la toute première qualité d’un manager. Un vrai boss.

Dans le domaine des armes, il aura notamment le talent de reconnaitre et d’embaucher un des grands inventeurs de l’armement moderne: Ce sera Benjamin Tyler Henry vers 1860 à qui il devra sa première arme à levier sous garde puis son premier gros succès commercial, la Winchester 1866, la fameuse « yellow boy » à cause de son boitier en alliage de bronze, qui s’écoulera à 120.000 exemplaires pour les civils.

La petite firme d’armes de New Haven Connecticut pouvait désormais prendre son essor. Tout ça après avoir habilement récupéré les brevets et les équipes de la Volcanic Repeating Arms Company, société de Smith et Wesson, qui devront, eux, voler de leurs propres ailes ailleurs, virés de leur propre boite par Oliver! 

Oliver fit aussi de la politique sous étiquette républicaine. Il devint gouverneur du Connecticut puis Grand Électeur (ceux qui élisent le Président). Il avait fait du chemin le gamin pauvre.

En 1880, Oliver F. Winchester décède mais l’aventure n’est pas terminée.

La firme Winchester est encore bien solide sur ses bases et, avec le même flair que son fondateur, détecte et commence à acheter les brevets d’un encore plus génial mais pauvre concepteur (et Saint du Dernier Jour accessoirement): John Moses Browning.

La firme en profitera beaucoup et produira pendant longtemps des armes mythiques crées par Browning, la Winchester 92 (plus d’un million d’exemplaires !) , la 94 (7,5 millions d’exemplaires, toujours plus fort !) ou le fusil à pompe 1897, le père de tout les pompes modernes.

Le fils de Oliver mourra jeune, un an après son père, laissant une veuve, Sarah, richissime et « douce-foldingue » selon nos critères à nous.

Constructrice d’un des manoirs les plus fous de l’Histoire (300 pièces à son apogée avec notamment un escalier qui ne mène nulle part (!)) et où on exerçait le spiritisme pour communiquer avec l’âme des victimes des armes maison. Car elle était totalement anti-armes la patronne de Winchester!

Mais, femme d’affaires très avisée, elle fit encore prospérer la firme de New Haven et devint encore plus riche, une des plus riches américaines de son époque. Welcome in America !

La firme périclitera au long du XX° siècle (19.000 ouvriers quand même encore en 1945), sera rachetée par le belge Herstal en 1981 (qui, ironie du sort, avait ‘recueilli’ John Browning au sortir de chez Winchester vers 1900), et deviendra la « US Repeating Company ». Exit la firme Winchester.

La dernière Winchester réellement « Made in the USA » est sortie de New Haven vers 2005. Il restait encore 200 gars employés pour nous faire les dernières commémoratives avec tout l’amour dont ils étaient encore capables.

Winchester n’est désormais plus qu’une marque qui vend surtout du semi automatique de chasse fabriqué en Turquie. Disons que ça fait moins rêver.

Alors, revenons à la période glorieuse de la 1873, mythe essentiel de chez Winchester. Pourquoi un mythe ?

La technique d’abord.

Car il faut bien comprendre que notre 1873 n’est pas juste la fille de la 1866. Elle est le fruit de 25 ans d’améliorations techniques continues du fusil Volcanic Rifle, produit vers 1852, par Horace Smith et Daniel B. Wesson et conçue essentiellement par un contremaitre-armurier de l’usine, Benjamin Tyler Henry, l’inventeur du levier sous garde.

Cette toute première version fut pourtant moins que glorieuse commercialement: 2.000 exemplaires produits qui peinèrent à se vendre, conduisant à la faillite de la société et à son rachat par le redoutable associé minoritaire Oliver Winchester, toujours à l’affut d’une belle opportunité.

Il avait d’ailleurs poussé discrètement à la faillite de ses associés. Tous en cœur et en musique, pour ceux qui ont la soixantaine: « Daaallaaaas, ton univers impitoyaaaable ! ».

Il mit dehors Smith et Wesson mais, évidement, garda Henry qu’il promut immédiatement.

Sous la houlette de Winchester, l’arme fut améliorée et utilisée pendant la guerre de sécession sous forme de la Volcanic 1860. Chère (52 dollars pièce), l’Union n’en commanda que 1.730 exemplaires (avec un rabais), chiffre à comparer aux 95.000 carabines Spencer en service dans les troupes de l’Union.

Mais le levier sous garde fit forte impression par sa grande puissance de feu.

Les soldats gris de la Confédération la résumèrent de façon imagée comme « une arme qu’on charge le dimanche et qui tire toute la semaine ». Les brevets de Monsieur Winchester venaient de prendre un peu plus de valeur.

C’est de cette arme que résulta le premier succès de la nouvelle firme Winchester, créée en 1864, et sans Henry, mis dehors par Winchester pour résistance intempestive, alors que Henry y avait apporté une contribution essentielle, la fameuse « Yellow Boy » 1866 avec son iconique boitier d’alliage bronze / laiton. Henry finira simple armurier de quartier en 1898.

Produite à 170.000 exemplaires en tout, c’est la première « vraie Winchester » qui incorpore déjà la fameuse portière d’introduction latérale des munitions, inventée par Nelson King, un autre bon recrutement de Winchester.

Portière qui contribuera largement à la réputation de l’arme par sa simplicité. Son redoutable et nouveau magasin tubulaire de 15 cartouches, unique au monde à l’époque, et sa fiabilité feront le reste…

La 1866 fut exportée massivement en Amérique latine (Brésil, Haïti et Nicaragua – avec paiement en tonnes de café! – le Mexique aussi – 1.000 armes pour les révoltés de Juarez et le Chili), dans l’Empire chinois déjà en ébullition, et même au Maroc d’avant le Protectorat.

Des versions militaires espagnoles seront produites par l’arsenal d’Oviedo à partir de 1879 et seront encore utilisées par la Garde civile durant la guerre civile d’Espagne de 1936. Elle trouvera aussi son chemin jusqu’à la France à hauteur de 6.000 exemplaires lors de la période Défense nationale de la Guerre de 1870 et tuera du prussien.

Elle posera encore d’importants problèmes aux Russes quand elle sera aux mains des Turcs dans le conflit russo-turque de 1877 où elle étonnera toute l’Europe en couchant en quelques dizaines de minutes des milliers de russes lancés dans les assauts de la forteresse turque de Plevna.

Et les améliorations continuèrent car le concept du levier sous-garde était décidément prometteur. Même l’Armée suisse y songea préférant finalement une solution nationale à culasse linéaire.

Mais, en revanche, jamais l’armée américaine ne l’adoptera. Aucune des leviers sous garde de New Haven ! Le « signe indien » de Winchester si je puis dire…

Vint alors notre 1873 qui vit trois changement majeurs par rapport à la 1866:  l’introduction de l’acier en lieu et place de l’alliage de bronze dans sa fabrication, sa fenêtre d’éjection par le haut qui fiabilisait le mécanisme et surtout l’introduction d’une nouvelle cartouche appelée à un grand avenir: la 44 WCF ou 44 Winchester Center Fire ou encore 44-40, une munition de 200 grains de plomb en calibre .44 propulsée par 40 grains de poudre.

Coup de chance ultime, comme des fées se penchant sur le berceau de notre Winchester 1873, cette cartouche est si bonne que Remington et Colt sortent au même moment d’excellentes armes dans ce calibre révolutionnaire.

Vous pouviez donc partir vers 1875 sur les chemins de la Conquête de l’Ouest avec fusil et revolvers contre ours, outlaws et indiens avec un seul et unique lot de munitions pour toutes vos armes.

Au combat (et ils furent nombreux), votre Winchester 1873 gérait vos petits soucis d’indiens et outlaws de 150 yards au bout portant et, là, vos revolvers prenaient le relai. Cette complémentarité explique en grande partie que cette arme va « conquérir l’Ouest »…

Bien sûr, elle sera améliorée. Surtout par Saint Browning. Mais elle marque encore aujourd’hui une sorte de summum et de symbole du levier sous garde. 

Cela explique, qu’en dépit de l’apparition des excellentes et encore améliorées Winchester 1876, 1886, 1892, 1894, et 1895, elle sera produite de façon continue de 1873 à… 1923 (!) et à plus de 700.000 exemplaires. Un standard.

Elle est aujourd’hui copiée par divers fabricants italiens tant le mythe perdure. La marque Winchester l’a remise à son catalogue en 2013 mais elle n’est plus « made in the USA » mais Made in Japan par Miroku (reproductions de 1873 et 1894 – d’excellentes qualité d’ailleurs).

L’arme a été produite en de nombreux calibres mais pour l’essentiel en 44-40WCF, en 38-40 WCF et en 32-20 WCF. Elle n’a en revanche jamais chambré le calibre militaire de l’époque, le 45 colt (seules des reproductions modernes existent en ce calibre).

La 1873 fut déclinée en trois versions par Winchester:

  • un mousqueton de selle (ou carabine de cavalerie) ou encore « Carbine » en anglais avec un canon de 51cm et son emblématique anneau de selle,
  • le « classique » fusil de chasse ou « rifle », doté d’un canon de 61cm
  • L’anecdotique (5% de la production) et rarissime fusil de guerre ou « musket » avec un long canon de 76 cm et sa baïonnette, destinée aux contrats militaires que Winchester s’est néanmoins toujours vu refusé par le Gouvernement des États-Unis.

Au XIXième siècle et jusqu’au début du XXième, c’est bien le fusil de chasse ou « Rifle » en 61 cm /24 pouces qui était l’arme 1873 la plus demandée par les fermiers et les colons et le plus grand succès commercial de la marque.

La carabine en 51 cm, moins encombrante et de moindre portée, est plutôt l’arme des « itinérants ». 

Celle des cowboys errant des mois sur les pistes et qui doivent repousser autant bêtes sauvages que voleurs de bétail ou indiens. Mais c’est aussi l’arme des voyous perpétuellement en cavale à la Dalton affrontant des troupes de rangers équipés de fusil Colt à canon lisse et chevrotines et devant compenser leur faible nombre par la répétition de leur Winchester. 

Ce sera aussi l’arme des outlaws les plus célèbres.

Bref, la carabine de selle 1873, c’est l’arme d’une population certes moins nombreuse que les fermiers chasseurs et leurs fusils longs mais sensiblement plus « mobile » et surtout beaucoup plus « agitée » dans un pays sans autre loi que celle du plus fort et du plus rapide.

Qu’on songe à John Wesley Hardin qui a tué officiellement 42 personnes ou à Wild Bill Hickok qui en a tué peut-être une centaine. Des types à vous faire passer Billy the Kid et ses 21 victimes pour un enfant de cœur… Tous ont manié la 1873. La culture américaine en a gardé quelque chose jusqu’à nos jours.

C’est bien dans cet Ouest très très sauvage que notre carabine 1873 de ce jour va devenir un mythe historique.

Quelle arme peut dire quelle fut tour à tour l’arme de Billy the Kid et de Calamity Jane, de Belle Starr et des frères Dalton, de Annie Oakley et de Charlie Siringo, de Butch Cassidy et de Geronimo pour ne parler que des individus.

Elle a aussi servi les shériffs les plus célèbres de l’Ouest sauvage, les briseurs de gréves de l’agence Pinkerton, ainsi que les fameux Texas Rangers, et, on le sait moins, les tribus peaux-rouges alimentées en armes par de nombreux trafiquants.

Enfin unis, Sioux, Cheyennes et Arapahos l’utilisèrent pour coller une magistrale raclée au 7° de Cavalerie du Général Custer à Little Big Horn les 25 et 26 juin 1876.

Des études archéologiques ont montré que les fiers guerriers commandés par Crazy Horse avaient sans doute une dizaine de winchesters 1873 à leur disposition au moment de l’assaut quand les cavaliers de Custer ne possédaient que leur Spingflied 1873 à piston monocoup et leur colt SAA 1873.

Le paradoxe demeure que notre excellente 1873 ne fut jamais adoptée par l’Armée des États-Unis officiellement pour une histoire de portée du calibre 44-40 dans une armée qui voulaient surtout des « sharp shooters » de longue distance. 

Mais cela ne l’a pas empêchée d’atteindre un statut d’arme iconique que peu d’armes d’épaule ont atteint.

 

Notre carabine Winchester 1873 en canon de 20 pouces (51cm) est donc moins courante que le fusil/rifle déjà très recherché, 100% d’époque et une arme mythique de l’Histoire.

Mais elle est aussi rare par son état exceptionnel.

Son numéro de série la situe dans les premières produites en 1885. C’est un « 3° modèle » les premières avec le cache poussière forgé en sommet de boitier et quelques améliorations de vis. 

Sur les 1873 des débuts de production un « A » apparut en suite du numéro de série vers 1882 peut-être pour signaler un modèle modifié. Le « B » apparu en 1884 peut être pour marquer le 3° modèle. Sur environ 15.000 armes de 1885 on peut toutefois aussi trouver un « A ». En réalité plus personne ne sait avec certitude à quoi ont correspondu ces lettres suffixes… Le « B » devint donc plus ou moins standard dès 1884 jusqu’à la fin de production.

Chambrée dans l’ultra-classique 44 WCF, elle est dans un état très rare pour les Winchester de cet âge. 140 ans…

Elle est bien dans son bronzage bleu gris d’origine typique de ces Winchester du dernier quart de siècle. Il a grisé surtout en boitier mais il est présent à 99 %. Quasiment aucune griffure ou marque. Aucune oxydation ou peau d’orange.

L’arme n’a jamais été nettoyée d’une oxydation ancienne non plus. Même le petit « G » de l’inspecteur de fabrication en dessous de boitier est encore lisible. C’est exceptionnel.

Les marquages de fabricant, n° de série, brevet, etc sont tous bien présents et absolument lisibles et tes partout y compris le marquage de calibre « 44 Cal. » dans la partie bronze sous le boitier. Il est souvent très atténué sur d’autres exemplaires du fait de la nature du métal. Ici, il est parfait.

A noter la belle mention « King’s improvment patented » qui salue la mise en œuvre sur l’arme de la toute nouvelle portière King de chargement des munitions. Tout est joliment lisible et encore net, témoignage de l’excellente conservation de l’arme et de l’absence d’oxydation même passée puis « nettoyée »… Arme 100% jus.

Les bois sont aussi dans un état quasi parfait avec son poncé huilé 100% d’origine et de très rares traces de manipulation. Elle est vraiment très belle et les quelques marques de manipulations sont tr-ès exagérées par mes gros plans comme d’habitude. Mais au moins vous savez tout.

Vis toutes d’origine aussi en parfait état. Toutes les pièces sont d’origine sauf le bouchon de magasin lors de la réduction à 10 coups au lieu de 12 (sous l’ancienne législation C) mais qui est très propre et doit juste être noirci. Arme splendide.

Fonctionnement mécanique impeccable – aucun jeu tant au maniement du levier sous garde qu’à la percussion. Ressorts très fermes et tenue de cran irréprochable.

Magnifique bloc d’élévation conforme – du béton. Rien à voir avec les reproductions modernes ! Le cache poussière fonctionne parfaitement aussi.

Canon exceptionnel: miroir avec de splendides rayures bien nettes et aucune oxydation rarement vues sur une arme de 140 ans. Ses anciens propriétaires en ont pris grand soin.

Un magnifique exemplaire très difficilement « up-gradable » par un autre comme disent les américains.

Le dispositif de logement de crosse en plaque de couche (pour un nécessaire de nettoyage et souvent, à l’époque, quelques cartouches de secours) est également parfaitement fonctionnel. Anneau de selle conforme et d’origine évidement.

État global quasi muséal donc.

Rendez vous compte : 1885. Elle a pu être au massacre de Wounded Knee en 1890, à la poursuite de Geronimo en 1886, elle a peut-être croisé de leur vivant des personnages comme Bufallo Bill, Bell Star ou Butch Cassidy…

Ces exemplaires de 1873 précoces, de la période de la conquête, sont rares sous nos climats. Et celle-là est dans un état d’exception.

Bref une Winchester 1873 hautement désirable, dans une configuration Carabine plus rare que le fusil (80% des déjà rares exemplaires de 1873 qui sont en en vente sont des « rifles » fusil en 61cm de canon souvent présentés comme des « carabines Winchester » ce qu’ils ne sont pas) et dans un état exceptionnel. Une très belle arme pour un collectionneur très exigeant d’armes à levier sous garde ou d’américana.

Pièce exceptionnelle à tous points de vues. Une pièce Flingus de chez Flingus.

Et, en plus, le port est offert et elle est en D depuis le 1er novembre 2023 !

 

 

Arme de catégorie D au CSI:  CNI ou passeport en cours de validité obligatoire

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