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Exceptionnelle carabine Winchester modèle 1885 – Cal. 45-90 – 1er brevet de Browning ! – Spéciale bisons et TLD ! – Arme de 1899 – Très rare modèle High Wall Rond Receiver – Très beaux bois noyer américain – Boîtier bronzé d’origine TBE – Mécanique parfaite – Canon lourd Miroir – Bons marquages – Hausse Buck Horn forgée et dioptre Marble – TBE+

Armes longues de Catégorie D

Splendide Winchester modèle 1885 – Calibre 45-90WCF – Spéciale bisons et King of one mile ! – Arme de 1899 basée sur le premier brevet de John M. Browning – Très rare carcasse High Wall Round Receiver – Fabrication très soignée – 125 ans et presque pas une ride – Très beaux bois – Un des tous premiers boîtiers bronzés – Mécanique parfaite – Canon lourd miroir avec des rayures superbes – Chambre très propre – Beaux marquages avec légère oxydation et un manque de bronzage en sommet de canon – Hausse buck horn forgée et dioptre Marble – Arme mythique et exceptionnelle sur le marché ! TBE +

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Description

La marque Winchester est évidement réputée dans le monde entier pour ses carabines à répétition à levier sous garde. Fut une époque, c’était même marqué dans sa raison sociale.

Or, en matière d’armes de précision, la firme de New Heaven ne se débrouilla pas mal non plus. C’est même avec l’une d’entre qu’elle va passer progressivement du succès commercial à la légende.

Normal. John Moses Browning était une fois de plus sur le coup… Et pour son 1er brevet à lui. Un gamin de 24 ans.

On ne voit que des photos de Browning âgé. On a du mal à se le représenter jeune. Mais je vous jure que même Saint Browning a été jeune un jour. Pour preuve, je vous est déniché une photos de lui à 18 ans en 1873.

Première arme fabriquée à 13 ans, premier brevet déposé à 24 ans, 128 brevets sur sa carrière sur une centaines d’armes et 7 calibres de munitions devenus des standards – du 6.35 à la 12.7 BMG, collaboration réussie avec Winchester, Colt, Remington, Savage, Stevens, et la Fabrique Nationale de Herstal, des armes et des munitions, autant civiles que militaires, de tous systèmes, du mono coup à l’automatique, devenues mythiques. Voilà résumée sa carrière en quelques mots.

Sa carabine 1885 est aussi la preuve que la perfection peut parfois venir quasiment dès le premier jet.

Elle est un moment très important dans sa carrière, marquant le début d’une collaboration des plus fructueuses. Durant 19 ans, de 1883 à 1902, c’est avec Winchester qu’il aura dessiné quelques uns de ses modèles les plus emblématiques. Dont celui de notre arme de ce jour.

La « Winchester Single Shot Sporting Rifle », notre 1885, est en réalité née sur la table à dessin du maître en 1878, à Ogden ville située au pied des montagnes de l’Utah. Le maitre avait alors 23 ans.

Notre mormon préféré produisait cette arme pour son compte, tout seul dans son coin, dans son petit atelier, aidé de cinq de ses sept frères directs. Et des frères et des sœurs il en avait.

Son père, Jonathan (1805-1879), accessoirement armurier et inventeur lui-même, en vrai mormon, avait eu une descendance de 22 enfants avec trois épouses. Notre John M. Browning sera lui-même père de 10 enfants (avec une seule épouse, lui). Un autre monde Ogden vers 1850 (John Moses est né en 1855 et mort en 1926).

La fratrie déposera le brevet N°220 271 le 7 octobre 1879 et produira plus de ces 600 armes directement depuis leur atelier sous leur propre marque. L’arme tient beaucoup de la Sharps dans ses lignes et s’adresse principalement aux chasseurs et aux compétiteurs. Les exemplaires de ces 600 premières armes sont aujourd’hui rarissimes.

Pourquoi cette arme là à ce moment là ?

L’arme tombait à la fin d’une mode fondatrice du tir sportif moderne à longue distance: celui de la chasse au bison (de son nom scientifique Bison bison, reparti en deux sous espèces : les Bisons des prairies Bison bison bison et les Bisons des bois Bison bison athabascae. Ils n’ont rien à voir avec notre Bos bonasus, le bison d’Europe). Peut-être 70 millions d’individus à l’arrivée des premiers colons.

Les pauvres bêtes furent abattues en masse pour leur fourrure. Il faut dire que dans les années 1850 celle-ci valait 30$. Le triple du salaire mensuel d’un cowboy qualifié. Les mauvaises conditions de stockage des peaux, faisaient que très peu atteignaient la côte Est. Ernest T. Seton a calculé que pour une peau arrivée, il y avait 22 bisons abattus. En l’espace de cinq ans, entre 1870 et 1875 pas moins de douze millions de bêtes avaient été abattues. Leur peau ne valait plus qu’un dollar et vingt cinq cents…moins que les balles qui lui crevaient le derme!

En 1882, le cours de la peau était remonté à 5$. Il faut dire que l’on avait ramené seulement 200 000 peaux dans tout le pays. L’année suivante, 50 000 peaux seulement. Elles valaient désormais à nouveau trente dollar pièce…Ceci n’aida pas vraiment les derniers survivants.

En 1884, on ne ramena plus que 300 peaux, elles montèrent à 75$ soit le prix de cinq carabines Winchester qui leur tiraient déjà dessus occasionnellement.

Cet ancêtre « grand style » du Varmitting (la chasse aux petits nuisibles) ne préoccupa vraiment jamais l’opinion publique. Elle faisait en plus les affaires de l’armée car moins de bisons signifiait surtout moins d’indiens, donc moins de risques pour les colons, et moins de boulot parfois dangereux et surtout fatiguant pour les militaires. La boucle était bouclée. Ulysse Grant mit personnellement son veto en 1874 à une Loi proposée par le Congrès pour éviter sa sur-chasse. Exactement pour cette raison.

Il ne restait plus que 550 buffalos environ en 1889. On leur tirait encore dessus à l’occasion quand on les trouvait. La renaissance relative des troupeaux de bisons se fera à partir de quelques individus préservés par des fermiers se rendant compte qu’on perdait quelque chose quand même.

En revanche, cette chasse folle au bison avait eu aussi comme conséquence de développer une culture de pointe américaine dans le Tir Longue Distance. Les carabine genre Sharps ne sont pas nées là-bas par hasard. Et il en faut des carabines mono-coups à poudre noire pour en finir avec 70 millions de bêtes. Il y avait un marché.

A la fin de la guerre de Sécession, la concurrence était rude entre les grandes manufactures américaines. Une fois les commandes militaires terminées, sources d’innombrables faillites, et le violent écrémage anti-concurrentiel effectué par le redoutable Oliver Winchester, il ne restait plus beaucoup de compagnies pour prendre leur part du gâteau.

Le problème de Winchester était qu’il ne parvenait pas à faire adopter ses excellentes armes à répétition aux militaires qui, eux, préféraient de se contenter de fusils à un coup certes, mais précis et bien plus puissants que les calibres alors utilisés sur les leviers de sous garde. Les militaires unionistes américains, à l’exemple de Berdan, avaient eux aussi pratiqué un tir longue distance de qualité sur leurs ennemis sudistes et en concluaient que mieux valait peu de soldats, tous excellents tireurs, que des piou-piou consommateurs de munitions dans des armes à répétition. Et rien ne les faisait changer d’avis.

Autre source d’énervement pour Winchester, un des rares survivant de la crise armurière post-guerre de Sécession, Remington faisait fortune en fournissant littéralement à la terre entière ses excellents Rolling Block mono-coup qui se permettaient en plus d’équiper le tir sportif de compétition naissant en pays anglo-saxons et de figurer toujours en bonnes places sur les podiums des concours.

Ce sport de tir à la mode qui montait était le tir longue distance de gros calibre ou « Match Shooting », enfant de nos chasses aux gros gibier, dont la première compétition avait eu lieu à Creedmoor, état de New York le 21 juin 1872. Ces épreuves restèrent extrêmement populaire aux USA jusque 1917 et leur statut sportif/social peut être comparé à celui du Golf aujourd’hui.

D’autres plus petits, Sharps ou Stevens par exemple, en rajoutaient une couche. Les derniers chasseurs de bisons ne voulaient rien entendre aux Winchester et ne voulaient que des Sharps. Il fallait une arme, si possible novatrice et de qualité, pour entrer sur ce marché.

Oliver Winchester en mangeait son chapeau, ou plutôt sa chemise, lui qui avait commencé dans sa vie de businessman en en vendant des chemises, et, de dépit, se lançait dans la politique pour devenir Grand Électeur et vice-gouverneur du Connecticut.

Mort en 1880, sa chère et tendre veuve, étant trop occupée à bâtir une maison folle de 160 pièces et par le spiritisme pour accueillir les âmes des victimes des carabines produites par son défunt mari, la société était au quotidien dirigée par son vice président Thomas G.Bennett.

Il se trouve que, par un hasard total, un employé de chez Winchester avait acheté une des carabines produites artisanalement par les frères Browning et il a eu la bonne idée de la montrer à son patron. On est en en 1883. Bennett sent quelque chose.  Il se rendra donc personnellement à Ogden (6 jour de train depuis le Connecticut) pour rencontrer John M.Browning au prétexte qu’il enfreignait un brevet de 1880 pour un outil de rechargement détenu par Winchester.

Bennett espèrerait sans doute en secret ne pas repartir les mains vides pour résoudre son problème et peut-être, déjà, repartir avec l’inventeur de la chose dans ses valises.

Il repartira effectivement les poches vidées de 8000$ (somme très significative) pour le brevet de la carabine mono-coup de Browning assorti de la promesse de celui-ci de venir l’améliorer dans les ateliers Winchester à New Haven.

Il y jugea aussi de la maquette en bois de ce qui allait devenir le modèle Winchester 1886 à répétition, patriarche de toutes les stars à levier sous garde à venir de la marque. On peut d’une certaine façon considérer son principe de bloc ascendant comme la base de tous ses modèles suivants.

Bennett ne le savait pas encore mais il venait de faire entrer Winchester dans le XXe siècle et de faire briller son nom pour l’éternité dans la légende.

Pendant plusieurs mois, la première arme de Browning fut retravaillée aboutissant à un brevet le 9 janvier 1884. Le système de bloc ascendant est perfectionné notamment en enrayant la détente tant que la culasse n’est pas remontée entièrement. Le percuteur en devient rétractable.

Le futur modèle 1885 était considéré comme l’arme la plus sûre de son temps avec la culasse la plus solide du marché. Elle sera d’ailleurs utilisée ensuite par Winchester pour y tester toutes leurs nouvelles créations de cartouches. On appréciait également son accès direct au canon qui en facilitait le nettoyage.

Dès ses débuts, on voit que J.M.Browning pense aux petits détails pratiques qui font que l’utilisateur peut avoir une totale confiance dans son arme, trait de conception que l’on retrouvera jusque sur son fameux Colt 1911.

Modèle de tir de précision et de chasse au gros, le modèle 1885 sera fabriqué, pendant quarante cinq ans, jusqu’en 1920 à 139 000 exemplaires au total.

Le Major Ned H. Roberts, sans doute l’expert-publiciste les plus influent du monde des armes au tournant du siècle et fondateur de la revue The American Rifleman, qualifiera le modèle 1885 Single Shot de Browning comme « le plus fiable, le plus solide, et au final le meilleur fusil mono coup jamais produit. »

 

Notre arme de ce jour est une rare Carabine Winchester modèle 1885 High wall. On la voit bien plus rarement que la Low wall.

La distinction est dans la hauteur des arrières de boitier. On rencontre en effet cette arme avec trois variantes de boîtiers (et on pas deux comme écrit souvent) : la Low Wall (pour les petits calibres), la Standard High Wall (pour les gros calibres) et sa variante Thick High Wall qui est une High Wall avec ds paris de boitier de deux tiers plus épaisses que sur la low wall (!). On en trouve surtout en début de série des Thick High Wall (mais pas seulement). Les parois de boitier ont été de toute évidence allégées en « Standard » pour gagner un peu en poids sur l’arme. Mais on trouve aussi quelques boitiers Thick Wall en cours de production (mais pas sur les plus tardifs quand même). Sans doute des commandes spéciales.

Chacune de ces variantes se verra munie de dessus de carcasse rond ou octogonal. La notre est du modèle Standard High wall à dessus rond.

Ce modèle 1885 était proposé dans les mêmes dispositions que les carabines à répétition de la marque, allant de la saddle carbine au musket.  Canon rond ou octogonal au choix de l’acquéreur. S’y ajoutaient évidemment des exclusivités à canon extra-lourd.

L’arme évoluera peu. Vers 1900, les boîtiers ne seront plus proposés qu’en finition bronzée. Huit ans plus tard un ressort hélicoïdal remplace celui à lames. C’est tout.

On retrouvera cinquante (!) calibres officiels pour la 1885, du 22 short au 50-110. C’est l’arme de Winchester qui a été produite dans le plus de calibres différents.

La notre est en calibre 45-90 WCF, de la « Grossen Artillerie » comme ont aurait dit dans les armées du Kaiser vers 1916. On va y revenir.

Leur réputation de solidité est telle que ces armes sont souvent tirées à la poudre sans fumée et que leurs boîtiers sont fréquemment remontés sur des canons modernes dans les calibres les plus exotiques !

Winchester ne reprendra jamais leur fabrication lors d’éditions anniversaires. Ce sera Miroku qui s’en chargera a partir de 2005. On retrouve également une petite production chez Pedersoli. La notre est une pure et belle Winch de chez Winch d’époque évidemment.

Maître Flingus, un peu fatigué ces temps-ci, avoue humblement avoir réalisé la portée de sa découverte en ayant l’arme et surtout son canon lourd en main. Un graal d’armurier.

Sa plaque de couche en très bon acier américain est en excellent état. Elle reprend la forme des vieux Kentucky de la frontière. Un must pour une arme d’un tel usage et du grand ouest. Venez donc au concours en veste de peau à franges un raton laveur occis sur la tête en guise de capuchon !

Le grain de son bois noyer est bien rouge et bien serré. Les quelques petites griffures éparses et quelques coups d’usage, peut-être causées par le combat contre un ours qui ne digérait pas bien les 400 grains de sa balle de 45-90 WCF, n’empêchent pas de qualifier les bois de très bons à excellents. Aucun manque – aucune fissure (l’ours ne devait pas avoir la tête si dure que cela!). Très beaux vraiment.

Tous les défauts sont bien évidemment comme d’habitude très exagérés par mes gros plans mais tout est montré comme d’habitude aussi. C’est bien pour cela que je me casse le train à mettre souvent 30 ou 40 photos quand on est honoré ailleurs quand on en a quatre ou cinq…

Les ajustages bois métal sont ceux, excellents, produits par les ouvriers de ces temps de maîtrise professionnelle et de travail bien fait.

La longuesse est également en noyer rouge américain et en très bel état avec très peu de marques d’usage. Elle se termine par un très élégant petit insert en ébène. La classe dans les détails. Elle permet surtout une tenue très agréable et bien équilibrée de l’arme.

La queue de culasse est marquée 88069 ce qui correspond à une production de la seconde moitié de 1899. Cette demoiselle ne fait vraiment pas ses 125 ans…

Toutes les vis ont leur tête en très bel état.

L’action du levier est rigide et doux à la fois. On en arrive à être encore plus fluide que sur une Winchester à répétition d’avant 1964. Une souplesse prodigieuse qui en dit long sur les capacités d’ajustage des artisans qui ont créé cette merveille. Il est particulièrement jouissif de voir bouger une telle masse de métal aussi gracilement.

La détente est particulièrement nette, directe, d’une course très courte, sans bossette et sans pour autant être trop légère au final. Un top du top dans son style.

La carcasse est comme dit plus haut une High Wall Standard au dessus rond. Il s’agit des toutes premières bronzées d’un beau noir de geai.

Le tonnerre est bien marqué 45-90 WCF.  Chose amusante (et typique des mœurs de concurrence de l’époque) quand on sait que ce calibre fut développé pour les Sharps. 45-90 Sharps est bien son appellation commune. Mais on se serait lavé la bouche dix fois au savon noir plutôt que de prononcer en public ou d’écrire dans un catalogue le nom du concurrent honni ! Pouah! Pouah!

Cette torpille propulsait une ogive de 26 grammes (!) en plomb nu à 400m/s en sortie de bouche grâce à 5.8g de poudre noire. Autant dire qu’à côté, le 45-70 c’était presque un calibre pour le lapin. Winchester ré-utilisera souvent ce calibre dans sa 1886 dessinée aux grandes chasses.

L’ensemble conserve son très beau bronzage Winchester d’origine en coté et dessous. Seul le dessus de canon est partiellement dé-bronzé autour des marquages où celui ci s’est estompé à cause d’un nettoyage intempestif et localisé d’une ancienne oxydation (la seule) en sommet de canon.

C’est son seul petit défaut (aux critères toujours sévères de Maître Flingus). Les inscriptions sont néanmoins fort belles et 100% lisibles. Autrement que cela, aucune oxydation ou peau d’orange sur le reste de l’arme. 

Je qualifie donc les fers de très beaux au global nonobstant ce petit défaut. On peut largement rebronzer cela tant le polissage est premium mais je le déconseille. Elle a énormément de cachet et son état global est vraiment très bon.

Ce canon, un vrai canon lourd, présente surtout de magnifiques rayures comme au 1er jour de sa vie et il est d’une propreté étincelante. Impensable sur un canon aussi ancien. Et pourtant. Une splendeur ! Il n’a jamais été abimé par des résidus de poudre noire. Elle en a eu de la chance notre Demoiselle en 125 ans !

La hausse est de type « buck horn » taillée dans une seule pièce d’acier, des cornes au montage queue d’aronde. Elle est complétée par un œilleton Marble qui permet de compléter avantageusement la hausse de type buck horn à des distances supérieures à 300m. Le guidon en acier est en demie lune et monté sur queue d’aronde également. Toutes pièces d’époque.

Par sa rareté et son état, une pièce superbe !

Arme exceptionnellement soignée, cet exemplaire du modèle 1885 démontre que Winchester n’a pas conquit l’Ouest et les cœurs qu’avec ses carabines à répétition. Véritable championne du tir longue distance mais également fille de la chasse au plus mythique des grands gibiers américains, elle est devenue un mythe armurier et une ode au talent de John Moses Browning.

Sa fabrication et sa conception en font tout autant un magnifique objet de collection de grande rareté surtout dans cette configuration high Wall à canon lourd qu’un carabine à faire revivre juste pour le bonheur de vivre sa passion. Une pièce d’exception pour un collectionneur ou collectionneur-tireur des plus exigeants. Et c’est du D.

 

Arme de catégorie D au CSI : pièce d’identité, CNI ou passeport,  en cours de validité obligatoire

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