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 Splendide Carabine Springfield Trapdoor Model 1873 – Officer Model – Fabrication US par Harrington &Richardson – Arme de 1973 – Calibre 45-70 Gvt – L’arme de Little Big Horn – Finitions superbes – Bois de première qualité et pièces métalliques jaspées – Mécanique au top – Canon 22 pouces neuf – TBE+++

Armes Longues de catégorie C

Carabine de cavalerie Springfield 1873 Trapdoor dite « Officer Model » – Splendide et rare fabrication Harrington & Richardson des années 1970 – Arme magnifique qui n’a jamais mangé de spaghetti ! –  Adaptation du fusil d’infanterie au service dans les grandes plaines de l’Ouest encore sauvage – Même cartouche de 45-70 mais avec 27 cm de canon en moins – Très maniable – Crosse dans un superbe noyer au grain serré – Toutes garnitures jaspées – Bronzage noir glacé à 100% – Mécanique soignée aux jolis cliquetis –  hausse à échelle – Indispensable pour tout séjour touristique en tenue d’officier sur la frontière en zone indienne – TBE++

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Description

Au delà du commandement, l’art de l’officier est aussi celui de la distinction.

Que ce soit par un uniforme sur mesure, un sabre provenant d’un grand fourbisseur, ou au cas présent une carabine fabriquée à l’origine, certes en arsenal militaire, mais suivant le goût le plus exquis, la haute et cruelle solitude du Commandement se doit de se distinguer.

Il n’y avait, par exemple, rien de choquant, à ce que Théodore Roosevelt commande au Brigadier-Général Crozier, Directeur de l’Arsenal de Springfield, et patron de l’Ordnance, un fusil réglementaire modèle 1903 mais fabriqué dans la même configuration que sa Winchester préférée. Celle qu’il avait maniée à Cuba comme Chef de Corps des Rough Riders.

Après tout, il était désormais le Président des États-Unis, et chef de leurs armées. Rien de farfelu à signifier ainsi sa mission à lui, unique, par une arme unique.

C’est en hommage à ce type d’armes qu’Harrington & Richardson nous proposa, dans les années 1970, cette superbe reproduction d’une variante rare du Trapdoor Model 1873.

Comme de nombreuses histoires de manufactures d’armes, celle de Gilbert H.Harrington et WilliamA. Richardson commença en 1875 dans le Massachusetts. Non pas à côté de mes chaussettes comme le chantait la belle Isabelle, mais entre Springfield, siège de Smith & Wesson et Boston, siège de Spencer et accessoirement berceau de la Constitution.

Mais, à travers de nombreuses péripéties industrielles et autres, Harrington et Richardson mettra du temps à sortir des armes civiles pour conquérir le monde militaire. A part des lances-fusées en 14-18, tout ne démarra en fait qu’avec le grand conflit mondial de 41-45 pour eux.

Si Iver and Johnson, son rival local (à Fitchburg toujours Massachusetts) de toujours, produira pendant la guerre de belles carabines USM1, Harrington produira quant à lui les excellents pistolets mitrailleurs Reising en calibre 45. Ce n’est que plus tard, durant la guerre de Corée, qu’Harrington s’attaquera ni plus ni moins qu’à la fabrication de près de 430 000 fusils M1 Garand pour l’Army

Ces bonnes relations enfin nouées avec l’Ordnance fera aussi de H&R, le principal fabriquant de son successeur le M14, avec pas moins de 500.000 exemplaires quand même.

H&R sera même à l’origine des carabines de survie M4 mixtes, à deux canons, le premier en 410, le second en 22 Hornet. De nombreux pilotes d’hélicoptères au Vietnam durent leur vie à cette drôle de petite arme.

Pas mal pour une marque qui cinquante ans plus tôt ne produisait que de petits revolvers à 5 dollar, dans l’ombre des grands fabricants…

Quoi de plus normal dès lors, pour célébrer son mariage avec l’armée américaine, que de se lancer, à l’ère de la mode des répliques westerns, dans la re fabrication du fusil des tuniques bleues : le Springfield Trapdoor 1873.

Icône des guerres indiennes, seule alliée des compagnons du Général Custer, les carabines Trapdoor ont une longue histoire qui commence dès 1865, car on avait enfin compris après quatre ans de conflit dantesque que seul le chargement par la culasse était l’avenir. Il ne manquait plus que de franchir le pas.

En avril 1865, au sortir de la guerre de Sécession, l’armée des États-Unis comprenait plus d’un million et demi de combattants, dix fois plus nombreux que ceux qui débarquèrent cinquante deux ans plus tard en clamant : «Lafayette nous voilà ! »

Or, dès 1866, les caisses du gouvernement sont vides et seuls 57.000 hommes sont encore sous les drapeaux. Dix ans plus tard, leur nombre diminuera encore de moitié…

Vétérans blanchis sous le harnais de l’uniforme bleu, anciens rebelles à qui il ne restait plus rien, et mauvais garçons en tous genres, voilà de quoi se composait l’armée de métier des USA dans l’après guerre civile.

Déjà Washington préférait déjà avoir peu d’hommes, bien formés, aussi fins tireurs que bons cavaliers, plutôt que beaucoup de peu instruits. Ce principe perdura.

Cette doctrine, et les budget réduits à peau de chagrin qui allaient avec et plaisaient tant au Congrès, firent que la meilleure solution pour l’état-major fut de doter ses troupes de fusils puissants, permettant une excellente précision individuelle à grande distance. Après tout, 80 ans plus tard, le rapport d’adoption du M14 redira lui aussi que chaque américain était un tireur d’élite qui sommeillait.

Si le célèbre modèle 1873 d’infanterie, avec ses 1 mètre 30 et canon de 83cm , déjà chambré dans le puissant calibre 45/70 Governement (à 4,5 grammes de poudre noire!) donnait entièrement satisfaction sur l’indien de taille moyenne (pour le bison, Maitre Flingus vous recommande plutôt la Sharps Shiloh comme celle-ci) on réduisit, pour la carabine et son canon de 56 cm, le chargement de la munition de 15 grains (soit une charge de 3,56g) et sans pour autant modifier la longueur de l’étui.

Cela permettait en plus, le cas échéant, d’emprunter quand même quelques cartouches au copain d’à côté déjà tombé. Et cela aurait pu servir  le soir du 25 juin 1876 près de la rivière de Little Big Horn si les choses avait prisle cours prévu… Mais le principe fondamental de la Guerre est que les choses ne se passent justement jamais comme prévu.

Si l’on retient facilement le nom de cette bataille et du chef du 7ème régiment de cavalerie, on oublie souvent son contexte.

La Grande guerre des Sioux, opposa l’armée américaine à une extraordinaire coalition de pas moins de huit nations indiennes. La cause en fut l’ouverture à la colonisation par gouvernement américain du territoire des Black Hills dans le Dakota. Par un heureux hasard, on venait d’y découvrir de l’or…

Le souci était toutefois que la région, en plus d’être un territoire indien « éternel » reconnu par traité de Fort Laramie de 1868, était aussi une terre sacrée.

Après plusieurs tentatives « pacifiques » pour amener les peaux-rouges à une position plus conciliante, à grands coups de billets verts et de cadeaux, on envoya l’armée, enfin ravie de servir à nouveau à quelque chose.

Mais la campagne se perdait en vaines poursuites au lieu de tourner à l’affrontement dans une bataille tant recherchée par l’Armée US. L’armée Us n’est pas réputée pour sa capacité à gérer l’asymétrie et, on va voir que cela ne date pas d’hier ou du Vietnam ou de l’Afghanistan.

Un avertissement avait pourtant déjà sonné à Rosebud Creek le 17 juin 1876, dix jours avant la plus célèbre bataille de l’Ouest.

La colonne principale de l’expédition soit un peu plus de 1300 hommes (15 escouades de cavalerie et 5 d’infanterie) avec à leur tête le général Crook (littéralement « Escroc » mais que les indiens plus bienveillants surnommaient, eux, Natnan Lupan, soit « Chef Loup »), guidée par 300 éclaireurs Crows et Shoshones, avait établi son camps dans la vallée éponyme .

Le réveil à l’aube du 17 juin fut très violent pour ces hommes épuisés par de longues marches forcées à la poursuite de guerriers insaisissables. A un contre deux, les 750 guerriers Lakotas et Cheyennes n’avaient plus qu’à les cueillir dans un camp non fortifié, début d’une longues suites d’imprudence qui s’avèreront fatales.

Durant le combat, un cheyenne fut encerclé et était sur le point de se faire tuer quand un cavalier cheyenne audacieux arriva et le sauva, en le prenant en croupe pour le conduire à l’écart du champ de bataille. Ce cavalier était sa sœur.

Et depuis, les Cheyennes appellent la bataille de Rosebud Creek : Le-Combat-Où-La-Sœur-Sauva-Le-Frère.

Attaquant par vagues successives sous le commandement du Chef Crazy Horse, les indiens obligèrent les forces américaines à déguerpir laissant une trentaine de morts sur le terrain et en abandonnant une grande quantité de matériel.

La colonne Crook ne put donc jamais faire jonction pour renforcer Custer comme prévu et la nouvelle de la débandade des tuniques bleues galvanisa les tribus indiennes.

Inconscient du danger, Custer marcha isolé et à l’aveugle avec seulement cinq compagnies de cavalerie (environ 630 hommes). Lui qui croyait attaquer le plus grand camp indiens de la région, avait décider de diviser ses forces pour mieux l’encercler. Il était en fait devenu une proie de choix et ne s’attendait pas à devoir lutter à un contre trois contre des indiens qui eux avaient fait leur jonction.

C’est le major Reno, subordonné de Custer, qui attaque le premier le camps sur une promesse de soutien de Custer mais sans réaliser l’importance des effectifs ennemis ni savoir où sont exactement Custer et Crook. 

Reno réalise immédiatement que les Sioux et les Cheyennes du Nord ont réuni des effectifs biens supérieurs à leurs estimation et ne s’enfuient pas. La défense du camp indien est si virulente qu’elle force les subordonnés de Custer à se replier indépendamment, dans le désordre, et sans couvrir leurs arrières. 

Custer souhaitant prêter main forte au Major Reno, avec qui il n’était pas en très bons termes, avance vers le camps indien enfin localisé. Il tombe alors sur le gros des indiens désormais réunis. 

Leur seul espoir ne pouvait venir que de Reno, mais celui-ci avait déjà quitté le champ de bataille repoussés par les indiens et aux prises avec un groupe de poursuivants à travers bois. Il laissera plus d’une trentaine d’hommes au tapis dans  l’aventure et un paquet de blessés. 

Finalement les 268 hommes de Custer se retrouvèrent donc seuls, sans aucun espoir de soutien, et pris à parti par le gros des forces indiennes avec 1500 guerriers galvanisés par leurs succès. Dès lors, la messe est dite.

Pris à découvert, les cavaliers mettent pied à terre. Sans armes de soutien collectif (on avait laissé les mitrailleuses Gatling au camp de base, car trop lourdes), les chariots de ravitaillement déjà loin, face à au moins deux cent fusils à répétition venant tout droit des surplus de l’armée, et une douzaine au moins de Winchester 1873,  nos braves cavaliers du 7° n’eurent plus d’autre choix que de défendre chèrement leur peau.

Lorsque la nuit tomba, plus un seul coup de feu ne retentissait. Il n’y eu pas de prisonniers. La colère de l’homme rouge envers le blanc était trop grande. Un grand nombre avait été scalpés, dévêtus et mutilés, sauf un, un grand, un blond comme les blés, le colonel Custer.

Signe de respect ou dégoût en vers le responsable de tant de morts dans le camp indien? La commission d’enquête et les historiens ne trancheront jamais.

Cette bataille fut un choc profond dans l’opinion publique américaine. 

Le 7° de cavalerie se vengera de façon assez honteuse lors du massacre des Sioux Lakota à Wounded Knee (300 civils, femmes et enfants inclus, massacrés). Quatorze ans plus tard.

On s’interrogea énormément sur l’équipement des soldats de Custer. Carabine de cavalerie Springfield Trapdoor Model 1873 et Colt modèles 1873, déjà la double dotation mais pas de sabre. Trop encombrant et peu adapté aux combats dans les grandes plaines, il n’aurait pas changé grand chose.

Chaque cavalier disposait d’une bandoulière de cent cartouches pour carabine Trapdoor 1873 plus vingt-quatre pour leur revolver. Provision au dessus de la moyenne des autres armées de l’époque.

En revanche, cette disposition entraînait la mauvaise habitude des hommes à sortir une petite quantité de cartouches en tas devant eux dès qu’ils tenaient une position et les laissant sur le terrain lorsqu’ils se déplaçaient.

On comprend mieux pourquoi très vite il y eu plus de cartouches neuves que de douilles tirées sur le sol…

Il est important de rappeler que nous étions au début des armes à chargement par cartouches métalliques. Les fusils, comme les munitions n’étaient pas forcément les plus adaptées.

On comptait sur les armes du système Trapdoor un incident de tir toutes les trois cent cartouches, le plus souvent c’est l’extraction faisait défaut. Problème vite résolu avec un bon coup de baguette, presque magique. Aux yeux des commissions, c’était très bien surtout en comparaison avec les armes à chargement par la bouche.

Sauf que nos cavaliers, regroupés en hâte sur une colline pour leur ultime combat, ne transportaient pas la fameuse baguette avec eux sur l’arme comme l’infanterie…

Mais vous comprenez désormais mieux l’intérêt de faire une reproduction de grande qualité de cette arme mythique de la conquête de l’Ouest et symbolique d’une bataille que le monde entier connait.

 

Nous voilà donc face à une splendide Carabine Springfield Trapdoor Model 1873 en « Officer Model » ou modèle officier.

Un modèle réglementaire définit par l’Ordnance à la demande d’officier souhaitant bénéficier d’une arme spécifique et définit par l’Ordnance comme « Officer Sporting Rifle » !

Oui cela a existé. Moins de 500 produites à Springfield, gravure comprise, entre 1875 et 1885. Elles n’étaient pas attribuées par l’Armée mais relevaient d’achat privé des officiers. Un peu à l’instar de nos magnifiques pistolets 1833 d’officiers. 

Et comme pour eux, il y a eu nombre de variantes de détails en fonction des désirs particuliers de chacun de ses (plus ou moins riches) commanditaires. En fait elles sont toutes un peu différentes mais toutes selon le modèle cavalerie 1873. Il y en a une splendide en exposition dans les collection du musée de la NRA.

Sans jeter la pierres aux reproductions italiennes, souvent très belles dans des fabrications anciennes ou choisies, cette carabine Trapdoor 1873 Officer Model de fabrication américaine est nettement un cran au dessus en termes de qualité.

A l’occasion du centenaire de l’adoption de l’arme par l’armée américaine en 1973, Harrington et Richardson a produit trois modèles du 1873, un fusil, une carabine de cavalerie standard et une carabine d’officier, notre modèle de ce jour qui était le plus cher du catalogue. A 225 dollars en 1973 (contre 150 pour le modèle standard), on serait à au moins 1700 USD de nos jours…

Inutile de vous dire qu’à ce tarif on ne l’a voit pas trop souvent surtout dans nos contrées. Elle a été très peu importée.

A noter qu’en 1971 H&R avait déjà sorti une reproduction de la 1873 Officier dans une version en 200 exemplaires seulement, encore plus luxueuse en gravures, mais non bronzée /métal blanc.

En ces années 70, notre arme jouit donc des nombreux avantages à sortir d’un fabricant américain centenaire avec des finitions hors pairs. Un privilège dans une période où tous les grands noms ferment les uns après les autres ou se font renommer « outdoor company… ». Suivez mon regard.

Ici tout est très bien fini et de très grande qualité. L’arme est crado et totalement à nettoyer et comme d’habitude avec moi, les moindres poussières, micro-griffures qui ne se voient pas arme en main, ou reste de traces de doigts sont très exagérément grossies pas mes damnés gros plans mais comme cela vous savez tout.

Il suffit d’ailleurs de voir les photos de l’arme dan son ensemble pour s’en rendre compte: TRÈS belle.

Plaque de couche, dans un très beau jaspage tigré magnifique et ornée en bec du célèbre poinçon « US ». Son numéro de rack a été remplacé par une gravure d’arabesques que l’on retrouve sur l’ensemble des parties métalliques. Normal nous sommes sur une arme pour officier propriétaire de son arme et pas celle de dotation du simple soldat et les originaux étaient ainsi gravés.

Le bois en bois noyer américain aux reflets bruns/ rouge fait honneur à la pente harmonieuse de l’ensemble. Épaulé très confortable. Il est à noter que la crosse est recouverte d’un vernis laque, bien plus chic que le poncé huilé réservé à la troupe. Pas de coups, pas d’enfoncements. Éraflures éparses sur le vernis (ça se masque) et aucun coups important ni traces excessives de manipulation. Très beaux bois pour leurs 52 ans…

Le flanc gauche comporte un gros anneau de selle au niveau de la contre-platine comme sur certains originaux.

Le montage de la platine sur la crosse ainsi que tous les autres éléments ont été montés avec grand soin. Aucun jour à signaler entre bois et fers. C’est décidément très bien fini.

Les cliquetis musicaux de la platine, qui tient bien tous ses crans, si doux à l’oreille, sont complétés pour le plaisir des yeux cette fois du célèbre pygargue à tête blanche gravé en platine déployant ses ailes sur un nid de foudre et les flèches. La platine est gravée des marquages «US /Springfield» entouré de rinceaux.

La « porte de la cave » s’ouvre plus vite que celle d’un saloon après une longue chevauchée. Cette culasse est vraiment extrêmement bien ajustée, pas un cheveux ne se glisserait sur le côté, aucun jeu sur la charnière après fermeture.

L’éjection est particulièrement sonore, attention à ne pas vous prendre la douille dans le nez ! Mécanique premium aux finition irréprochables. Une fois le loquet de trappe fermé, rien ne tremble…

En lettres d’or, on retrouve le marquage « Cavalery Model » ainsi que « US/Model/1873 ». Aciers de qualité très supérieures. L’arme est d’ailleurs lourde et respire la qualité et la solidité de partout.

De part et d’autre d’un canon superbement bronzé, on observe les marquages de fabrication modernes et un fier « Made In USA ». Très beau bronzage noir profond présent à 99,9%.

L’intérieur du tube est absolument parfait, avec de splendides rayures qui n’ont certainement jamais vu un grain de poudre. 22 pouces (56cm) pour guider des ogives de 405 grains, soit dix pouces de moins que la longueur standard du fusil d’infanterie (83cm).

La bouche du canon est absolument superbe, sans accroc. Bref superbe canon.

Hausse de 100 à 500 yards à échelle, ce qui est plus que raisonnable en comparaison avec celle de type Buffington qui équipait les modèles 1884 d’infanterie et qui allait jusqu’à 1400 yards.

 

Les modèles Pedersoli et autres, bien moins ajustés et dans des finitions beaucoup plus frustes, sans parler des aciers, sont entre 2.000 (pour un simple modèle Troupe) et plus de 2600 euros (pour un modèle officier) prix catalogue et sur (très longue) commande.

Cette fabrication superbe « du centenaire », issue de l’iconique Harrington & Richardson, est désormais un véritable collector qui ne sera plus jamais repris par personne dans cette qualité de fabrication Made in the USA encore très 70’s.

Arme exceptionnelle par son modèle Officer, sa qualité et très rare sous nos climats. Pourquoi se priver du meilleur?

L’arme est éprouvée poudre vive et donc en catégorie C.

 

Arme légendaire de l’Ouest américain, en service pendant près de 30 ans sur la Frontier, la Carabine Springfield Trapdoor Model 1873 modèle méritait une commémorative à sa hauteur.

Cette reproduction d’une très grande qualité, par un fabricant américain historique et iconique, déployant tout son savoir faire pour vous proposer une arme Made in the USA telle que sortie des commandes spéciales passées en arsenal, est un must dans le domaine du Cowboy shooting ou de la collection. Carabine iconique des tuniques bleues et de la bataille de Little Big Horn. Pièce très rare en France en excellent état.

 

Arme de catégorie C au CSI : Licence de tir en cours de validité y compris médecin ou bien un permis de chasse avec sa validation pour l’année en cours ou l’année précédente ET CNI ou passeport en cours de validité. COMPTE SIA OBLIGATOIREMENT OUVERT !!

Rappel avec votre licence ou permis de chasse vous pouvez détenir sans limite de nombre des armes de catégorie C.

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