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Splendide fusil d’infanterie Mauser 1871/84 – Intégralement mono-matricule – Arsenal prussien de Spandau – Prestigieuse attribution au 1er Grenadier de la Garde Kaiser Alexandre – canon neuf – pièce en état TBE ++

Armes longues de Catégorie D

Splendide fusil d’infanterie Mauser 1871 / 84 – Intégralement mono-matricule jusqu’à la dernière vis  – Arme prussienne sortie de l’Arsenal de Spandau en 1887 – Prestigieuse attribution au 1er Grenadier de la Garde Kaiser Alexandre – canon neuf – très beaux bois – beaux marquages et poinçons bien lisibles partout –  bronzage d’origine à 95% – Excellent état mécanique – Pièce en état TBE ++ pour un collectionneur des plus exigeants.

Vendu !

SKU: 727-23
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Description

Ils ne sont pas très courants. Surtout dans cet état et avec cette affectation régimentaire là.

Et ils racontent l’histoire exemplaire d’une entreprise et de son fondateur.

La vie des frères Mauser (Paul 1838-1914 et Wilhelm 1834-1882) aurait pu illustrer une leçon de chose de l’école de la III° République.

Travail, économie, génie de conception, persévérance, amour du travail bien fait, honnêteté proverbiale. Et une résilience à toutes épreuves. Une autre époque. Où, pour commencer, on laissait les entrepreneurs entreprendre si modestes fussent-ils. Jusqu’au succès et à la reconnaissance à travers les siècles.

Le Royaume de Wurtemberg possédait depuis longtemps un petit arsenal à Oberndorf dans le Wurtemberg logé dans un ancien monastère. La rivière locale, le Neckar, fournissait assez de force motrice pour produire 2400 fusils par an en temps de paix et le double en temps de guerre. On était dans l’artisanat…

En 1805, un jeune et pauvre bourrelier nommé Franz Andreas Mauser trouva à s’y employer pour réparer les fourreaux de sabres et de baïonnettes des armées wurtembergeoises qui servaient alors la France napoléonienne. Paul Mauser naquit dans cet humble foyer le 27 juin 1838. A 14 ans, il entre en apprentissage dans ce même arsenal de Oberndorf, petit dernier de quatre enfants qui comme le père travaillaient tous à l’arsenal. Pas d’autre destin possible.

En 1859, à 21 ans, il a sa qualification d’armurier et part au service militaire. Une révélation ! il est affecté au parc d’artillerie de Ludwingsburg qui voit passer un tas de modèles disparates d’armes et celles d’états voisins aussi. Il analyse tout ce qu’il voit. La passion d’une vie est née.

De retour au pays à 23 ans, il invente un canon à chargement par la culasse (en maquette car il n’a pas les moyens d’autre chose). C’est révolutionnaire. Mais l’intérêt de l’Armée Royale pour cette innovation d’avenir est juste poli. La maquette ira rejoindre la salle des modèles de l’Arsenal avec une compensation gracieuse de sa Majesté à hauteur de 120 florins. Réalisant que les prototypes d’artillerie nécessitent des moyens sans commune mesure avec les inventions sur armes individuelles, Paul et son frère ainé, Wilhelm, se lancent dans l’innovation sur armes individuelles grâce aux 120 florins et à une modeste subvention du Trésor Royal.

Dès 1841, Dreyse, un prussien, avait bien inventé la première arme individuelle un peu fiable à chargement par la culasse doté d’une aiguille qui percutait une cartouche en papier mais le chargement et l’armement du dispositif restait une gageure. Le système s’encrassait vite et sa fiabilité ne dépassait pas celle des armes à percussion classiques. Seul le temps de rechargement était sensiblement amélioré.

Paul le technicien et Wilhelm, le commercial (c’est ainsi que se répartirent les rôles in fine) eurent l’idée d’adjoindre un étui métallique à un système de rechargement par la culasse afin de limiter le refoulement ds gaz et l’encrassement, plaie des armes à poudre noire. Et ils y adaptèrent une culasse de leur conception.

L’invention était un progrès copernicien pour l’armement individuel portatif  : le percuteur s’armait automatiquement à la fermeture de la culasse alors que sur le Dreyse ou le Chassepot il fallait encore armer le percuteur manuellement après chargement et fermeture de la culasse – mieux, un éjecteur, autre nouveauté, s’effaçait  tout seul à la fermeture et faisait automatiquement saillie à l’ouverture pour éjecter l’étui vide une fois le coup parti ! Révolutionnaire ! Enfin, la tête de culasse, indépendante du corps de culasse venait assurer l’obturation du tout sans fuite de gaz et sans recours à un stratagème type rondelle de caoutchouc comme dans le Chassepot.

Tout les tireurs et chasseurs qui aujourd’hui encore relèvent un levier d’armement, éjectent automatiquement un étui vide en le ramenant vers l’arrière et ré-arment le percuteur de façon sûre en repoussant le levier vers l’avant doivent encore ce mouvement simple en apparence à Paul Mauser.

La suite de la vie des Mauser jusque 1871 est toutefois une longue litanie d’aventures commercialo-industrielles pénibles pour le tandem : une association chaotique avec le représentant de Remington en Europe, Norris, qui ne tiendra pas ses engagements vis à vis des frères Mauser, des ventes de brevets sans pouvoir obtenir de consécration industrielle, un déménagement à Liège, capitale européenne de l’arment à l’époque, qui ne portera pas ses fruits et sera suivi d’un retour au pays,  une Guerre de 1870 qui fait refuser toutes les propositions d’innovation aux armées prussiennes et bavaroises qui ont autres chose à faire que d’écouter des inventeurs.

Mais, fin 1871, c’est un premier succès.

En 1870/71, les prussiens réalisent que leur Dreyse est très inférieur au Chassepot français à culasse mobile. Dans ce contexte, l’élite militaire prussienne cherche une vraie innovation  et elle adopte enfin le fusil des frères Mauser dans une version encore perfectionnée mais sans l’éjecteur (faudrait voir quand même à pas être trop novateur tout de même). C’est le fusil Mauser Modèle 1871, père direct de de notre arme de ce jour. Le 1871 est encore mono-coup mais c’est une arme à culasse mobile et à étui métallique ultra-moderne pour l’époque, robuste, fiable et d’une finition irréprochable.

Ce contrat gigantesque du à leur persévérance fera-t il leur fortune ? Non.

L’administration Prussienne leur refuse la production de l’arme. Elle leur octroie 1/5 de ce qu’ils espéraient de leurs efforts pour pouvoir se développer – 12.000 thalers – juste un dédommagement en quelque sorte. Mais elle leur fait quand même l’aumône d’une commande 25.000 hausses à monter sur leur invention qui sera produite en Prusse et pas au Wurtemberg…

En vérité, ils auraient été bien en peine de faire plus faute de locaux et de capitaux. En prime, en contrepartie de la commande, elle leur interdit toute vente de brevets ou d’armes à des gouvernements étrangers ! Un succès d’estime cher payé en réalité.

Mais les Mauser brothers  poursuivent leur efforts. Ils ont compris qu’ils touchaient au but. Ils réunissent leurs économies, font appel à de l’épargne de proximité, fondent une société et quittent l’ancienne scierie qu’ils occupaient avec leur machines et leurs quelques ouvriers pour un nouveau terrain sur les hauteurs de Oberdorf am Neckar.

Cette première installation 100% à eux, une construction en planches, est victime d’un incendie en 1872. Fatalitas !  Les machines-outils acquises si patiemment sont sauvées de justesse et, huit semaine après, la production repart. Résilience, vous ais-je dit. Ils livreront les 25.000 hausses dans les délais. Cela leur rapporte 20.000 Marks qu’ils investissent aussitôt dans des machines-outils.

Le Roi de Wurtemberg est sensible au courage et à l’opiniâtreté des Mauser. Il leur commande 100.000 Mauser 1871 pour sa propre armée du Wurtemberg mais à la condition qu’ils rachètent les locaux de l’Arsenal Royal d’Oberdorf. Malgré une nouvelle commande miracle de 100.000 hausses, les Mauser n’ont pas les 200.000 florins nécessaires. Ils doivent à contrecœur emprunter en banque (qui est aussi celle du Roi!). Et la banque pose la condition qu’elle puisse à cette occasion monter au captal de “Mauser Frères” et en devenir actionnaire. Ce sont les début du capitalisme dit “Rhénan” qui feront le succès de l’Allemagne industrielle. Cela signifie aussi une prise de pouvoir progressive des financiers dans la gestion mais une large autonomie de Paul et de son frère pour la technique et le commercial.

Cela permettra in fine aux Mauser de satisfaire, après bien des péripéties, à la commande de 100.000 fusils 1871 pour le Wurtemberg. Mais ils sont encore obligés de sous-traiter et ce n’est pas encore la fortune et la liberté. Ils pourront néanmoins enfin s’installer dans l’ancien Cloître des Augustins, devenu Arsenal d’État où leur père et eux-mêmes avaient commencé leur très modeste existence d’ouvrier et qui va devenir la mythique usine “Mauser Frères” qui marquera l’histoire de l’Armement. Plusieurs fois elle faillera s’arrêter espérant une modeste commande pour survivre. Elle vivra néanmoins jusque 1945, à travers deux guerres mondiales, et fera connaitre leur nom dans le monde entier.

En 1874, enfin, à leur demande pressante, l’interdiction  d’exporter est levée. Ce sera le début de la grande aventure Mauser à l’exportation avec un premier et modeste contrat export de 26.000 Mauser 1871 vers la Chine puis vers la Serbie. Bientôt l’Amérique Latine, puis le monde entier ou presque achètera “du Mauser”.  La Chine restera d’ailleurs un client fidèle de Mauser jusqu’à la veille de la seconde guerre mondiale.

A son retour de Serbie en 1878, avec un énorme contrat de 100.000 fusils qu’il est désormais capable d’assumer sans sous-traitance et 6 millions de Reichmarks en poche, Paul Mauser sait enfin que son entreprise va vivre. Plusieurs années de travail pour la firme d’Oberdorf.  Très ému, il est ovationné et porté en triomphe par ses ouvriers qui connaissent l’extraction populaire et le long et difficile parcours de leur charismatique patron. Un empire était né.

Seule ombre au tableau, la santé de Wilhelm, ruinée par des voyages incessants pour promouvoir la firme et répondre aux appels d’offres, se dégrade. Et le tandem devient un solo en 1882 avec le décès de Wilhelm. Paul était un technicien de génie mais j’ai toujours pensé que l’absence de son commercial et hyper-actif frère lui avait manqué. Dans les grands contrats revolvers/pistolets notamment, qu’il a très souvent perdus (et toujours en Allemagne!) alors qu’il a toujours ou presque été finaliste au deuxième rang. Tradition que la firme a continué après son décès en 1914 d’ailleurs. Mauser, c’est le Poulidor du contrat d’État d’armes de poing.

Il faut dire que Paul est charismatique mais il a aussi le caractère bien trempé et la répartie cinglante. Il enverra souvent promener les militaires qui le contredisent et sera tout aussi souvent sauvé par la protection personnelle de l’Empereur Guillaume qui apprécie ce roturier énergique et génial, devenu capitaine d’industrie et exportateur du Made in Germany, à sa juste valeur. Mais cette précieuse protection ne suffira pas toujours comme dans le cas du Pistolet C96 par exemple.

En 1884, Paul Mauser, dans un climat de course folle aux armements en Europe, fera adopter par les armées allemandes une version plus qu’améliorée de son fusil 1871, le premier et excellent fusil militaire à répétition de l’Allemagne, le Mauser 1871/84. Il fallait se dépêcher. La Suisse avait déjà adopté le Verterli à 12 coups en 1869, la France le Kropatschek  à 7 coups en 1878

Ce Mauser 1871/84 à répétition, c’est notre arme.

C’est en réalité plus qu’une amélioration du Modèle 1871, une arme radicalement nouvelle. : installation d’un éjecteur, prolongation vers l’arrière du rail de guidage, adoption d’un auget élévateur mu par le recul de la culasse, mise en place d’un sélecteur de tir, modification de la cartouche pour éviter les percussion accidentelle en mode répétition.

L’effort financier de renouvellement de tout le parc de fusils alors qu’on venait à peine de finir d’équiper l’armée en modèle 1871 n’étaient pas négligeable pour l’Allemagne et certains hésitaient en dépit de l’adoption par la France d’excellentes armes du système Gras et à répétition du système Kropatschek.

Mais Paul Mauser avait eu l’opportunité fin 1881 de présenter son prototype à l’Empereur lui-même à l’occasion d’une impériale visite à l’exposition régionale de Stuttgart. L’Empereur se déclara clairement partisan de l’adoption d’un fusil à répétition pour ses armées ce qui équivalait à un ordre! Les prototypes seront testés jusque fin 1883 et l’arme adoptée finalement le 31 janvier 1884.

Dès 1887 tous les régiments de ligne étaient équipés du fusil 1871/84 de Paul Mauser qui sera lui aussi largement exporté par la firme.

Paul Mauser était désormais reconnu, riche et libre. Il avait fait du chemin le fils du bourrelier. Son génie trouvera sa consécration avec l’exceptionnel système 1898, peut-être le meilleurs de toute l’histoire des fusils à répétition manuels militaires et civils. Mais c’est déjà une autre histoire. Revenons à notre 71/84.

Notre exemplaire est quasi parfait.

Il est sorti dans le même état de quasi neuf de l’Arsenal de Spandau en 1887, un des derniers produits – tous les marquages sont bien nets et parfaitement lisibles. Superbe.

Aucune oxydation sauf un très léger point tabac à peine visible sur le coté de la partie fixe de la culasse au niveau du marquage de modèle et quelques tâches de doigts. C’est tout. Autrement le reste est juste absolument parfait. Il n’est pas bronzé sur la culasse (partie fixe et mobile) mais seulement sur la chambre, le canon et les garnitures comme le sont les bons vrais et orignaux. C’est rarissime. 90% de ceux en bon état on été re-bronzés de partout. Bronzage d’origine évidemment et  présent à 95%.

Son canon est parfait, sa mécanique aussi. Pas de jeu – pas de rouille – percussion franche – ressorts bien fermes  (Rappel: sur cette arme, le mécanisme de sélection de tir doit être manipulé culasse ouverte sous peine de l’abîmer). Plaque de couche idem. Impeccable.

Les bois sont tous d’origines. Aucune enture, aucune cassure – quelques coups de manipulation – les photos en gros plan les exagèrent . On voit partout et bien nets tous ses poinçons de réception impériaux sur les bois. Idem sur les fers d’ailleurs. Très très beaux bois dans un superbe noyer blond.

Bref juste topissime – Le plus beau que j’ai jamais vu !

Ce beau jeune homme est aussi intégralement mono-matricule jusqu’à la dernière vis. Tout est 100% d’origine et de l’arme elle-même. Quel bonheur pour Maître Flingus de voir partout ce petit numéro “19” qui relève de la perfection. Exactement ce qu’il recherche avec passion !  Il en gloussait comme une vieille poule !  Un démontage prudent m’a montré que même l’intérieur du fût est au même numéro. Arme parfaite en elle même.

Notre fusil est dans un état si excellent que je le soupçonne d’avoir largement échappé à la mobilisation de 1914 où tous ces modèles furent rappelés en masse notamment dans les compagnies ersatz et de réserve face à la pénurie généralisée d’armes en 1914/15. Très peu sont revenus de cette aventure et encore moins en TBE. Le notre a été affecté à une compagnie ersatz d’un prestigieux régiment  mais il a sans doute échappé à sa mobilisation effective.

Venons-en au régiment en question.

Cerise sur le gâteau , le sommet de sa plaque de couche porte une attribution des plus prestigieuses : ” K.A.R. E.4.62.” (confirmé au Jeff Noll-  page 49).

Traduction ?

“Kaiser Alexander Garde-Grenadier-Regiment – Ersatz Batalion – 4° Kompagnie – Waffe Nr 62 “. Il s’agit donc de la 4° compagnie Ersatz du très prestigieux 1er régiment de grenadiers de la Garde « Empereur Alexandre» de la Garde Impériale prussienne, arme n°62. Régiment numéroté “1” dans l’armée allemande.

Fondé en 1626 par l’Arrière-arrière grand père du Futur Frédéric II, ce régiment fera toutes les campagnes militaires du royaume de Prusse puis de l’Empire allemand. Depuis 1814, et l’Empereur Alexandre 1er de Russie qui avait lourdement contribué a libérer la Prusse de l’occupation napoléonienne, son colonel honoraire était l’Empereur de Russie. Il existe de très belles photos de Nicolas II de Russie en uniforme de colonel allemand de la Garde avec casque à pointe passant en revue “son” régiment prussien lors de visites officielles à Berlin avant 1914.

Seuls y servaient des officiers issus des meilleures familles nobles prussiennes. Les enfants de l’Empereur y faisaient souvent leur service militaire. Le régiment était bien sûr stationné à Berlin centre près du Palais dans une caserne proche de la fameuse AlexanderPlatz (évidement!).

Régiment de prestige, il ne fut néanmoins jamais épargné dans aucun conflit. Ainsi 3.728 de ses officiers, sous-officiers et soldats sont morts entre 1914 et 1918 dont 167 officiers et 3 561 sous-officiers et hommes. 4 majors sur six et onze capitaines sur 16 tomberont lors du conflit. L’effectif complet du régiment en temps de paix était de 2.058 hommes…

Dissout en 1918 à la chute de l’Empire, ses unités parties faire le coup de feu dans les Corps-Francs, la Wehrmacht ne pouvant se résoudre à la dissolution d’un régiment si prestigieux, ses traditions seront reprises par le le 3e bataillon du 67e régiment d’infanterie (plus tard le 67e régiment de grenadiers) «Generaloberst von Seeckt» qui perpétuera encore un peu son existence. L’unité et ses traditions disparaitront définitivement en 1945.

Les Mausers 71 et 71/84 ont été usés jusqu’à la corde notamment durant la période 14-18 et pas toujours loin à l’arrière contrairement à ce que l’ont peut croire – Télégraphistes, cyclistes, postes sanitaires, gardiens des lignes logistiques en ont été largement dotés même s’ils étaient dépassés techniquement en août 1914. Ce qui explique aujourd’hui leur relative rareté et leur rareté tout court en TBE.

Au final une arme rare, point d’étape de l’histoire de l’armement, de qualité quasi muséale (elle l’eût été sans ses éparses marques de manipulation – Maître Flingus est néanmoins inflexible sur l’emploi des qualificatifs !) dans un état mécanique proche du neuf et avec une attribution régimentaire prestigieuse. Quasiment impossible d’en trouver un plus beau ! Un complément indispensable pour un collectionneur d’armes réglementaires européennes ou allemandes.

Arme de catégorie D au CSI:  CNI ou passeport en cours de validité obligatoire

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